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SAHARA MAROCAIN OU SAHARA ONUSIEN

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Sidhoum

Sidhoum

sabria a écrit:Comment l'auteur de cet article peut-il savoir avant même le référendum que l'autodétermination va déboucher automatiquement sur l'indépendance? il ne fait pas de distinction entre l'autodétermination ( qui est la voix du peuple de se déterminer donc, dans ce cas, de se prononcer pour ou contre l'indépendance) et l'indépendance proprement dite. Il fait un amalgame impardonnable pour un journaliste si bien sûr, il en est un. Soit, il prend ses désirs pour des réalités au point d'oublier qu'une grande partie de ce peuple se trouve au Maroc, soit c'est un ignare qui ne connaît pas la portée des mots. Quand on opte pour le référendum, on attend que les concernés se prononcent au lieu d'anticiper et de parler d'emblée d'indépendance. pourquoi l'autodétermination dans ce cas?

Cela me fait rappeler ces banderoles durant la révolution agraire de 1 mètre de largeur et 10 mètres de long inscrite avec ces 2 mots contradictoires “VOLONTARIAT OBLIGATOIRE!”.

Mon Dieu que l’Algérie est un spectacle. C’est vraiment Hollywood! (y a pas un Roi pour fournir el'freinates et bien élever un peuple sans queue ni tête, c’est comme une famille avec un père h’bil)

N’oublions pas que le premier président, dans son discours au peuple, a dit « en 62, nous étions au bord du précipice, notre économie était Zéro ! Aujourd'hui, grâce à Allah, nous avons fait un grand pas en avant et nous avons multiplié notre économie par 10 ! » (Le peuple TOUT entier + les hauts responsables ( ?!?) applaudissaient!!!!)

(….naaari, nari….laissez-moi pleurer maintenant….yaz, apportes-moi mon thé au jardin yal el’h’mar!)

yacoub

yacoub

Et le colonel Boumediene en a rajouté: " L'Algerie en 1965 etait au bord du goufre mais grâce au réajustement revolutionnaire, elle a fait un grand pas en avant".:lol: :lol:

Chadli a lui aussi ce mot historique :
"un pays qui n'a pas de problèmes n'est pas un pays.

Heureusement que l'Algerie n'a pas de problème".:lol: :lol:

Avec l'arabisation et l'islamisation ce n'est pas etonnant que
ils veulent en majorité dawla islamia

sabria



Sidhoum bonsoir ou peut être bonjour si vous êtes au USA

MDR pour volontariat obligatoire. Je ne la connaissais pas celle-là. c'est comme ce journaliste qui veut l'autodétermination mais aussi l'indépendance. En fait, il ne veut pas n'importe quelle autodétermination. Il veut celle qui donne l'indépendance. C'est la démocratie à sens unique.

254SAHARA MAROCAIN OU SAHARA ONUSIEN - Page 11 Empty Bonjour Sabria. Mar 6 Mai - 20:19

Sidhoum

Sidhoum

Je pari que vous n’avez pas entendu tous ces épisodes superbes de l’Algérie cilima:

Une fois Kaït Ahmed faisait un discours pour un VOLONTARIAT OBLIGATOIRE aux étudiants de l’université d’Alger.

La cloche a sonné et un étudiant s’est levé pour partir.

Kaït Ahmed lui a dit : ou tu vas toi? Assois-toi, je n’ai pas encore fini.

L’étudiant, intimidé, répond: mais c’est l’heure de mon cours en science politique, j’ai entendu la cloche sonner.

Kaït Ahmed lui répond d’un ton ferme: ASSOIS-TOI, LA SEULE CLOCHE ICI ÇI MOUA!!!
[



Dernière édition par Sidhoum le Mar 6 Mai - 23:09, édité 1 fois

sabria



Merci pour ce fou rire que vous m'avez donné. je ne connaissais pas celle là aussi. C'est du inédit et du sensationnel pour moi. Merci encore Sidhoum, J'ai ri jusqu'aux larmes

admin"SNP1975"

