becharelkhir a écrit:Est ce que tu couches aussi sur ton ventre ,pour laisser les autres te bousiller,et c'est ce vice qui te contrains à évoquer
sans cesse ce genre de saletés,tache de te faire soigner!!??,pour que tu puisse oublier au moins un peu cette honte...!!
Les hommes,mais les vrais hommes et surtout les humains d'entres eux,n'osent même parler de ces saletés en public,le bien "civilisé et le trés démocrate" !!!
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
C'est justement l'amour musulman par excellence.
Puisque le musulman meprise la femme, il se console avec des hommes.
Au paradis aussi Allah dans son bordel lui promet des mignons.
Séquestrée en Arabie saoudite par son mari violent, une Québécoise veut rentrermercredi 2 avril 2008, par Annie Lessard, Marc LebuisLes
médias rapportent aujourd’hui l’histoire cauchemardesque de Nathalie Morin,
une Québécoise mariée et établie en Arabie saoudite, mère de deux enfants. Victime de violence et séquestrée par son mari, elle souhaite rentrer au pays. Sa mère a demandé l’aide du Ministère des affaires étrangères et les négociations traînent en longueur.
Nathalie a rencontré son mari à Montréal alors qu’elle n’avait que 17 ans. Elle est rapidement tombée enceinte. Originaire d’Arabie saoudite, son mari revendiquait le statut de réfugié politique. Elle est allée le rejoindre en Arabie après qu’il ait été expulsé du Canada, sa demande de statut de réfugié ayant été refusée. Là-bas, elle a eu un autre garçon.
Elle et ses enfants sont maintenant assujettis aux lois du royaume saoudien. Elle ne peut sortir du pays sans l’autorisation de son mari. Quant à ses enfants, elle devra vraisemblablement les laisser derrière elle si jamais elle réussit à rentrer au Québec. Aux musulmanes du Québec qui clament haut et fort que l’islam accorde tous ses droits à la femme, nous vous suggérons de communiquer avec les autorités saoudiennes pour leur demander de cesser de porter atteinte aux droits de Nathalie.
L’histoire de Nathalie est bien triste. Elle illustre la naïveté des Québécoises qui épousent des hommes dont le statut au pays est précaire. D’ailleurs, dans bien des cas, elles se font exploiter par ces étrangers qui espèrent, en ayant une épouse et un enfant canadiens, pouvoir assurer plus facilement l’obtention d’un visa en invoquant leurs attaches familiales.
Nathalie est allée vivre de son plein gré en Arabie saoudite, avec la bénédiction de sa mère. Elle et sa mère doivent maintenant assumer la responsabilité de leurs choix.
L’Arabie saoudite a été élue au Conseil des droits de l’homme en 2007. Pour l’Arabie, évidemment, les droits de l’homme ne s’appliquent pas aux femmes. La militante saoudienne Wajiha Al-Huweidar se plaint que
Pour les femmes, l’Arabie est pire que Guantanamo.
Dans son
rapport 2007 sur l’Arabie saoudite, Amnistie internationale indique que « les femmes continuaient d’être victimes de discrimination généralisée, et notamment de restrictions draconiennes à leur liberté de mouvement. Les violences domestiques restaient très répandues ; la Société saoudienne des droits humains a indiqué qu’elle avait recensé des centaines de cas de violences au sein de la famille ».
Voici l’histoire de Nathalie telle que rapportée par LCN.
Québécoise en Arabie saoudite - Son mari violent lui interdirait de quitter le pays, LCN, le 2 avril 2008En 2001, Nathalie Morin avait 17 ans lorsqu’elle a rencontré un Saoudien qui demeurait à Montréal. Quelques mois plus tard, elle était enceinte de lui. Le couple a dû se séparer quand l’homme de 31 ans a été expulsé du Canada parce qu’il n’était pas considéré comme un véritable réfugié politique.
Après deux voyages, Nathalie Morin a finalement choisi de s’installer avec son nouvel époux en Arabie saoudite en 2005. Elle a eu un autre garçon. Les relations se sont alors détériorées. La jeune femme dit à sa mère que son mari est violent et la séquestre.
La mère de Nathalie Morin a fait parvenir une lettre au ministre des Affaires étrangères du Canada, Maxime Bernier, afin qu’il aide sa fille.
« On est préoccupés par la situation. Je peux vous dire que nos agents consulaires, depuis 2003, travaillent régulièrement avec le gouvernement saoudien sur ce cas-là », a rétorqué le ministre.
Nous présentons des informations affichées sur le site du Ministère canadien des affaires étrangères, dans la section
Conseils aux voyageurs, Arabie saoudite ou dans la section
Voyager au féminin.
Conseils aux femmes qui voyagentCertains candidats à l’immigration considèrent le mariage avec une Canadienne comme un moyen d’obtenir un visa canadien. Il ne s’agit pas de romantisme.
Les droits des femmes, les relations sexuelles préconjugales, la garde des enfants et d’autres questions ont peut-être un sens très différent de celui que vous connaissez. Si vous n’êtes pas bien informée avant de partir, vous risquez d’avoir de graves ennuis plus tard.
Épouser un non-Canadien à l’étranger : questions/réponsesQ : Si j’épouse un non-Canadien à l’étranger, mon conjoint peut-il m’empêcher de rentrer au Canada et d’y ramener mes enfants ?
R : Dans de nombreux pays, le mari peut légalement interdire à son épouse et à ses enfants de voyager et les empêcher de rentrer au Canada. Les lois lui permettent aussi parfois de conserver le passeport et les biens de son épouse, même en cas de divorce.
Q : Quelle sorte d’assistance consulaire le gouvernement du Canada peut-il m’offrir si j’éprouve des difficultés liées à un mariage à l’étranger ?
R : Les agents consulaires peuvent vous aider si : vous êtes victime d’abus, vous avez besoin d’aide pour rentrer au Canada, vous avez besoin d’une liste d’avocats, vous craignez de subir un traitement non équitable en vertu des lois du pays ou vous avez besoin d’assistance à l’étranger. Pour obtenir de l’aide, communiquez avec le bureau du gouvernement du Canada le plus proche, téléphonez au Centre des opérations d’urgence, au 1-800-267-6788 (en Amérique du Nord), ou appelez à frais virés le 613-996-8885 (dans les pays où ce service est offert).
Sortir de l’Arabie saouditeLes personnes qui résident en Arabie saoudite ne peuvent quitter le pays sans obtenir d’abord un permis de sortie et de rentrée s’ils ont l’intention d’y retourner. Les visiteurs titulaires d’un visa d’entrée pour un séjour unique n’ont pas besoin de permis de sortie. Le répondant saoudien doit approuver les demandes de permis. Une femme mariée qui séjourne en Arabie saoudite avec son mari doit obtenir l’approbation de ce dernier pour recevoir un permis de sortie. Un père doit approuver le départ de ses enfants. L’ambassade et le consulat du Canada ne peuvent en aucun cas parrainer les citoyens canadiens qui demandent un permis de sortie.
La garde des enfantsAu Québec, la loi applicable à la garde d’un enfant est celle du pays où il est domicilié. Une fois les enfants hors du pays, les règles québécoises et canadiennes ne s’appliqueront plus forcément.
Même si Nathalie rentre seule au Québec et obtient une ordonnance d’un tribunal canadien lui attribuant la garde de ses enfants, l’Arabie saoudite ne reconnaîtra pas ce jugement.