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L'HUMANISME DE L'ISLAM

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26L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 5 Mar - 14:27

admin"SNP1975"

admin
Admin

L'exemple de l'Algerie est flagrant Abdelmoumen de la dynastie des ziyanides etait un Berger.
Messali el Hadj etait un cordonnier de formation.

Yacob vous voulez dire que le nationalisme arabe est de formation plebéene

http://www.marocainsdalgerie.net

27L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 5 Mar - 14:31

admin"SNP1975"

admin
Admin

Harbi et la plébe


La deuxième question que j’ai choisie est : quel était le projet des élites qui ont dirigé la guerre ? La guerre en Algérie a été dirigée par une bureaucratie militaire, socialement hétérogène, venant la plupart du temps de la plèbe et de l’intelligentsia inférieure. Cette bureaucratie militaire a acquis ses titres de noblesse dans la guerre, elle n’a et n’avait de fonction que dans la guerre. Elle était consciente de sa fonction dirigeante, qui l’éloignait des classes paysannes et populaires. Les antagonismes sociaux ont pu à cette période s’exprimer. L’enjeu à cette période était la lutte pour l’héritage colonial. Quel était le projet de ces élites ? Tout d’abord il faut savoir que ces élites n’avaient pas de cohérence et qu’elles représentaient toutes sortes de factions diverses et variées. Par exemple, dans une faction constituée en Kabylie ou dans l’Algérois, on retrouve des intellectuels, des bourgeois et des prolétaires. Il y a une structure qui n’est pas celle des sociétés de classes. C’est une structure un peu horizontale et qui, par conséquent, rend les solidarités de classe extrêmement difficiles. Leur démarche est avant tout d’ordre pragmatique, il n’y a pas de théories là-dedans ; si les intellectuels ont théorisé un certain nombre de choses, cela n’a rien donné concrètement. Ceux qui dirigeaient allaient dans toutes les directions qui correspondaient aux intérêts du moment. On peut dire que les espérances qui ont été suscitées par les décrets de mars 1963 (sur d’autres questions, au temps de Ben Bella) ont davantage radicalisé les partisans d’une révolution par le bas que ceux d’une révolution par le haut, qui ne pouvaient pas croire ni surtout admettre (compte tenu des positions pendant la guerre) qu’on viendrait leur partager la direction du pays après. Donc, on peut dire que le projet d’autogestion n’a pas touché l’ensemble de la société. Il n’a pas pénétré en profondeur le monde du travail et les consciences individuelles, et cela d’autant plus que les mesures prises concernant l’éducation sont venues renforcer les contraintes communautaires. Je rappelle que c’est à cette période qu’on a réintroduit la religion à grande échelle dans l’enseignement... On va voir des classes sociales, comme la classe ouvrière, réagir non pas en fonction d’une vision générale d’une autre société, mais en fonction de l’idéal religieux. Donc, cette situation va donner lieu au coup d’Etat du 19 juin 1965, au nom du retour aux sources. Je rappelle, pour ceux qui ne le savent pas, que si vous faites une analyse sociologique de ceux qui vont prendre la direction du 19 juin, vous avez des militaires, mais quels militaires ? Par exemple, on a 6 ou 7 membres du Conseil de la Révolution qui sont tous des anciens de la guerre d’Indochine et qui ont été faire la guerre au peuple vietnamien. Je peux donner des noms : le colonel Benchérif, Chabou, le commandant Ben Sallem, le sergent Chadli Bendjedid... Cela n’avait plus rien à voir avec les promesses du nationalisme, qui s’est transformé qualitativement pendant la guerre et avec l’accession des militaires à la direction du pays. Les idéaux et les promesses du nationalisme (unité nationale, brassage entre les populations, etc.) sont devenus des éléments seconds et c’est comme cela qu’on va voir fleurir une série de factions et de clientèles. Ce qui est certain, c’est que l’algérianisation a été menée au nom de la construction nationale et du développement de l’Etat en maître d’œuvre. Mais il faut savoir que les classes dirigeantes de l’Etat ont été des couches sociales qui ont été formées dans le sillage de la colonisation. Soit par leur savoir-faire intellectuel, soit par leur savoir-faire dans d’autres domaines. Les militaires ont su tirer profit de cette situation de manière habile, dans un système où la coercition et l’autoritarisme étaient les modes premiers d’exercice du pouvoir. Il y avait, bien sûr, il ne faut jamais l’oublier, les contraintes extérieures liées à l’économie mondiale, mais les facteurs extérieurs ont été essentiellement instrumentalisés dans l’exercice du pouvoir intérieur. On avait un dirigisme qui correspondait aux intérêts de la nouvelle bourgeoisie urbaine. Elle pouvait dire qu’elle voulait le socialisme mais, en même temps, elle s’enrichissait. Le consensus social va se briser essentiellement dans les années 1980 et, surtout, en 1988, quand les gens vont s’apercevoir qu’une autre société s’était formée et que c’était celle-là la vraie. Le discours était faux et trompeur.

Il faut voir aussi comment, d’une certaine manière, la société a pu se « traditionaliser ». L’Etat va engendrer une stratégie de la modernisation avec un système éducatif essentiellement fondé sur la religion. L’islamisation n’épargnera aucun groupe social, surtout pas le monde du travail. Dans le grand complexe sidérurgique d’El-Hadjar, les gens se regroupent ensemble, selon qu’ils sont sunnites ou ibadites. Donc, selon des critères religieux, essentiellement, et ce sont ces critères qui sont déterminants. Des sociologues algériens ont mis en évidence que si vous n’appartenez pas à la tribu des employeurs, eh bien vous ne pouvez pas travailler. Donc, chez tous, la religion joue un rôle central, et nous sommes revenus à la situation d’avant 1830 où la nationalité passe nettement derrière la religion. Le nouveau type d’ouvrier ne correspond plus au type d’ouvrier formé par l’industrie coloniale qui ressemblait un peu à son voisin occidental. L’impact du système éducatif vaut aussi pour la formation des élites et donc, dans ce milieu, il est difficile de former une véritable opinion publique. L’échec du système algérien a plusieurs facettes. Moi, je l’ai abordé ici d’une manière particulière, pour essayer de montrer que les catégories dont nous nous servons pour penser les classes dans ces sociétés ne sont pas forcément pertinentes. Le discours sur les classes, par exemple, ne s’interroge jamais sur la manière dont elles se constituent, dont elles fonctionnent, dont elles se symbolisent. Ce sont pourtant des outils fondamentaux pour comprendre comment se forme une opinion de classe ou une opinion nationale. Il faut signaler que la mise en place de l’Etat algérien a vu le jour dans une société en mutation et en pleine effervescence. Cet Etat a été très marqué par les rapports de clientèle. On croit que l’Etat algérien est un Etat fort : en réalité, l’Etat algérien est un Etat qui passe son temps à négocier avec certains groupes de la société. Autrement dit, l’idée d’une société civile est absente. Dans cet Etat ne se sont pas encore constitués de véritables rapports de classes et de véritables cohésions nationales. Cet Etat veut garder sa position dominante dans la société. Pour cela, l’Etat casse les solidarités horizontales : former un syndicat hors clientèle, comme l’UGTA, est extrêmement difficile, d’où l’importance des relations personnelles dans la vie politique. Ce qui est encore beaucoup plus significatif, c’est que dans les institutions politiques on a une prééminence des relations informelles sur les relations officielles. Aujourd’hui, dans tous les groupes politiques algériens, on retrouve en Algérie tous les clivages de l’ancienne société pré-coloniale : tribalisme, clientélisme et corruption généralisée. Les institutions sont vides, il ne s’y passe pas grand-chose, car quand on veut trancher sur une décision, sur quelque sujet que ce soit, on tranche par un rapport de force (renversement du gouvernement provisoire, coup d’Etat de 1965...). Voilà encore un écueil de plus pour l’évolution vers la démocratie.




http://www.manifeste.org/article.php3?id_article=189

http://www.marocainsdalgerie.net

28L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 5 Mar - 15:00

yacoub

yacoub

Admin a écrit:L'exemple de l'Algerie est flagrant Abdelmoumen de la dynastie des ziyanides etait un Berger.
Messali el Hadj etait un cordonnier de formation.