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Négociations entre les USA et le Maroc pour l'établissement de l'Africom au Sahara occidental
La polémique autour de l'établissement d'un commandement militaire américain en Afrique rebondit. Les révélations de l'édition ivoirienne du magazine "Marchés tropicaux et méditerranéens" du 1er février sont pour le moins troublantes. Sous le titre "Africom : sans quartier général fixe", l'un des articles du magazine en question indique qu'après avoir été confronté à l'hostilité de nombreux pays d'Afrique du Nord et du Sahel, ainsi que le Nigeria, l'Africom, actuellement établie à Stuttgart, en Allemagne, négocierait avec Rabat une installation dans le "Sud marocain" entendre par là le territoire du Sahara Occidental occupé bien évidemment. Selon le même article, l'Africom ne pourrait opérer depuis Stuttgart.
Le magazine reprend les propos de l'économiste français Michel Rogalski, chercheur au CNRS qui affirme que "c'est absurde, Africom cherche à quitter Stuttgart, ils ont déjà essayé plusieurs fois". L'article en question évoque également l'intervention du chercheur à Dakar, le 24 janvier dernier, qui a annoncé que le quartier général de l'Africom pourrait être abrité dans une base militaire située dans le Sud marocain. Et en dépit des démentis de Mary Carlin Yates, qui prétend n'avoir entamé "aucune discussion avec un pays du Maghreb", M. Rogalski maintient son affirmation en disant que "les négociations avec le Maroc sont à un stade avancé. C'est une information qui m'a été transmise il y a environ une semaine. Mais cette décision est difficile à rendre publique, notamment pour les autorités marocaines". "Marchés tropicaux et méditerranéens" n'hésite pas à évoquer dans ce sens la promesse d'une aide accrue au Royaume chérifien. Il est clair donc que la position américaine sur le dossier du Sahara occidental risque d'aller à l'encontre de la légalité internationale. Ce ne sera pas la première fois en tout cas. Depuis les attentats du 11 septembre, Washington a lancé sous le couvert de la lutte internationale contre le terrorisme une chasse aux sorcières, bravant tous les préceptes du droit international. En Afrique, c'est à coups de pseudo-aides au développement et de vidéo-conférences et de tournées de hauts responsables américains que la Maison-Blanche veut faire aboutir le projet de mise en place d'un commandement militaire pour l'Afrique. Tant d'obstination ne peut s'expliquer que par les richesses pétrolières enfouies dans le sous -sol sahélien. D'après M. Rogalski "dans dix ans, 25% du pétrole importé par les États-Unis viendra d'Afrique, contre 18 % actuellement, dépassant déjà les quantités de pétrole importées du Moyen-Orient (17 %)". L'enjeu est clair. Washington n'a pas réussi à obtenir le soutien du Nigeria qui est le plus gros producteur de pétrole africain. L'Alternative du Sahara occidentale attise les convoitises de la Maison-Blanche, d'autant que ses richesses pétrolières et minières sont aujourd'hui avérées.
Lyès Bensid

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Création d’une base US en Afrique
Le Pentagone met en veilleuse l’Africom
Par :Abdelkamel K.
Revoyant leurs prétentions à la baisse, les stratèges militaires américains remettent à plus tard la création d’une base pour accueillir le siège de l’Africom sur le continent, dans l’espoir de tempérer les ardeurs des pays opposés à ce projet, pour probablement revenir à la charge au moment opportun.

Malgré l’accord officiel du Liberia et la disposition du Maroc à abriter la base militaire devant servir de siège au commandement général de l’Africom, le Pentagone a décidé de différer à une date ultérieure la construction de cette installation, voire l’implanter ailleurs. Le refus de nombreux autres pays, notamment l’Algérie et le Nigeria, a pesé lourd dans la décision des hauts responsables militaires américains, qui ont opté à son maintien temporaire à Stuttgart en Allemagne, en attendant d’y voir plus clair. Il faut dire qu’en dépit de toutes les pressions, argumentées par la menace sécuritaire planant sur la région du Sahel, et les propositions alléchantes, Washington n’a pas réussi à convaincre ses interlocuteurs, à l’exception des deux pays cités précédemment.
C’est dire les limites de l’influence des Américains dans le monde à travers la présence militaire. Il n’en demeure pas moins que ce renoncement n’est que temporaire, car les intérêts américains dans la région sont trop importants pour que cette histoire d’installation du commandement de l’Africom sur le continent soit mise au placard définitivement. Outre le volet sécuritaire, qui est mis officiellement en avant par les États-Unis, il y a surtout le côté économique, en l’occurrence le pétrole, qui est derrière cette détermination à concrétiser ce projet. La concurrence chinoise dans ce domaine devenant de plus en plus grande, comme le montrent les échanges spectaculaires entre Pékin et les pays africains, qui se sont multipliés par vingt en six ans. Les Américains ne veulent pas que la percée économique des pays asiatiques en Afrique, car il y aussi sur les rangs l’Inde, qui s’est faite sur le dos de l’Europe, se fasse également à leur détriment. Il est hors de question que les richesses pétrolières africaines leur échappent, d’autant plus que dans dix ans, “25% du pétrole importé par les États-Unis viendront d'Afrique, contre 18% actuellement, dépassant déjà les quantités de pétrole importées du Moyen-Orient (17%)”, selon l'économiste français Michel Rogalski, chercheur au CNRS. Un récent communiqué du département d’État américain a mis l’accent sur l’importance du rôle de l’Africom, lequel sera chargé d'entretenir des relations avec 33 pays africains, en plus des ambassades et consulats, attachés militaires, du Groupe d'intervention mixte de la Corne de l'Afrique ainsi que des divers autres centres de commandement. Pour le Centre d'études stratégiques et internationales américain, “un centre de commandement robuste consacré à l'Afrique peut obtenir des résultats importants dans les domaines diplomatique et militaire tant pour les États-Unis que l'Afrique”. Cela est corroboré par le commandant réserviste Robert Munson, de l'armée de l'air, lequel estime que l'Africom est nécessaire pour appuyer la politique africaine des États-Unis. Dans un numéro de la revue Strategic Studies, il indique que “la création de ce centre ne traduit pas une grande mutation de la politique des États-Unis. L'Africom devrait améliorer la coordination et contribuer à incorporer de nombreux éléments disparates de la politique étrangère des États-Unis dans un ensemble plus cohérent”. Il ne fait aucun doute que ce renoncement n’est que tactique et que le Pentagone reviendra à la charge pour le concrétiser, tant les intérêts américains en Afrique sont importants et ne peuvent être ignorés. En tout état de cause, si la base de l’Africom n’est pas installée en Afrique, il est avancé l’idée qu’elle le sera dans l’endroit le plus proche possible, en l’occurrence la côte orientale de l’Amérique latine.

K. ABDELKAMEL

Liberté

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Sahara occidental : Bouteflika réaffirme le soutien de l’Algérie à l’autodétermination du peuple sahraoui
Par tsa le 19/05/2008 à 18:12



Le président Abdelaziz Bouteflika a réaffirmé l'attachement de l'Algérie aux résolutions de l'ONU sur le Sahara occidental, dans un message adressé lundi aux dirigeants sahraouis pour le 35e anniversaire de la proclamation de la République sahraouie.

Dans ce message, M. Bouteflika réitère «l'importance qu'attache l'Algérie à la mise en œuvre des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations unies» sur le Sahara occidental. En outre, il "forme le vœu" que les négociations directes en cours entre le Maroc et le Polisario puissent "favoriser une solution politique qui permette l'exercice par le peuple du Sahara occidental de son droit à l'autodétermination".

M. Bouteflika souligne par ailleurs que la création du Polisario en 1973 a constitué un "tournant majeur" dans l'histoire du peuple sahraoui. Le Polisario doit célébrer mardi le 35e anniversaire de sa création à Tifariti, dans une région du Sahara occidental officiellement annexée par le Maroc et proclamée "libérée" par le mouvement sahraoui.

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De son vrai nom, Hmatou Ould Khelili Mohamed Salem Rguibi, Mohamed
Abdelaziz, est né le 17 août 1947 à Marrakech, d’où son surnom « Abdelaziz
el Marrakchi». [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Il a fait ses études secondaires dans sa ville natale avant de suivre son cursus universitaire à Rabat,où il a passé une année à la Faculté de
médecine jusqu'en septembre 1975, date à laquelle il ira en Algérie où il suivra une formation parmi la première « promotion militaire » du Front Polisario.

En août 1976, c’est-à-dire en moins d’une année après son arrivée en Algérie, Mohamed Abdelaziz a été désigné « secrétaire général » du Front ; poste qu’il occupe depuis cette date. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le 16 octobre 1982, il a été désigné « président » de ladite « république arabe sahraouie démocratique » (RASD).


Ce cumul des fonctions (« secrétaire général du Polisario » depuis plus de 30
ans et « président de la RASD » depuis 25 ans), a suscité de nombreuses
controverses aussi bien dans son entourage, que parmi les populations
séquestrées dans les camps de Tindouf. Cette situation a conduit à l’éclatement de nombreux soulèvements dans les camps, lesquels ont été maîtrisés au moyen d’une répression particulièrement brutale. Ainsi, en 1988, après les sanglants affrontements qui ont eu lieu entre les populations révoltées et les milices armées du Polisario, certaines voix s’étaient élevées parmi les dirigeants du Polisario, mais ceux-ci ont été, soit démis de leurs fonctions, soit emprisonnés pour « haute trahison ».

Toutefois, les contestations de la politique menée par Mohamed Abdelaziz et sa soumission totale au commandement algérien continuent d’être décriées. Cette situation a d’ailleurs conduit à des scissions au sein du Polisario et à la naissance de mouvements contestataires.

Parmi ces derniers il y a le mouvement « Khat Achahid » dont l’un des fondateurs, Mahjoub Salek –également membre fondateur du Polisario– avait été emprisonné pendant une longue période en raison de soupçons qui pesaient sur lui au motif de conspiration contre la Direction actuelle. Cette dernière est, en effet, contestée pour l’opacité de sa méthode de
gestion aussi bien interne qu’externe.

La famille de Mohammed Abdelaziz vit toujours au Maroc. Son frère cadet, le
Docteur Reguibi, est chirurgien à Casablanca où il s’est établi après
une formation à la ville de Béni-Mellal dans laquelle il avait vécu pendant plus
de dix ans.

Le deuxième frère de Mohamed Abdelaziz, El Habib Reguibi, est
avocat au barreau de la ville d’Agadir.

Son père, Khelili Mohamed Salem Rguibi, est retraité des Forces Armées Royales (FAR). Le père de Mohamed Abdelaziz est également membre du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires Sahariennes (CORCAS).


L’épouse de Mohamed Abdelaziz, Khadija Bent Hamdi, avec laquelle il a trois
enfants, est algérienne
et son père, Hadj Hamdi, est le président du conseil municipal de Tindouf et son représentant au sein du parlement algérien.
Khadija Bent Hamdi occupe le poste de présidente de « l'Union des femmes
sahraouies » dans les camps de Tindouf.

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Sahara marocain : Le «gauchisme» parlementaire français veut accueillir le Polisario au Palais Bourbon

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Une délégation du secrétariat national du Polisario, présidée par Bachir Mustapha Essayed, sera reçue en juin prochain à l’Assemblée nationale française, à l’invitation du Parti communiste et du parti des Verts.