Yacob vous voulez dire que le nationalisme arabe est de formation plebéene

Non, je parle de l'islam comme une religion militaire.
Le nationalisme arabe, le panarabisme, il me semble a été le fait d'intellectuels Arabes chrétiens ou athées comme Michel Aflaq.

Je parle de la revolte des algeriens du du FLN.

29L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty des mutants Mer 5 Mar - 15:13

Sidhoum

Sidhoum

Autrement dit, des bouhioufs furent transformés en des mecs qui mâchent aujourd'hui du chewing-gum, lisent Karl Marx, jouent au tennis et veulent changer l’ordre mondial et exporter leur « rivoulissiou » ratée pour libérer le petit peuple Marocain et Sahraoui de ce meuchant Malîk……………..Toz !

30L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 5 Mar - 15:24

admin"SNP1975"

admin
Admin

Je parle de la revolte des algeriens du FLN.

http://www.marocainsdalgerie.net

31L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 5 Mar - 20:30

yacoub

yacoub

Les vrais laïcs et démocrates ont été liquidés par les militaristes comme Boussouf.

Je ne crois pas à l'islam de Boumédiène mais il a utilisé les islamistes contre son opposition de gauche.
Ben Bella est un islamiste modéré.

Le parti communiste était interdit et ses militants pourchassés.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Nicolas Sarkozy a assuré mercredi le Premier ministre néerlandais Jan-Peter Balkenende de "son soutien" après les tensions déclenchées au Pays-Bas par un film très critique à l'égard du Coran réalisé par un député d'extrême droite.
Jan-Peter Balkenende, reçu pour un déjeuner à l'Elysée, a demandé l'appui diplomatique de la France pour faire face aux manifestations d'hostilité et aux menaces déclenchées par le film "Fitna" du député Geert Wilders.
"Le président l'a assuré de son soutien", a rapporté David Martinon, porte-parole de Nicolas Sarkozy. Ce dernier a aussi souligné qu'il refusait "tout amalgame"
Dans son court-métrage de 15 minutes, qui n'a jamais été diffusé, Geert Wilders décrit le Coran comme un ouvrage "fasciste" qui incite à la violence ainsi qu'à l'oppression des femmes et des homosexuels. Le député a menacé de diffuser son film sur Internet si aucune chaîne de télévision n'acceptait de le faire, ce qui serait conforme à la demande du gouvernement.
"Aux Pays-Bas, nous avons le droit à la liberté d'expression, qui est une valeur très importante, et nous avons bien indiqué qu'il y a une différence entre l'opinion du gouvernement néerlandais et l'opinion de M. Wilders", a déclaré M. Balkenende.
Nicolas Sarkozy a aussi renouvelé sa proposition de créer un fonds européen pour la protection "des ressortissants européens qui sont menacés dans leur vie par des fanatiques obscurantistes", évoquant le cas de l'ancienne députée néerlandaise Ayaan Hirsi Ali.
Les Pays-Bas ont répondu qu'ils étaient "disposés à examiner cette question sur base d'une proposition dans le cadre du Conseil (européen)", selon le communiqué conjoint publié à l'issue de la rencontre.
Ayaan Hirsi Ali, ancienne députée néerlandaise d'origine somalienne, avait été un temps placée sous la protection de la police après l'assassinat en 2004 par un islamiste du réalisateur Theo van Gogh, pour lequel elle avait écrit le scénario du film "Soumission", dénonciation du sort réservé aux femmes par les intégristes musulmans.
Lors de la visite en France, début février, de Mme Ali, Rama Yade, secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme, avait déclaré que l'octroi de la nationalité française à son profit pourrait être "totalement examiné".
Source : Rédaction bladi dz.com

http://www.marocainsdalgerie.net

33L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Jeu 6 Mar - 12:15

admin"SNP1975"

admin
Admin

La modernité est entrain de rassembler la foule vindicative (Les Islamistes) pour ensuite les bien decimer.

L'Islamisme est comme un chien dangeureux . La démocratie ça lui sert de museuliére . SNP

http://www.marocainsdalgerie.net

34L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 12 Mar - 14:32

yacoub

yacoub

L'auteur du film s'exprimait ce lundi devant le parlement hollandais.

Il est pour l'interdiction du coran qu'il compare à Mein Kampf
et contre l'islamisation des Pays Bas.

Geert Wilders au parlement des Pays-Bas : interdire le Coran et STOP à l’islamisation


lundi 10 mars 2008, par Annie Lessard, Marc Lebuis



Lors d’un débat parlementaire sur l’activisme islamique, le député Geert Wilders a demandé l’interdiction du Coran, un livre dangereux qui incite à la violence et à la haine. Il invoque les dispositions du Code pénal néerlandais qui répriment la distribution de tels écrits. Il demande aussi au Premier ministre de faire preuve de courage et de prendre les mesures qu’un très grand nombre de citoyens appellent de leurs vœux en vue de mettre fin à l’islamisation du pays.

L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Mainimage

Nous avons traduit le texte de l’intervention du député Wilders lors du débat.

Geert Wilders est vu comme un député d’extrême-droite, alors que pourtant il se porte à la défense des valeurs libérales fondamentales des sociétés occidentales. Le politicien hollandais Pim Fortuyn avait aussi été décrit par les médias comme un politicien de droite à cause de sa critique acerbe des musulmans. L’étiquette n’a jamais pu lui coller à la peau parce que Fortuyn était un libertin et un populiste ouvertement gay qui plaidait pour l’euthanasie, le mariage des homosexuels et des lois libérales sur les drogues. S’il dénonçait la culture musulmane traditionnelle, c’est justement parce qu’elle s’opposait aux valeurs hollandaises de laisser-faire.

Un récent sondage mené auprès des populations de 21 pays membres de l’Union européenne a révélé qu’une « écrasante majorité » de citoyens estiment que l’islam menace leur mode de vie, leur culture et leurs valeurs. Ce sondage démontre à quel point partout en Occident les élites sont déconnectées de la population.

Nos concitoyens d’Hérouxville se sont aussi revendiqués des valeurs libérales des démocraties occidentales, et on les a injustement traités de xénophobes. Voir Jonathan Kay du National Post se porte à la défense d’Hérouxville ! et La Presse s’excuse pour Hérouxville.

Les Pays-Bas sont un petit pays dont la culture est vraisemblablement l’une des plus progressistes au monde. À bien des égards, cette culture ressemble à celle des Québecois, ouverte et tolérante, vivre et laisser vivre, libérale de gauche, assortie d’un généreux État-providence.

Comme au Danemark, tout a basculé aux Pays-Bas avec l’immigration musulmane incontrôlée. Le Danemark a pris un virage à droite, et Geert Wilders appelle le gouvernement hollandais à faire de même en matière d’immigration et d’intégration.

On remarque le courage du parlement hollandais qui tient un débat sur l’activisme islamique. Ici au Québec, nos politiciens renvoient ce genre de questions à une commission de non élus.

Plusieurs musulmans laissent des commentaires sur notre site nous invitant à nous éduquer sur leur religion. C’est ce qu’a fait Geert Wilders, et il est arrivé à la conclusion que le coran est un livre dangereux comparable à Mein Kampf. Il en demande l’interdiction pour le bien-être de ses concitoyens.

35L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 12 Mar - 14:32

yacoub

yacoub

Des hindous en Inde en étaient arrivés aux mêmes conclusions au mileu des années 80, et s’étaient adressés aux tribunaux, sans succès, pour faire interdire le coran. Des théologiens chrétiens qui connaissent bien la théologie islamique y voient les racines du terrorisme islamique et du djihadisme. Ils invitent les musulmans à réformer leur théologie, et les Occidentaux à se prémunir contre son influence.