Une délégation de haut niveau du Polisario se prépare à être reçue officiellement à l’Assemblée nationale française, en juin prochain. L’information, claironnée par la machine propagandiste du front séparatiste, a été confirmée par le quotidien « L’Humanité », porte-voix du parti communiste qui aurait mis les petits plats dans les grands pour accueillir, en grande pompe, avec la participation des Verts, la délégation du Polisario, avec à sa tête un membre du secrétariat national du front, Bachir Mustapha Essayed, frère du fondateur de ce front, El Ouali Essayed. Avec cette initiative, - la première en son genre, puisque jamais une délégation du Polisario de cette envergure n’a pu avoir voix au chapitre au sein de l’Assemblée nationale d’un pays connu pour son soutien historique à la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes -, les partis français voudraient offrir un dernier espoir de survie à la bande à Mohamed Abdelaziz. Le dernier rapport de l’envoyé personnel du SG de l’ONU, Peter van Walsum, a planté le dernier clou au cercueil de la fantomatique RASD, en balayant d’un revers de main l’option de «l’indépendance» du Sahara. La résolution 1813, adoptée récemment par le Conseil de sécurité à l’unanimité de ses 15 membres, était venue rajouter au désarroi du Polisario, ainsi qu’à celui d’Alger qui le soutient. Ahmed Zaïdi, chef du groupe parlementaire de l’USFP à la Chambre des représentants, résume bien cet état d’esprit. «Le Polisario, à l’instar des autres parties hostiles à l’intégrité territoriale du Royaume, savent très bien que la France est aux côtés du Maroc pour soutenir sa souveraineté sur ses provinces sahariennes. La position de la France n’a pas changé, elle ne changera jamais, en dépit de l’agitation du Polisario, qui accuse un signe de nervosité extrême en raison du rapport courageux du facilitateur onusien, Peter van Walsum, appuyé par les pays influents au sein du Conseil de sécurité», a commenté M. Zaïdi, dans une déclaration à ALM. Interrogé sur le timing et l’opportunité de «l’offensive» diplomatique annoncée du Polisario auprès des députés français, le responsable socialiste relève «une tentative suicidaire de vouloir brouiller les cartes», sachant bien que la France est et restera un grand soutien aux droits inaliénables du Maroc sur son Sahara. «La position de la France est claire depuis l’éclatement du conflit artificiel ; en plus de son rapport d’amitié exceptionnel avec le Royaume, la France est convaincue de la justesse de la cause marocaine», a-t-il fait valoir, en minimisant l’impact que pourrait avoir l’initiative du PC et des Verts français sur l’évolution de la question du Sahara. «Depuis la présentation de l’offre marocaine d’autonomie, la pression internationale a changé de camp. Elle se situe actuellement plutôt de l’autre côté de la frontière est du Royaume, d’où les gesticulations désespérées du Polisario, de l’Algérie et de l’Afrique du Sud», a-t-il expliqué. A la question de savoir quelle réponse apportera le Parlement marocain à l’initiative du PC et des Verts français, le chef des députés USFP a affirmé : «Depuis l’ouverture de la nouvelle législature, nous avons communiqué avec toutes les forces socialistes des pays européens, notamment celles de la France, l’Espagne, l’Italie et l’Allemagne, pour les sensibiliser sur la justesse de la cause marocaine. Nous continuerons à faire valoir les droits historiques de notre pays sur son Sahara», a-t-il assuré, en mettant en exergue le rôle de la diplomatie parlementaire dans la défense des intérêts suprêmes de la Nation.



Le 23-5-2008
Par : M’Hamed Hamrouch

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Le problème du Sahara aurait pu être résolu

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Dans un article publié par l’hebdomadaire italien l’Espresso», l’écrivain marocain Tahar Benjelloun estime que l’Algérie vise, à travers la création d’un Etat sahraoui, sous son égide, à accéder à l’Atlantique.


Le problème du Sahara qui «empoisonne les relations inter-maghrébines depuis 33 ans, aurait pu plusieurs fois être résolu, s’il n’y avait l’Etat algérien qui ne supporte pas l’idée que son voisin marocain ait une double ouverture sur la mer», a affirmé l’écrivain marocain Tahar Benjelloun. Dans un article publié par l’hebdomadaire italien «l’Espresso» dans son dernier numéro, sous le titre «Sahara: ça se passe entre le Maroc et l’Algérie», Tahar Benjelloun estime que cette dernière «vise, à travers la création d’un Etat sahraoui, sous son égide, à accéder à l’Atlantique entre autres bénéfices qu’elle pourrait en tirer». Cette question a connu une longue période de blocage malgré que Feu SM Hassan II ait proposé aux Nations unies l’organisation d’un référendum au Sahara, a rappelé le Goncourt 1987, précisant que cette consultation n’eut jamais lieu. SM le Roi Mohammed VI a, par la suite, «proposé un plan d’autonomie que nombre de pays appuyèrent», a ajouté Tahar Benjelloun, déplorant qu’«encore une fois l’Algérie mit son veto et poursuivit son opposition systématique à tout ce qui venait du Maroc». L’écrivain marocain a, par ailleurs, rappelé que SM le Roi Mohammed VI a «décidé de supprimer l’obligation des visas pour les citoyens algériens désireux de venir au Maroc», qui a en outre appelé à la rouverture des frontières, regrettant que de nouveau l’Algérie ait opposé un refus. «Quelle que soit l’attitude du Maroc, l’Algérie est contre. C’est ainsi que l’Union du Maghreb Arabe est bloquée depuis plus de vingt ans, alors que les pays européens s’organisent et font front commun pour défendre leurs intérêts», a déploré Taher Benjelloun, pour qui un Maghreb uni «serait une entité forte et ferait de la Méditerranée du sud une région riche et prospère».
Le problème du Sahara ne peut être compris en dehors d’un certain nombre de paramètres régionaux, a-t-il dit, soulignant que des «milliers de Sahraouis sont maintenus sous des tentes à Tindouf», en Algérie qui rejette la faute sur les Marocains, au moment, a-t-il relevé, où l’envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies pour le Sahara, Peter van Walsum, a déclaré que «l’indépendance du Sahara occidental n’est pas un objectif réalisable».

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Le Front Polisario repousse son vote sur une reprise de la lutte [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]ALGER (Reuters) - Le Front Polisario, mouvement indépendantiste du Sahara occidental, se prononcera dans six mois sur une éventuelle reprise de la lutte armée contre le Maroc dans le cadre du conflit territorial qui les oppose, a fait savoir un responsable du Polisario.

"Nous organiserons dans six mois un congrès pour prendre une décision à ce sujet", a déclaré Mohamed Beissat à Reuters à l'issue d'un congrès politique organisé cette semaine à Tifariti, un avant-poste tenu par le Polisario.

"Le prochain congrès sera en juin ou en juillet."

Le mouvement avait indiqué la semaine dernière qu'il se saisirait de la question lors du congrès de décembre et procèderait à un vote sur la reprise de la guerre, la poursuite des négociations ou un mélange des deux.

Beissat a dit que le congrès avait voté en faveur d'une poursuite des négociations au cours des six prochains mois avec, concomitamment, une amélioration de l'état de préparation des forces armées du Polisario.

"Nous devons renforcer notre armée afin qu'elle soit prête pour toute décision qui pourrait être prise", a déclaré Beissat, qui est aussi ambassadeur en Algérie du gouvernement du Sahara occidental autoproclamé par le Polisario en 1976.

L'ancien territoire espagnol a été annexé en 1975 par Rabat. Un cessez-le-feu, supervisé par les casques bleus de la Minurso, prévaut depuis 1991 sur ces vastes étendues de sable riches en phosphates et, potentiellement, en hydrocarbures et dont le littoral atlantique est l'un des plus poissonneux au monde.

La guerre a éclaté dès le retrait, en 1975, de l'Espagne en pleine agonie de Franco. Selon une estimation publiée dans les années 1990 par l'Institut international de recherche pour la paix de Stockholm, le conflit aurait fait de 10.000 à 13.000 morts.

L'accord de cessez-le-feu de 1991 prévoyait un référendum sur l'avenir de ce territoire mais il n'a jamais été organisé. Rabat exclut à présent cette option et son offre d'autonomie sous souveraineté marocaine a reçu l'appui de la France.

Challenges.fr | 21.12.2007

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Maroc-Sahara-ONU:Le Maroc ne saurait en aucune manière tolérer toute rupture du statu quo dans la zone de Tifariti


New York, 29/05/08- Le Maroc a réaffirmé avec force, dans une lettre adressée mardi au Secrétaire général des Nations Unies, qu'il ne saurait, en aucune manière accepter ou tolérer toute rupture du statu quo dans la zone de Tifariti qui, depuis la proclamation du cessez-le-feu en septembre 1991, a été exempte de toute présence civile ou militaire.



"Dans la continuité de la position claire et permanente qui a toujours été la sienne, le Royaume du Maroc, tout en réitérant son ferme soutien à vos efforts et à ceux de votre Envoyé personnel pour parvenir à une solution politique négociée (au différend du Sahara), réaffirme avec force qu'il ne saurait en aucune manière accepter ou tolérer toute rupture du statu quo dans cette zone, qui, depuis la proclamation du cessez-le-feu en septembre 1991, a été exempte de toute présence civile ou militaire", a souligné l'Ambassadeur, représentant permanent du Maroc aux Nations Unies, M. El Mostafa Sahel, dans une lettre adressée au Secrétaire général de l'ONU, M. Ban ki-Moon.
Une fois de plus, le polisario, encouragé et soutenu par l'Algérie, déplore la lettre, a organisé du 19 au 22 mai courant des attroupements militaires et des manifestations politiques, dans la zone de Tifariti à l'Est du dispositif de défense, et ce, au vu et au su de la MINURSO.
La lettre fait remarquer que "par leur caractère répétitif, la propagande mensongère qui les entoure et les discours belliqueux qui les accompagnent, ces agissements compromettent sérieusement le processus de négociation en cours, engagé par le Conseil de sécurité et appuyé par la Communauté internationale, en vue de parvenir à une solution politique définitive au différend régional autour du Sahara, à la faveur de la dynamique insufflée par l'Initiative marocaine d'autonomie".
Le Maroc souligne que "ces actes constituent une défiance à l'autorité du Conseil de sécurité, qui avait appelé les parties, dans sa résolution 1813 en date du 30 avril 2008, à +créer une atmosphère propice au dialogue (...) et au succès des négociations+" et "sont de nature à exacerber les multiples menaces sécuritaires confirmées et qui pèsent sur l'arc sahélo-saharien".
"Ces agissements provocateurs procèdent d'une stratégie délibérément poursuivie, par le polisario et ceux qui le soutiennent, dans le but politique précis de saborder le processus politique en cours et saper la dynamique de règlement pacifique, laborieusement mise en place par la Communauté internationale", ajoute la lettre.
Le Maroc souligne que tels agissements ne sauraient être qualifiés autrement que d'atteinte directe à l'autorité du Conseil de sécurité et d'obstruction préméditée au processus de négociation qu'il a installé et conforté par ses résolutions 1754, 1783 et 1813 en soutenant les efforts du Secrétaire général des Nations Unies et ceux de son Envoyé personnel, en vue de parvenir à une solution politique négociée.
La lettre fait observer que "loin de faire preuve de +réalisme et d'esprit de compromis+ requis par la résolution 1813 du Conseil de sécurité pour la réussite de ces négociations, le polisario et ses alliés confirment, par leurs agissements, qu'ils privilégient l'impasse, au prix des souffrances et du calvaire des populations des camps de Tindouf, qui se perpétuent sur le territoire algérien".
En conclusion, le Maroc demande au Secrétaire général des Nations Unies de prendre les dispositions nécessaires en vue de la distribution de cette lettre aux membres du Conseil de sécurité et de sa publication en tant que document officiel du Conseil.