Le député Wilders est menacé de mort, tout comme Ayaan Hirsi Ali, ancienne député au parlement hollandais. Lisez aussi Geert Wilders : La tolérance de l’intolérance de l’islam menace la tolérance et « Fitna », le film anti-islam du député Wilders pourrait sortir en fin de semaine.

Intervention de Geert Wilders en chambre lors d’un débat parlementaire sur l’activisme islamique

Madame la Présidente, permettez-moi tout d’abord de vous exprimer mes sincères remerciements pour avoir planifié un débat sur l’islam le jour même de mon anniversaire. Je ne pourrais pas avoir souhaité un plus beau cadeau ! Madame la Présidente, il y a environ 1400 ans, la guerre nous a été déclarée par une idéologie de haine et de violence qui s’est présentée à l’époque, proclamée par un barbare qui s’est qualifié lui-même comme le prophète Mahomet. Je fais référence à l’islam.

Madame la Présidente, permettez-moi de commencer avec le fondement de la foi islamique, le Coran. Le thème principal du Coran porte sur le devoir de tout musulman de combattre les non-musulmans ; un Mein Kampf islamique, dans lequel « lutte » signifie la guerre, le djihad. Le Coran est avant tout un livre de guerre - un appel à massacrer les non-musulmans (2:191, 3:141, 4:91, 5:3), à les faire rôtir (4:56, 69:30-69:32), et à provoquer des effusions de sang parmi eux (47:4). Les Juifs sont comparés à des singes et des porcs (2:65, 5:60, 7:166) tandis que les personnes qui croient en Jésus-Christ comme le Fils de Dieu doivent, selon le Coran, être combattues (9:30).

Madame la Présidente, l’Occident n’a pas de problèmes avec les Juifs ou les Chrétiens, mais il a des problèmes avec l’islam. Même aujourd’hui, il est encore possible pour les musulmans de voir le Coran, qu’ils considèrent comme valable pour tous les temps, comme un permis de tuer. Et c’est exactement ce qui se passe. Le Coran est libellé de telle sorte que ses instructions sont adressées aux musulmans pour l’éternité, ce qui comprend les musulmans d’aujourd’hui.

Ceci est différent des textes de la Bible, qui sont formulés comme une série de récits historiques plaçant les événements dans un passé lointain. Rappelons-nous que ce sont des musulmans, et non des chrétiens ou des juifs, qui ont commis les attaques terroristes catastrophiques à New York, Madrid et Londres, et que ce n’est pas par hasard que Theo van Gogh a été brutalement assassiné par un musulman, Mohammed Bouyeri.

Madame la Présidente, je reconnais qu’il y a des gens qui se disent musulmans et qui respectent nos lois. Mon parti, le Parti de la liberté, n’a rien contre ces gens, bien sûr. Toutefois, le Coran a quelque chose contre eux. Car il est dit dans le Coran, dans la sourate 2, verset 85, que ces croyants qui ne croient pas à tout ce que le Coran stipule seront humiliés et recevront les châtiments les plus sévères, ce qui signifie qu’ils vont rôtir en enfer.

L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Ban_the_Kuran-a756d

En d’autres termes, ceux qui se disent musulmans mais qui ne croient pas, par exemple, dans la sourate 9, verset 30, qui dit que les juifs et les chrétiens doivent être combattus, ou, par exemple, dans la sourate 5, verset 38, qui stipule que la main d’un voleur doit être coupée, ces personnes seront humiliées et rôtiront en enfer. Notez que ce n’est pas moi qui invente ces choses. Tout cela peut être trouvé dans le Coran. Le Coran stipule également que les musulmans qui ne croient que dans une partie du Coran sont en fait des apostats, et nous savons ce qu’il doit advenir des apostats. Ils doivent être tués.

Madame la Présidente, le Coran est un livre qui incite à la violence. Je rappelle à l’Assemblée que la distribution de ces textes est illicite en vertu de l’article 132 de notre Code pénal. En outre, le Coran incite à la haine et appelle au meurtre et au chaos. La distribution de tels textes est réprimée par l’article 137 (e). Le Coran est donc un livre très dangereux, un livre qui va complètement à l’encontre de notre ordre juridique et de nos institutions démocratiques. Dans cette optique, il est absolument nécessaire pour la défense et le renforcement de notre civilisation et de notre État de droit que le Coran soit interdit. Je vais proposer une motion de deuxième lecture à cet effet.

Madame la Présidente, il n’y a aucune telle chose que « l’islam modéré ». Comme le Premier ministre turc Erdogan a dit l’autre jour, je cite : Il n’y a pas d’islam modéré ou immodéré. L’islam est l’islam et c’est tout. L’islam poursuit la domination. Il tient à imposer son programme impérialiste par la force à l’échelle mondiale (8:39). Cela ressort clairement de l’histoire européenne. Heureusement, la première invasion islamique de l’Europe a été arrêtée à Poitiers en 732, et la deuxième à Vienne en 1683.

L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Dominate-2-ec2de

Madame la Présidente, faisons en sorte que la troisième invasion islamique, qui est actuellement en pleine recrudescence, sera également arrêtée en dépit de son caractère insidieux et nonobstant le fait que, contrairement aux 8e et 17e siècles, elle n’a pas besoin d’une armée islamique parce que les dhimmis apeurés en Occident, et aussi les politiciens néerlandais, ont laissé leurs portes grandes ouvertes à l’islam et aux musulmans.

Outre la conquête, Madame la Présidente, l’islam est aussi déterminé à implanter une toute autre forme de loi et d’ordre, à savoir la charia. Cela fait de l’islam, en dehors d’une religion pour des centaines de millions de musulmans, une idéologie politique (avec des valeurs islamiques, politiques et constitutionnelles fondamentales, etc.). L’islam est une idéologie sans aucun respect pour les autres, qu’ils soient chrétiens, juifs, non croyants ou apostats. L’islam vise à dominer, à subjuguer, à tuer et à livrer la guerre.

Madame la Présidente, l’incursion islamique doit être stoppée. L’islam est le cheval de Troie en Europe. Si nous n’arrêtons pas l’islamisation maintenant, Eurabia et Hollandrabia sont juste une question de temps. Il y a un siècle, il y avait environ 50 musulmans aux Pays-Bas. Aujourd’hui, il y a environ 1 million de musulmans dans ce pays. Où cela va-t-il finir ? Nous nous dirigeons vers la fin de la civilisation européenne et néerlandaise que nous connaissons. Où est notre Premier ministre dans tout cela ? En réponse à mes questions à la Chambre, il a dit, sans sourciller, qu’il n’y a pas de problème d’islamisation de notre pays. Maintenant, cette réponse constituait une erreur historique dès qu’elle a été proférée.

De très nombreux citoyens néerlandais, Madame la Présidente, font l’expérience de la présence de l’islam autour d’eux. Et je peux dire qu’ils en ont assez de la burka, des foulards, de l’abattage rituel des animaux, des crimes soit-disant d’honneur, du beuglement des minarets, de l’excision, des chirurgies de restauration de l’hymen, de l’abus des homosexuels, du turc et de l’arabe sur les autobus et les trains ainsi que dans les dépliants de la mairie, de la viande halal dans les épiceries et les grands magasins, des examens de la charia, des hypothèques conformes à la charia du ministre des Finances, et de l’énorme surreprésentation des musulmans dans le domaine de la criminalité, y compris les terroristes de rue marocains.

En dépit de tout cela, Madame la Présidente, il y a de l’espoir. Heureusement. La majorité des citoyens néerlandais a pris pleinement conscience du danger, et considère l’islam comme une menace pour notre culture. Mon parti, le Parti de la liberté, prend ces citoyens au sérieux et se porte à leur défense.