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Représailles contre des opposants au Polisario à Tindouf


Tindouf, 02/06/08 - Les services de sécurité algériens ont arrêté au cours des trois derniers jours plusieurs opposants au Polisario dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest algérien, en représailles contre des initiatives de dissidents sahraouis, rapportent lundi des témoins oculaires à Tindouf.



La sécurité militaire algérienne a arrêté à l'entrée de la ville de Tindouf l'opposant Braika Ould Slimane Ould Othmane, alors qu'il circulait à bord d'une voiture en compagnie de l'un de ses cousins, précise-t-on de même source.
Ce militant sahraoui de la tribu Azerguiyine est actuellement détenu au secret dans un lieu inconnu, alors que la police a saisi le véhicule à bord duquel il voyageait et un téléphone satellitaire appartenant à son cousin.
Les téléphones par satellite constituent l'unique moyen de communication sûr utilisé par les opposants à la direction du polisario pour se soustraire aux contrôles et aux écoutes des services de renseignements algériens, a-t-on indiqué de même source.
Par ailleurs, le coordonnateur de la faction dissidente "Polisario-Khatt Achahid" dans les camps de Tindouf, Fadli Baba Jouli, a été empêché par les milices du Polisario d'entrer dans ces camps.
Selon des sources proches de cette faction, l'activiste sahraoui se trouve actuellement dans le désert à la frontière entre l'Algérie, la Mauritanie et le Sahara.
Ces opérations policières contre les militants sahraouis dans les camps de Tindouf interviennent quelques jours après les dures critiques lancées par les adversaires de Mohamed Abdelaziz, chef du polisario, et de l'Etat algérien, lors d'une rencontre sur le Sahara, organisée à Madrid par des universités publiques (27-29 mai).
Lors de cette rencontre, le coordinateur en Espagne du mouvement dissident du Polisario "Khatt Achahid", Mahjoub Salek, a durement critiqué la position de l'Algérie sur le conflit du Sahara.
Salek avait lancé un "message" à l'adresse de l'ambassadeur d'Algérie en Espagne qui participait à cette session: "Si l'Algérie veut que les Sahraouis restent à jamais dans les camps de Tindouf, qu'elle améliore au moins leurs conditions de vie".
D'autres militants sahraouis qui ont pris part à cette rencontre ont appelé le Maroc à "cesser toute négociation avec le Polisario car il ne représente pas les Sahraouis de Tindouf".
"Il y a plusieurs courants et mouvements de Sahraouis qui refusent d'être représentés par cette junte qui dirige le Polisario et réclament eux aussi une voix au chapitre et une place à la table des négociations pour trouver une solution à ce conflit qui n'a que trop duré", avait martelé Abderrahim Berdiji, un activiste sahraoui vivant en Espagne.

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Le polisario est dans l'impasse:
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yaz



Admin a écrit:Le polisario est dans l'impasse:
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Mohamed Ould Nahah : «Alger fait chanter Nouakchott sur l’affaire du Sahara»

Réagissant aux récentes déclarations contradictoires du président du Parlement mauritanien, Messaoud Ould Belkheïr, le président du parti du Rassemblement populaire (PRP), Mohamed Ould Nahah, a dénoncé des «pressions algériennes».



ALM : Après avoir déclaré son soutien à l’offre marocaine d’autonomie, lors de sa visite le 28 mai dernier à Rabat, le président du Parlement mauritanien, Messaoud Ould Belkheir, a fait volte-face en affirmant «la neutralité positive» de la Mauritanie dans l’affaire du Sahara. Quelle analyse faites-vous de ce changement de position ?
Mohamed Ould Nahah : Nous avons été très surpris par ce revirement. D’abord, parce qu’on ne s’attendait pas à ce que ce revirement vienne d’un homme expérimenté, rôdé et érodé par tant d’années de politique, comme Messaoud Ould Belkheïr. Et puis, - et là c’est encore plus grave -, parce que M. Belkheïr est le président de l’Assemblée nationale mauritanienne. Notre crainte aujourd’hui est que ce revirement mette en brèche la crédibilité même de l’institution législative mauritanienne à l’échelle internationale.

Le président du Parlement mauritanien a-t-il subi des pressions pour revenir sur sa déclaration favorable à la proposition d’autonomie ?
Il est très fort probable que Messaoud Ould Belkheïr ait subi en tant que président du Parlement mauritanien de fortes pressions pour revenir sur sa position. M. Belkheïr se serait, peut-être, inquiété pour son poste de président de l’hémicycle, d’autant plus que son parti, le parti de la Coalition populaire, est minoritaire au sein du Parlement. Mais une chose, cela étant, est sûre : quand on médite sur la manière avec laquelle le Premier ministre mauritanien, Yahya Ould Ahmed El Waghf, a été accueilli récemment à Alger, à la veille de la réunion de la haute commission mixte, on comprend facilement pourquoi M. Belkheïr a changé de position. Alger a tout simplement fait chanter Nouakchott. Elle a utilisé tous les moyens de pression pour amener M. Belkheïr à émettre un avis contraire à la conviction de la majorité du peuple mauritanien, en l’occurrence son soutien réel à l’offre marocaine d’autonomie. Le peuple mauritanien a des relations solides et stratégiques avec le Royaume du Maroc, et il n’acceptera jamais qu’un Etat croupion soit incrusté entre la Mauritanie et le Maroc. L’intégrité territoriale du Royaume est importante aussi bien pour le peuple marocain que pour le peuple mauritanien.

Que pensez-vous de la position officielle de Nouakchott sur la question du Sahara ?
Personnellement, je suis contre «la neutralité positive» de Nouakchott sur ce conflit artificiel. D’ailleurs, je ne considère pas « la neutralité » comme étant une position. Nouakchott doit se prononcer ouvertement de manière à pousser vers le règlement de ce conflit artificiel, d’autant plus que la position du Polisario et de l’Algérie est restée figée. Il eût été plus judicieux pour Nouakchott de se mettre aux côtés du Maroc.

Quelle est la position de votre parti sur la solution d’autonomie ?
Une grande partie des formations politiques mauritaniennes, et la majorité du peuple mauritanien, sont favorables à l’initiative de SM le Roi Mohammed VI pour octroyer un statut d’autonomie aux provinces sahariennes. Nous considérons que c’est une initiative sage et courageuse. Cette initiative est née d’une volonté sincère de réaliser la stabilité, la prospérité et le progrès non seulement pour les peuples marocain et mauritanien frères mais aussi pour l’ensemble du Maghreb. Nous sommes convaincus du bien-fondé de l’initiative marocaine, d’autant plus que le Maroc offre tous les gages nécessaires pour une meilleure mise en œuvre du plan d’autonomie. Notre position n’est pas née du néant, nous mesurons le progrès réalisé par le Maroc sur les dossiers des droits de l’Homme, la liberté d’expression, l’urbanisation … Le Maroc passe pour un modèle dans la région du Maghreb.

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Le ministre sahraoui d'origine algerienne (Bouhali) menace le Maroc d'une guerre en réponse au survol de la localité de Tifarité par l'aviation des FAR .
البوهالي " يحذر المغرب من اللعب بالنار
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هسبريس من الرباط

Tuesday, June 10, 2008



في الصورة عبد العزيز المراكشي زعيم جبهة البوليساريو

حذر وزير دفاع جبهة البوليساريو، المدعو محمد لمين "البوهالي" أمس الاثنين من "اندلاع حرب غير متوقعة" بالصحراء المغربية بسبب ما وصفه "البوهالي" ب"استفزازت" المغرب و"تحرشاته" بالمناطق المحظورة، وشدد "البوهالي" على أن البوليساريو "لن تقبل أبدا بتحليق طائرات مغربية فوق هذه الأجواء".

وأضاف "البوهالي" "إن المغرب اذا كان يريد خرق وقف اطلاق فنحن جاهزون لذلك"، داعيا المغرب إلى الابتعاد عن "اللعب بالنار"، الذي يعكس "عدم رغبته " في التحلي بالسلام.

وخلص " البوهالي " إلى "إن جبهة البوليساريو جاهزة حاليا للتصدى بقوة وبدون رحمة، لأي خرق أو "تحرشات مغربية" ما قد يؤدي إلى اندلاع حرب لم تكن مبررة أو مقررة، وبالتالي "يتوجب "على المغرب أن يمتثل لوقف إطلاق النار الذي التزم به منذ 17 سنة"

وكان المغرب قد جدد تأكيده عدم قبوله أو تسامحه بأي شكل من الأشكال إزاء أي خرق للوضع القائم بمنطقة "تيفاريتي" التي تم منع أي وجود مدني أو عسكري بها منذ الإعلان عن وقف إطلاق النار في سبتمبر1991.

وأعرب المغرب نهاية الشهر الماضي في رسالة موجهة إلى الأمين العام لمنظمة الأمم المتحدة بان كي مون عن الأسف لكون جبهة البوليساريو أقام مرة أخرى من19 إلى22 مايو الجاري، تجمعات عسكرية وتظاهرات سياسية بمنطقة تيفاريتي، شرق الجدار الأمني وذلك على مرأى ومسمع من بعثة "المينورسو".

وجاء في الرسالة أن " تحرشات البوليساريو، بالنظر إلى طابعها المتكرر والدعاية الكاذبة التي تحيط بها والخطابات العدائية التي ترافقها، تهدد بشكل جدي مسلسل المفاوضات الجاري، الذي انخرط فيه مجلس الأمن ودعمته المجموعة الدولية، بهدف التوصل إلى حل سياسي ونهائي للنزاع الإقليمي حول الصحراء، وذلك بفضل الدينامية التي أطلقتها المبادرة المغربية للحكم الذاتي".

hespress

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WASHINGTON (AFP) — Le constructeur aéronautique américain Lockheed Martin a annoncé vendredi que le Maroc avait officialisé sa commande de 24 avions de chasse F-16, selon un communiqué.

Le lancement de la production des appareils fait l'objet d'un premier contrat, valorisé à 233,6 millions de dollars, selon le communiqué.

En décembre, le Pentagone avait informé le Congrès américain de son intention de vendre au Maroc 24 avions de chasse F-16 de Lockheed Martin, ainsi que des équipements et des services associés, pour un montant total pouvant aller jusqu'à 2,4 milliards de dollars.

Les F-16 américains étaient en concurrence au Maroc avec le Rafale du français Dassault, qui n'a jamais décroché de marché à l'export.

L'échec de la vente du Rafale au royaume chérifien, face au chasseur américain, avait été annoncé en octobre.

"Nous sommes heureux que l'aviation militaire marocaine ait retenu le F-16 pour moderniser sa flotte d'avions de chasse", a indiqué John Larson, le vice-président du programme F-16 au sein de Lockheed Martin.