De nombreux citoyens néerlandais en ont assez et attendent des actions. Cependant, leurs représentants à La Haye ne font rien. Ils sont freinés par la peur, la rectitude politique ou tout simplement des motifs électoraux. Cela est particulièrement évident dans le cas du PvdA, le parti travailliste néerlandais, qui a peur de perdre des électeurs musulmans.

L’autre jour, le Premier Ministre a déclaré en Indonésie que l’islam ne pose aucun danger. Le ministre Donner estime que la charia devrait pouvoir être introduite aux Pays-Bas si la majorité le veut. La ministre Vogelaar bredouille sur le futur Pays-Bas comme un pays avec une tradition judéo-chrétienne-islamique, et dit que son but est d’aider l’islam à prendre racine dans la société néerlandaise. En disant cela, la ministre montre qu’elle est de toute évidence complètement folle. Elle trahit la culture néerlandaise et insulte les citoyens néerlandais.

Madame la Présidente, mon parti, le Parti de la liberté, exige que la ministre Vogelaar rétracte sa déclaration. Si la ministre ne le fait pas, le groupe parlementaire du Parti de la liberté va lui retirer son soutien. Aucune tradition islamique ne doit jamais être établie aux Pays-Bas : ni maintenant ni dans les siècles à venir.

Madame la Présidente, permettez-moi de parler brièvement de la réponse du gouvernement au rapport du WRR [Conseil scientifique des Pays-Bas pour la politique gouvernementale]. À la page 12 de sa réponse, le gouvernement déclare que l’islam n’est pas contraire à la démocratie ou aux droits de l’homme. Tout ce que je peux répondre à cela, c’est qu’on ne peut tomber plus bas en terme d’idiotie.

Madame la Présidente, il est minuit moins cinq. Si nous continuons sur cette voie, l’islam va annoncer la fin de notre civilisation occidentale et de la culture néerlandaise.

Je tiens à terminer ma contribution à la première lecture par une demande personnelle au Premier ministre au nom d’un grand nombre de citoyens néerlandais : arrêtez l’islamisation des Pays-Bas !

M. Balkenende, une tâche historique repose sur vos épaules. Soyez courageux. Faites ce que de nombreux citoyens néerlandais demandent avec insistance. Faites ce dont le pays a besoin. Stoppez l’immigration en provenance de tous les pays musulmans, interdisez la construction de nouvelles mosquées, fermez toutes les écoles islamiques, interdisez la burka et le Coran. Expulsez du pays tous les criminels musulmans, y compris les terroristes de rue marocains qui rendent les gens fous. Acceptez vos responsabilités ! Stop à l’islamisation !

Assez, c’est assez, M. Balkenende. Trop, c’est trop.

36L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty l'islam et les femmes Mar 18 Mar - 16:10

yacoub

yacoub

L'écrivain Taslima Nasreen annonce qu'elle va quitter l'Inde







L'écrivain bangladaise Taslima Nasreen annonce qu'elle va quitter l'Inde en raison de la détérioration de sa santé, après avoir été contrainte de vivre dans une cache sans recevoir aucune visite pendant près de quatre mois.

De violentes manifestations organisées par des groupes musulmans en novembre dernier ont contraint les autorités indiennes à évacuer l'écrivain de chez elle à Calcutta, dans l'est de l'Inde, où elle vivait depuis quatre ans.
Après l'avoir installée ici et là pendant un temps, les autorités l'ont placée dans une "résidence sûre" à New Delhi, où elle ne dispose que d'un téléphone portable, d'un ordinateur et d'un téléviseur.
Elle ne peut recevoir de visites.
"Je n'ai pas pu voir un bon cardiologue au cours des derniers mois et j'ai un sérieux problème cardiaque", a expliqué à Reuters Taslima Nasreen, qui a 45 ans.
Nasreen a fui le Bangladesh en 1994, un tribunal ayant estimé qu'elle avait porté atteinte "intentionnellement" aux sentiments religieux musulmans dans son roman "Lajja" (La Honte), écrit en bengali, dans lequel elle affirmait que la minorité hindoue du Bangladesh était mal traitée.
En février, elle a dû être hospitalisée à New Delhi à la suite d'une chute de tension consécutive à une prise excessive de médicaments destinés à maîtriser son hypertension.
Nasreen s'est vu décerner le prix Simone de Beauvoir par le gouvernement français pour ses écrits féministes, mais elle n'a pas pu se rendre en France en janvier pour le recevoir.

37L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 18 Mar - 16:55

yacoub

yacoub

L'islam contre les femmes »

L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 FemmeLes femmes européennes sous le joug musulman

Pendant près de huit cents ans en Espagne, pendant plus de quatre siècles dans les Balkans, les Musulmans ont imposé leurs lois, leurs modes de vie exclusifs, ont dicté leur loi religieuse à l’ensemble des Chrétiens d’Orient et d’Occident.
De Tolède à Byzance, chacun a pu mesurer les souffrances endurées par toutes celles et tous ceux qui, au contact des Musulmans, « vivaient comme on peut tenter de le faire au milieu de loups ou de lions ».
Cible particulièrement fragile de cette cohabitation imposée, les femmes sont considérées en terre d’islam « comme un champ de labour, auquel l’homme va comme il le veut ».
Pour peu qu’elles soient chrétiennes, elles sont encore moins respectables car « condamnées au feu éternel ».
Ainsi sont traitées et jugées par l’islam les femmes chrétiennes, officiellement protégées en terre d’islam autrefois par leur statut de dhimmis
A y regarder de plus près toutefois, on se rend compte que la « dhimmitude » citée en exemple par certains exégètes de l’islam, est un leurre.

En réalité, les Grecs, Serbes et autres Espagnols qui durent subir la dhimmitude restèrent dans l’oppression. Avilis, méprisés, les sujets chrétiens étaient tout juste bons (comme d’ailleurs les Juifs dans une moindre mesure) à servir de faire-valoir fiscal et financier aux Arabes en Espagne, aux Turcs dans l’Empire ottoman.

L’existence des infidèles, Juifs et Chrétiens, était une condition nécessaire de l’équilibre du budget.
La mission prioritaire des gouverneurs musulmans à Cordoue ou des fonctionnaires turcs dans les Balkans, était de lever l’impôt foncier et la capitation dus par les populations vaincues demeurées fidèles à leur foi. Gare à celui qui ne s’acquittait pas de sa capitation : il pouvait être réduit en esclavage, voire puni de mort.
Gare également au Chrétien dont la femme était trop désirable, il pouvait très facilement passer de vie à trépas !
Les dhimmis n’avaient pas le droit de port d’armes, ne pouvaient pas monter à cheval, devaient s’effacer dans la rue quand ils voyaient un Musulman, et se lever quand ils étaient assis, au passage d’un croyant.

Ils devaient également hospitalité à tout voyageur musulman qui le réclamait. Pacte d'Omar
Autant de contraintes que vécurent pendant des siècles Chrétiens d’Orient et d’Occident. La femme jouant le rôle essentiel de conserver au sein du foyer la foi catholique ou orthodoxe, ciment essentiel qui permit, en tout cas, aux Espagnols et aux Grecs (mais aussi aux Serbes et aux Bulgares) de résister à la gangrène islamique.

La femme chrétienne humiliée

Considérées par l’islam et le Coran comme « Les pires bêtes pour Dieu car elles sont parmi les sourds et les muets qui ne comprennent rien et s’entêtent à ne pas croire », les chrétiennes vont subir pendant des siècles les humiliations, les violences, les vexations des maîtres musulmans.
Ce qui pouvait d’ailleurs leur arriver de moins pire au regard des égorgements, viols, meurtres rituels et autres crémations qui furent infligées aux plus récalcitrantes et aux plus rebelles.
Souvenez-vous des massacre de Chio du génocide arménien et de la folie meurtrière qui s’empara, en 1922, des musulmans qui, à Smyrne notamment, rendirent la mer Egée rouge du sang des centaines de milliers de victimes chrétiennes, dont de nombreuses femmes, jeunes et moins jeunes, égorgées comme de vulgaires moutons après avoir été violées par leurs bourreaux.

En 1866, lors du soulèvement crétois contre l’oppresseur turc, Omer Pacha, envoyé par la Sublime Porte pour réprimer la révolte, n’hésita pas, lors de la bataille de Frangokastello, après avoir exterminé une majorité d’hommes en état de se battre, à exécuter froidement femmes et enfants. Juste pour la forme, se réservant pour son bon plaisir une jeune fille, rejeton d’une grande famille.
La même année, plus de 1000 personnes dont une majorité de femmes, retranchées avec des moines à l’intérieur du Monastère d’Arkadi, choisirent volontairement la mort en acceptant que les moines mettent le feu aux poudrières. Elles voulaient échapper à la cruauté des troupes turques !
En 1823, lors d’une première révolte dans la région de Lassithi, plus de 2 000 femmes et enfants avaient été exterminés !
C’est dire la cruauté des descendants des hommes de Mehmet II, qui, lors de la chute de Byzance en 1453, arrachaient les enfants aux mères, massacraient les nouveaux-nés, violaient sans honte les vierges dans les églises consacrées, dénudaient les femmes âgées et les outrageaient.
Doit-on s’étonner d’un tel comportement quand on sait que les Ottomans pensaient qu’une « Esclave croyant en Allah vaut mieux qu’une femme qui croit en la Trinité » ?
Humiliée, la femme chrétienne était aussi une proie rêvée et un objet convoité sur les marchés d’esclaves d’Alger ou de Constantinople.
Les Algérois mettaient par exemple, à profit un voyage à Constantinople pour acquérir une esclave de Russie et la revendre ensuite au plus offrant.

La conversion à l’islam était, bien sûr, obligatoire. On cite le cas d’Anna, jeune russe qui dut solennellement renier sa foi orthodoxe en piétinant sa croix, en crachant dessus trois fois et en la jetant dans la mer Noire. Une telle adhésion à l’islam ne signifiait cependant pas la fin des tourments pour les victimes. En effet, la dure loi de la conversion forcée, du voile imposé, de la vie partagée dans le harem avec d’autres femmes tournait souvent au drame.
La « Renégate » était souvent mise en quarantaine, parce que plus belle que les favorites musulmanes qui voyaient d’un mauvais œil l’arrivée de belles Circassiennes, semblables à la chère Aziyadé de Pierre Loti.
Et que dire de ces milliers de jeunes chrétiennes razziées en Occident ou dans les Balkans, entrées en islam à 10 ou 12 ans, aussitôt mariées de force à des musulmans turcs ou morisques et qui, à la faveur d’un rachat par des marins, retrouveront la mère patrie ?
A leur retour en terre chrétienne, elles seront obligées de se présenter devant les tribunaux inquisitoriaux qui ne chercheront pas à exercer un contrôle strict sur le retour de ces femmes converties de force par des Musulmans.
En Espagne, lors de la conquête musulmane, la terreur s’abat en Castille, en Galice, dans les Asturies et au Pays Basque. Les habitants de ces régions redoutent, en effet, la sa’ifa (campagne d’été de Musulmans) qui se solde inévitablement par des pillages, l’enlèvement du bétail et la mise en esclavage systématique des femmes et des enfants alors que les hommes sont tués pour la plupart d’entre eux.

Toujours les Musulmans « semèrent la terreur à Narbonne vers 720.
Après avoir fait main basse sur des statues en argent massif dans une église qu’ils prennent la peine de détruire, ils emmenèrent comme esclaves de nombreuses femmes, beaucoup d’enfants et quelques hommes », comme le note Charles-Emmanuel Dufourcq dans une magistrale « Vie quotidienne dans l’Occident médiéval », rappelant également que pendant leur conquête de Sicile, ces mêmes Maures, exaspérés par la résistance qui leur est opposée, pillent, tuent et égorgent tout ce qui se trouve sur leur passage, mettant un raffinement certain dans les tortures qu’ils infligent aux femmes.
Sans doute avaient-ils présent à l’esprit que « Les incroyants qui ont la Bible et l’Evangile iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours »…

La femme chrétienne, otage malgré elle

Pendant des siècles, les musulmans (barbaresques, morisques et autres turcs ottomans) ont pratiqué l’enlèvement systématique des enfants chrétiens, mâles ou femelles.
Le « greffon », l’enfant chrétien, ainsi transplanté en terre d’islam, et ravi à l’affection de sa mère, devait devenir un bon musulman, élevé par des nourrices turques ou arabes dans des maisons privées ou dans les palais des Stambouliotes.
Les musulmans faisaient un prélèvement régulier aux dépens des forces vives du monde chrétien (Espagne jusqu’en 1492, Serbie, Grèce, Russie, Bulgarie) en le délestant, chaque année, de plusieurs milliers de ses enfants, auxquels ils offraient la possibilité d’une intégration totale dans les sociétés cosmopolites du Maghreb ou de l’Empire ottoman.
1. En Europe occidentale, les enfants étaient razziés sur terre ou capturés en mer. La mémoire populaire a d’ailleurs gardé la hantise de ces raids-éclair en Corse, en Sicile, aux Baléares, mais aussi sur nos côtes de Provence ou du Roussillon.
Aussitôt embarqués de force sur les bateaux pirates, les petits garçons étaient circoncis afin de prévenir toute action des Consuls de leur pays respectifs, au cas où des familles porteraient plainte.
Violences, coups, tout était fait pour que la jeune victime devienne rapidement un musulman soumis.
Dans leur ouvrage consacré au « Chrétiens d’Allah », Bartolomé et Lucile Bennassar citent également les mères enlevées en même temps que leurs enfants : « Anastasia, une jeune Russe et sa mère, furent achetées par le même maître et partagèrent sept ans de captivité ». 2. En Europe orientale (en Serbie et en Grèce plus particulièrement), les jeunes garçons orthodoxes fournirent jusqu’au milieu du 17ème siècle le corps des janissaires, corps d’élite de l’armée turque.
La Devchirmé (littéralement ramassage) régissait ainsi le recrutement de l’armée. « C’était un plan diabolique et le plus épouvantable tribut de chair humaine qui ait été levé par une religion victorieuse sur une religion vaincue » comme l’écrira un historien du 19ème siècle, Théophile Lavallée.
Comment, en effet, ne pas qualifier de diabolique cette opération qui consistait à rassembler, dans un village chrétien, toute la population mâle et à prélever les plus sains d’entre eux, chassés et prélevés comme on prélève un gibier.
Cruauté suprême, les garçons étaient souvent choisis en nombre plus important que prévu… les fonctionnaires turcs, chargés du ramassage, se faisant ainsi racheter les enfants par les parents.

Les vieux serbes se rappellent encore que les enfants mâles nés les années impaires, étaient de futurs janissaires pendant que ceux qui avaient eu le bonheur de naître les années paires, n’étaient pas soustraits à l’affection de leurs mères.Ils pouvaient ainsi contribuer à payer l’impôt réclamé par Allah.
Quant aux Grecs, ils subirent le même sort… jusqu’en 1807, mais les prélèvements en chair humaine seront moins répétitifs.
Et pendant ce temps là, que faisait la mère de famille, l’épouse, la femme sinon se lamenter et jurer la perte de ces brutes qui pouvaient également enlever les jeunes filles ou même les épouses ?

On cite le cas de cette veuve grecque convoitée par le gouverneur turc de Thessalie, enlevée par ses hommes et qui refusait d’épouser son tortionnaire.
Retrouvée par ses deux fils à Constantinople, elle prit le voile dans un Monastère pendant que ces derniers étaient faits prisonniers…

CONCLUSION

Neuf siècles ont été nécessaires pour effacer la présence musulmane en Espagne et près de quatre siècles sont venus à bout du joug ottoman dans les Balkans, même si aujourd’hui, à cause de la politique imbécile de certains, l’islam refait surface sur ces vieilles terres orthodoxes de Serbie, de Thrace ou de Bulgarie.
Tout au long de ces siècles de domination ottomane ou arabe, vécue comme un vrai calvaire par les populations soumises au bon vouloir des pachas, effendis, agha, caïmacan, dahi, et autres califes, des millions de Chrétiens (hommes, femmes et enfants) ont été assassinés, égorgés, violés, déportés, brûlés vifs, dépecés vivants.
Tous cela au nom d’Allah et des principes coraniques.
Aujourd’hui encore – les récents événements tragiques du Kosovo le prouvent, des massacres sont commis au nom de la « soumission » à Dieu, traduction littérale du mot islam.
A un moment où faire repentance est devenu un passage obligé quand il s’agit du colonialisme, de l’esclavage ou de bien d’autres choses encore, ne serait-il pas temps que les Musulmans fassent aussi repentance en reconnaissant l’étendue de leurs crimes contre l’humanité ?



Françoise Monestier
Colloque régional « L’islam contre les femmes »
Paris, 7/02/2002

38L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 18 Mar - 18:03

yacoub

yacoub

Je me sens la responsabilité de dénoncer l’islam
mai 2, 2007 — --
Menacée de mort par une fatwa lancée par les fondamentalistes de son pays, l’écrivain bangladaise, qui vit en exil depuis huit ans, dénonce la condition des femmes musulmanes, considérées comme des «êtres de seconde classe» dans les pays où la charia fait office de droit. Pour elle, ce n’est pas seulement le fondamentalisme qu’il faut incriminer, mais bien l’islam, le «vrai», et le Coran tout entier… On pourra trouver ces propos choquants, objecter que seule une certaine interprétation du Coran est responsable des souffrances infligées aux femmes… Mais une chose est avérée: ces souffrances sont bien réelles. Et on ne peut pas les ignorer.
Pourquoi est-il important pour vous d’évoquer à nouveau la condition des femmes musulmanes?
Partout dans le monde, les femmes sont opprimées par les religions, les coutumes, les traditions. Mais là où elles souffrent le plus de nos jours, c’est dans les pays islamiques. L’Occident a instauré la laïcité, la séparation des Eglises et de l’Etat, alors que dans la plupart des pays musulmans les femmes sont toujours sous le joug de sept cents ans de charia. Des millions de femmes endurent de terribles souffrances.
Elles sont enfermées, brûlées, lapidées à mort… Venant d’une famille musulmane, je me sens la responsabilité de dénoncer l’islam, car les femmes qui y sont soumises n’ont ni les droits ni la liberté qu’elles devraient avoir.
On leur a inculqué depuis des siècles qu’elles étaient des esclaves pour l’homme, qu’elles devaient suivre le système que les hommes ou Dieu ont créé.
Sous la charia, les femmes sont considérées non pas comme des êtres humains, mais comme des objets sexuels, des êtres de seconde classe.
Nous n’avons pas besoin de cette loi, il faut la combattre!
De quelle façon votre propre vie illustre-t-elle cette condition féminine? En êtes-vous un bon exemple?
Je le suis. J’ai vécu dans une société dominée par les hommes. Toute mon enfance, j’ai beaucoup souffert, surtout parce que la tradition m’interdisait de sortir. Je devais rester à la maison, pour aider ma mère. Celle-ci n’était pas la seule à être opprimée. Toutes les femmes l’étaient: mes tantes, mes voisines… A l’époque, je ne voyais pas cela comme de l’oppression, mais comme le fruit de la tradition. Je ne comprenais pas que l’islam était l’outil du système patriarcal. Je vivais dans une société musulmane, dans une famille musulmane, et j’avais l’habitude de voir les femmes enveloppées dans leur burqa de la tête aux pieds, se faire battre par leur mari, qui pouvait être polygame ou qui divorçait quand il le voulait. Je pensais alors que, peut-être, ces hommes agissaient mal, que sûrement l’islam ne permettait pas de telles choses.

C’est en lisant le Coran que vous avez vu les choses différemment?
Oui. C’est ma mère qui m’a enseigné le Coran. J’avais aussi un maître qui venait à la maison m’apprendre l’arabe pour que je puisse déchiffrer le texte, sans que je le comprenne vraiment. Souvent, les femmes ne savent pas ce que dit le Coran, car le texte est écrit en arabe, et dans beaucoup de pays non arabophones on déchiffre l’arabe sans comprendre le sens des versets… Mais, à 14 ans, je suis tombée sur un Coran traduit en bengali, et j’ai comparé plus de 12 traductions bengalies différentes… A ma grande surprise, j’ai compris que c’était bien Allah qui déclarait les femmes inférieures, qui prônait la polygamie, le divorce uniquement pour les hommes, le droit de battre leurs épouses, l’interdiction faite aux femmes de porter témoignage en justice, l’inégalité en matière d’héritage, le port du voile… Oui, Allah permettait tout cela. J’ai compris que la condition des femmes musulmanes n’était donc pas un problème spécifique à la société bengalie, mais bien le fait de la loi d’Allah, une loi terrifiante, ou plus précisément de la loi que Mahomet avait faite au nom d’Allah…
Lorsque j’ai tenté de critiquer l’islam au nom des femmes et de la justice, les fondamentalistes sont devenus fous; ils n’ont pas accepté de débattre, ils n’ont pas argumenté, ils ont seulement voulu me faire taire et me tuer.
Ils ont décrété une fatwa que le gouvernement a cautionnée au lieu de les sanctionner. Ce n’était pas illégal, puisque le Coran dit que l’incroyant doit être tué: Allah le permet. Pour sauver ma vie, j’ai été forcée de me cacher et de quitter mon pays, sachant que beaucoup de gens me soutenaient mais ne pouvaient le dire publiquement.
Est-ce vraiment le Coran qui est responsable, ou les fondamentalistes qui l’interprètent à leur manière?
Beaucoup de musulmans modernes disent que les fondamentalistes ont tort, que ces derniers ne représentent pas le vrai islam, et que celui-ci n’a jamais prescrit d’assassiner les incroyants. C’est faux!
C’est bien l’islam, le vrai islam, l’authentique islam, qui prescrit de tuer les apostats et les incroyants. Cela est explicite dans le Coran.
Le Coran dit même que l’on peut tuer les juifs et les chrétiens et que, si on se lie d’amitié avec eux, Allah promet l’enfer.
Ne serait-il pas plus juste de dire qu’on y trouve des versets contradictoires?
Oui, mais c’est uniquement parce que, lorsque Mahomet n’avait pas le pouvoir, il recherchait des alliances politiques avec les non-musulmans. Il se voulait tolérant. Mais, dès qu’il eut le pouvoir, il changea radicalement et commença à parler de massacrer les non-musulmans… Si les fondamentalistes ont voulu me tuer, c’est parce qu’ils veulent vraiment appliquer le vrai islam. Ils sont l’islam authentique. Les musulmans qui souhaiteraient voir les femmes libérées sont en contradiction avec leur doctrine: Allah ne les aurait pas acceptés.
Le Coran le dit clairement, et ce sont les paroles d’Allah lui-même: «Les hommes ont autorité sur les femmes du fait que Dieu a préféré certains d’entre vous à certains autres, et du fait que les hommes font dépense, sur leurs biens, en faveur de leurs femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes… celles dont vous craignez l’indocilité, avertissez-les! Reléguez-les dans les lieux où elles couchent! Frappez-les… (4.34).»

Que dit-il de la vie sexuelle des femmes?
L’islam considère la femme uniquement comme un objet sexuel, un objet sale comme de la merde, car le Coran dit textuellement: «Ô vous qui croyez, si vous êtes malade ou en voyage, si vous avez été en contact avec vos excréments ou que vous ayez touché une femme et que vous n’ayez pas d’eau, recourez à du sable [avant de prier] (4.43).» Il dit aussi: «Vos femmes sont un champ de labour pour vous. Venez-y comme vous voulez.» Donc, quand les hommes veulent et comme ils veulent! Que la femme veuille ou non, la question n’est jamais posée! Les hadith précisent que deux catégories de prières n’atteignent jamais les cieux: celles de l’esclave en fuite et celles de la femme qui se refuse la nuit à son mari…
Et le voile?
Il faut savoir que le voile existe uniquement parce que Mahomet était très jaloux de ses amis qui venaient lui rendre visite et regardaient Aïcha, sa femme. Il ne pouvait tolérer cela. C’est alors qu’il dit avoir reçu une révélation d’Allah lui disant que les femmes devaient se couvrir face au regard des hommes. Il imposa donc le voile à Aïcha, et par extension à toutes les femmes. Réalisez aussi que Mahomet a pris Aïcha pour femme quand elle avait 6 ans! Ce qui est, bien sûr, un abus d’enfant. Oui, je pourrais qualifier Mahomet d’abuseur d’enfant. Et le voile est, pour moi, le signe de la plus profonde oppression.
Réalisez-vous que vos propos peuvent être considérés comme choquants, voire insultants, pour l’islam?
Si c’est insulter l’islam que d’affirmer que le Coran est un texte oppressif, alors je peux insulter l’islam. Ce qui compte pour moi, c’est l’être humain, et non le texte. L’islam n’est pas une personne avec un cœur et des sentiments. Ce n’est qu’une création humaine qui date de très longtemps. Je pense réellement que l’islam est une torture contre les femmes, une torture que nous devons combattre. Mon stylo est ma seule arme. Je ne me trouve pas spécialement radicale. Je dis seulement la vérité. Tout est écrit dans le Coran. C’est moi qui ai été choquée quand je l’ai lu pour la première fois, quand j’ai vu que des millions de gens croyaient encore à ce livre horrible. Comment est-ce possible si l’on croit aussi à l’humanisme? Je pense que toute personne consciente serait choquée comme moi.
Vous n’avez pas peur de parler ainsi?
Pourquoi aurais-je peur, puisque je dis la vérité? Même au Bangladesh, je parlais de cette manière, et je n’avais pas peur. Le Coran ne dit rien sur la réalité du monde, il ne permet pas la mise en œuvre des droits de l’homme, de la démocratie, de la liberté d’expression. Il est plein d’idées fausses sur l’Univers.

Plutôt que la cause de l’oppression, le Coran ne serait-il pas un prétexte dont les hommes se servent pour conserver leur pouvoir sur les femmes?
C’est parce que le texte existe qu’ils peuvent s’en servir. Si ce texte n’était pas considéré comme provenant d’Allah, intangible pour tous les temps passés et à venir, alors le Coran ne serait pas important. En réalité, les fondamentalistes peuvent justifier leurs crimes du seul fait que ce texte est considéré comme saint.
Il n’y a donc rien à garder du Coran?
Non, parce que maintenant nous connaissons la modernité et les droits de l’homme. J’ajoute que, pour moi, il n’y a pas de conflit entre l’Islam et l’Occident, entre la chrétienté et l’islam; il existe plutôt un conflit entre sécularisation et fondamentalisme, entre pensée logique et pensée irrationnelle, entre innovation et tradition, passé et présent, modernité et antimodernité, entre ceux qui valorisent la liberté et ceux qui ne la recherchent pas. Je défends les musulmans partout où ils sont opprimés, en Inde ou ailleurs quand ils sont en minorité. Je suis contre la violence. La violence n’est jamais une solution. Je sais que la plupart croient en l’islam d’abord par ignorance et parce que les politiciens se servent de la religion pour les maintenir dans l’ignorance. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une éducation éclairée. Il y a des siècles, des hommes ont créé l’islam. Le Coran peut être considéré comme un document historique. Je n’ai jamais dit qu’il fallait le détruire, pas plus qu’il ne faut détruire les hadith! On doit le prendre comme un élément de notre histoire passée, mais ne pas chercher à l’appliquer de nos jours.
Vous ne pouvez pas nier une certaine évolution de la condition des femmes. On n’est quand même plus au temps du Prophète!
Bien sûr. Mais l’essentiel ne change pas. Un exemple: au Bangladesh, avant 1962, un homme qui voulait divorcer devait simplement prononcer trois fois le mot «divorce» pour l’obtenir. Depuis la réforme de la loi islamique, il lui suffit d’écrire une simple lettre à l’autorité locale, et le divorce est prononcé. Où est la différence? Autre exemple: si un homme veut se marier une seconde fois, il doit demander la permission à sa première femme. En réalité, comme celle-ci continue à dépendre économiquement de son mari, elle n’a pas d’autre choix que d’accepter… De même, lapider une femme n’est plus légal au Bangladesh. Pourtant, cela arrive quotidiennement dans les villages, et les autorités laissent faire: les fondamentalistes répondent simplement qu’ils ne font que suivre la loi d’Allah. Pour moi, ces réformes n’ont aucun sens. Je veux une révolution.
Tout dépend des pays. Au Maghreb, par exemple, les jeunes femmes semblent plus libres que leurs mères.
Dans certains pays musulmans, il arrive que des femmes aient plus de liberté sexuelle, mais ce n’est pas grâce à l’islam. Si elles ont plus de liberté, c’est parce qu’elles l’ont prise! Aucune société ne la leur a accordée. Il reste que la majorité des femmes musulmanes a toujours peur et ne peut rejeter le système si facilement.
Que souhaitez-vous dire à toutes ces femmes?
Je voudrais leur faire comprendre qu’elles doivent lire le Coran avec un esprit clairvoyant pour y chercher une quelconque justice. Si elles ne la trouvent pas dans le texte (et elles ne la trouveront pas), elles devront cesser de suivre ces règles et commencer à se battre. A chacune de trouver la manière de le faire. La mienne, c’est l’écriture. Je veux simplement les encourager, leur dire que, si nous voulons être plus civilisés, nous ne pouvons plus suivre ces livres qui prescrivent l’inégalité. Je veux leur faire prendre conscience que, si elles n’entament pas leur propre libération, alors leurs filles souffriront, elles aussi. Peut-être que les femmes d’aujourd’hui ne verront pas l’avènement d’une société laïque de leur vivant, mais il est de leur devoir de la préparer pour les futures générations. A celles qui ne se battent pas pour faire cesser l’oppression de ce système patriarcal et religieux, je dis: honte à vous! Honte à vous de ne pas protester, honte à vous de conforter un tel système! C’est difficile, car il existe une sorte de conspiration qui maintient les femmes dispersées et isolées (dans de nombreux pays musulmans, elles n’ont pas même le droit d’entrer dans les mosquées) et il est difficile pour elles de se rassembler… Mais, dorénavant, les femmes doivent conquérir leur indépendance économique. Elles doivent se battre pour vivre dans la dignité, en êtres humains. Nous avons besoin maintenant d’une éducation laïque, nous avons besoin des Lumières.
L’Express du 10/04/2003

39L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 18 Mar - 18:06

yacoub

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L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 375702

40L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 17:44

yacoub

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Ibn Warraq publie en 1995 " Pourquoi je ne suis pas musulman ".

Préface deTaslima Nasreen

" L’idée maîtresse contenue dans l’argumentation d’Ibn Warraq est énnoncée avec force : le problème n’est pas simplement l’intégrisme musulman, mais l’islam lui-même. Non seulement les médias occidentaux, desquels nous n’esperons plus guère de grands principes moraux ou de courage, mais également les intellectuels font preuve de lâcheté quand il est question d’une juste critique morale de l’islam et de ses dogmes…

(Ibn Warraq) démontre de façon convaincante que les atrocités commises en Algérie ou en Afghanistan ou encore au Soudan, par exemple, sont la conséquence logique des principes gravés dans le Coran, les Hadiths, la Sunna et la Charria. Autrement dit, ce que l’ayatollah Khomeini a mis en pratique en Iran c’est l’islam, l’islam véridique, et non pas quelque aberration (…) Quand il décrète sa sentence de mort contre Rushdie, Khomeini ne fait que suivre un précédent instauré par Mahomet, le fondateur de l’islam, celui-là même qui n’avait aucun scrupule à obtenir vengeance ou régler une querelle par l’assassinat politique.

Le Jihad (…) est clairement prôné par la loi islamique, et le Coran foisonne de passages, qui exhortent le croyant à tuer l’incroyant ou le non-musulman (…) L’islam a conquis par l’épée, et ce faisant il a détruit la chrétienté en orient et la culture persane séculaire, pillant et brûlant les églises et les temples ; il a dévasté l’Inde et a littéralement mis à sac des milliers de temples hindous. (…)

La situation déplorable des femmes est aussi une conséquence logique des principes qui sont parsenés dans tout le Coran, les Hadiths et la charia (…)

Warraq insiste sur la nature totalitaire de l’islam ; montrant en quoi il est incompatible avec le respect des Droits de l’Homme. Warraq aborde également les récentes découvertes sur les origines de l’islam, découvertes qui jettent de lourdes suspicions sur l’authenticité des sources islamiques, lesquelles naturellement sont toutes tardives. Warraq nous explique légalement en détails les influences qu’ont exercées le paganisme, la manichéisme, le judaïsme et le chritianisme sur Mahomet, et qui lui permis de fonder l’islam. Le Coran est également considéré comme un document extrêmement humain, grouillant d’erreurs grammaticales et historiques, dont il n’existe pas non une, mais des milliers de versions. "

Autre préfaceur de ce livre ( cette fois-ci en 1998) , le général Salvan, en parlant des terribles épreuves historiques du XXème siècle, écrit : " Pendant ce temps, des Musulmans ressuscitent le mythe de l’âge d’or de l’Islam primitif, qui serait capable de résoudre tous les problèmes actuels, et ils présentent aux peuples désemparés une foi simple à pratiquer et une idéologie conquérante . Or, qu’il s’agisse de la violation de nos lois ou de nos principes constitutionnels, les pouvoirs publics et les dirigeants religieux français font preuve de lâcheté et de laxisme dès que les Musulmans sont en cause, depuis plus de soixante ans. Auraient-ils mal digéré la colonisation ? Se souviendraient-ils de douze siècles d’une histoire tumultueuse ? Est-il judicieux d’inclure l’islam, qui s’est historiquement constitué comme une praxis de la lutte contre le judaïsme et le chritianisme, dans le front des croyants que l’Eglise des catho lique tente de rassembler depuis " La dernière tentation du Christ " ? (…)

En tout cas, nos compatriotes saisissent mal pourquoi des immigrants illégaux ne peuvent être expulsés s’ils sont Musulmans, pourquoi des religieux leur ouvrent leurs églises ou leurs temples, pourquoi, lorsque deux voyous s’entre-tuent, si l’assassin est Européen, c’est un crime raciste, et si le tueur est Musulman, il s’agit d’un banal fait divers. Depuis plus de dix ans, tous ceux qui tentèrent chez nous de mettre en évidence le vrai visage de l’Islam n’ont trouvé auncun média pour donner quelque retentissement à leurs œuvres, sans parler des risques professionnels ou autres…

Ibn Warraq se pose la question de la stagnation de l’Islam depuis 7 siècles. Pourquoi, à partir d’El Ashari et de Ghazali, depuis le 12ème siècle de notre ère, des théologiens et des juristes musulmans sont-ils parvenus à interdire la confrontation entre l’Islam, la philosophie grecque et européenne et la science occidentale ? Pourquoi un Saint Thomas d’Aquin, ou un Teilhard de Chardin, qui tentèrent d’effectuer une synthèse de leur foi et des données de la science de leurs époques ont-ils eu plus de succès qu’Avicenne ( Ibn Sinna, 980-1037), Averroès (Abu Ibn Rushd, 1126-1198), Ibn Khaldoun ( 1312-1406) dans le monde musulman ? Comment le cheik Abd el Azis el Baz, suprême autorité religieuse saoudienne, a t-il pu lancer la fatwa suivante : " La terre est plate, celui qui déclare qu’elle est sphérique est un athée méritant une punition " (International Hearld Tribune, Youcef M.Ibrahim, 13 février 1995, P.1) ?

Le fond de ces problèmes dérive bien entendu du gouffre culturel qui sépare Occidentaux et Musulmans. Même pour ceux qui se prétendent agnostique ou athées –et Ibn Warraq ne fait pas exception- la religion est le noyau dur de chaque culture. Pour l’immense majorité des Musulmans, le Coran est la parole même d’Allah, à laquelle on ne pourrait rien ajouter ni retrancher

41L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:01

yacoub

yacoub

Taslima Nasreen agressée par des pacifiques et doux musulmans

https://www.youtube.com/watch?v=zTDM-si7RFM

42L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:02

yacoub

yacoub

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43L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:19

becharelkhir

becharelkhir

Ce masochiste "remboursé"(...), se complait certainement dans la souffrance morale,pour éprouver et le plaisir et un bon remboursement pour venir à sa survie,puisqu'il avait vendu sa dignité il y a longtemps.
Le pauvre il est compris dans sa sale besogne...

44L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:28

yacoub

yacoub

becharelkhir a écrit:Ce masochiste "remboursé"(...), se complait certainement dans la souffrance morale,pour éprouver et le plaisir et un bon remboursement pour venir à sa survie,puisqu'il avait vendu sa dignité il y a longtemps.
Le pauvre il est compris dans sa sale besogne...

c'est du charabia:lol: :lol:

45L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:37

becharelkhir

becharelkhir

C'est simple à dire,mais les faits sont là

46L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:54

yaz



yacoub a écrit:
becharelkhir a écrit:Ce masochiste "remboursé"(...), se complait certainement dans la souffrance morale,pour éprouver et le plaisir et un bon remboursement pour venir à sa survie,puisqu'il avait vendu sa dignité il y a longtemps.
Le pauvre il est compris dans sa sale besogne...

c'est du charabia:lol: :lol:
ton islamophobie agraver t empechent de lire , mr l islamophobe haineux de la religion de paix l ISLAM..tu vois biens que dans ces cas là , ta grand mire là Française ne te servent à riens dans l expressions LATINO-ARABE..seul les vrais nord Africains maitrise celà..:arrow: :bball: :affraid:

47L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:55

yacoub

yacoub

N'importe quoi!
Ca montre ton aliénation religieuse
au lieu de reconnaitre que l'islam est un véritable fléau pour les femmes, tu feins de croire que je suis sioniste que je suis tenaillé par leremords de m'en prendre à cette religion la plus belle.

48L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:59

yacoub

yacoub

yaz a écrit:ton islamophobie agraver t empechent de lire , mr l islamophobe haineux de la religion de paix l ISLAM..tu vois biens que dans ces cas là , ta grand mire là Française ne te servent à riens dans l expressions LATINO-ARABE..seul les vrais nord Africains maitrise celà..

:lol: :lol: :lol: :lol:

Qu'est-ce que tu penses de Taslima Nasreen ?

49L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 18:59

yaz



ta deviner tous seul mr l islamophobe ou biens c est dans là boule de 'christal' d une voyante juif ?..:arrow: :affraid:

50L'HUMANISME DE L'ISLAM - Page 2 Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 19 Mar - 19:01

yaz



yacoub a écrit:
yaz a écrit:ton islamophobie agraver t empechent de lire , mr l islamophobe haineux de la religion de paix l ISLAM..tu vois biens que dans ces cas là , ta grand mire là Française ne te servent à riens dans l expressions LATINO-ARABE..seul les vrais nord Africains maitrise celà..

:lol: :lol: :lol: :lol:

Qu'est-ce que tu penses de Taslima Nasreen ?
qui est cette dame?..:arrow:

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