Le Maroc est le 25ème pays à s'équiper de F-16, selon le communiqué.

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22 mar 2008Par Benjamin Stora


Les titres de la presse marocaine de cette semaine sont inquiétants. Ils indiquent un retour de crise à propos d’une guerre des sables oubliée, le conflit au Sahara occidental entre le Maroc et le Front polisario.

A la une de Maroc Hebdo du 19 mars 2008, on peut lire : «Le Sahara vaut bien une guerre.L'échec de Manhasset [lieu de la négociation entre Marocains et représentants du Polisario] fait monter la tension entre le Maroc et l'Algérie. Tous les ingrédients sont réunis pour imaginer le pire : c'est sur les 500 km de la ligne de partage que l'effort de guerre de l'Algérie est tourné».Le 21 mars, Aujourd’hui le Maroc annonce : «Le processus de Manhasset, entre le Maroc et le Polisario, semble s'éteindre. L'impasse est notable, et les Nations Unies semblent se résoudre à cette situation. Aujourd'hui, il est évident que le Maroc à Manhasset n’est pas face au vrai “interlocuteur” de la crise. Tant que l’Algérie n'assume pas directement sa responsabilité dans cette crise bilatérale profonde, la solution au conflit restera hors de portée».

Le conflit Sahara occidental, vieux d’une trentaine d’années puisque datant du début des années 1970, empoisonne plus que jamais les relations entre les deux plus grands pays du Maghreb, l’Algérie et le Maroc, et freine la construction politique entre tous les pays de cette zone de l’Afrique du nord.

La chronologie des faits permet de se retrouver dans cette guerre compliquée du Sahara occidental, ancienne colonie espagnole revendiquée par le Maroc et le Front Polisario. Le 16 octobre 1975, la Cour internationale de justice (CIJ) de la Haye reconnaît l’existence de liens pendant la colonisation entre le Sahara occidental, le Maroc et la Mauritanie, mais les jugeant insuffisants, se prononce pour l’autodétermination de la population du territoire. Le 6 novembre, 350 000 Marocains entreprennent, à l’appel du roi Hassan II,une «Marche verte» pour marquer l’appartenance du territoire au Maroc. Quelques jours après, le 14 novembre, un accord signé à Madrid met fin à la colonisation du Sahara : l’Espagne cède au Maroc le nord et le centre du territoire. Le sud revient à la Mauritanie.

Mais coup de théâtre : le 27 février 1976, le Front Polisario, qui réclame l'indépendance du Sahara occidental, proclame la «République arabe sahraouie démocratique» (RASD). La Mauritanie signe un accord de paix le 5 août 1979, avec le Polisario, renonçant au sud du Sahara. Les forces marocaines s’y déploient. De 1976 à 1980, le Polisario, soutenu par la Libye et l'Algérie, inflige des revers aux forces armées marocaines. A partir de 1980, la guerre tourne à l’avantage du Maroc, grâce à sa stratégie des «murs» de défense. Le 12 novembre 1984, le Maroc quitte l'Organsation de l'unité africaine (OUA, après l'admission de la RASD. Rabat n'a toujours pas intégré l'Union africaine (UA), qui a succédé à l'OUA. Le rapprochement de l'Algérie et du Maroc en 1988 et la perspective d'une proclamation de l'Union du Maghreb Arabe (UMA) produisent leurs effets. Le 30 août 1988, le Maroc et le Polisario acceptent un plan de paix de l'ONU prévoyant l'instauration d'un cessez-le-feu et la tenue d'un référendum d'autodétermination. Un cessez-le-feu est proclamé le 6 septembre 1991 sous la surveillance de la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO).

Référendum ou autonomie ? Le 3 décembre 1997, des opérations d’identification des électeurs sont menées, bloquées depuis trois ans après la relance du processus de paix sous l’égide de l’ancien secrétaire d'Etat américain James Baker. Le Maroc et le Polisario acceptent, le 12 mai 1999, un nouveau plan de l’ONU prévoyant un nouveau report du référendum. Mais, le 28 juin 2000, c’est l’échec de négociations à Londres sous l’égide de James Baker, le Polisario rejetant l'examen d'une «troisième voie» prévoyant une autonomie du Sahara, proposée par le Maroc. Le Front Polisario rejette toute autre solution que le référendum d’autodétermination. Le 29 juin 2001, l’ONU adopte une résolution de compromis qui encourage le Maroc et le Front Polisario à discuter du plan de l'ONU sur une autonomie du Sahara occidental tout en maintenant l'option du référendum. Le Polisario refuse cette nouvelle proposition.

Face à l'impasse du conflit, le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, présente le 19 février 2002 quatre options: l’organisation d’un référendum, la mise au point d’un large statut d'autonomie, le partage du territoire et le désengagement de l'ONU, option refusée par le Conseil de sécurité. Signe de raidissement du conflit, le 27 février 2002, le président algérien Abdelaziz Bouteflika se rend dans les camps de réfugiés du Front Polisario, c’est la première visite d’un président algérien. Le 18 juin 2002, cent prisonniers de guerre marocains sont libérés par le Polisario. Mais 1262 prisonniers restent détenus selon Rabat.
Le Front Polisario ne cesse de demander à l'ONU «d'arrêter une date définitive» pour la tenue du référendum. Proposition rejetée par le Maroc : le roi du Maroc Mohamed VI a jugé le 7 novembre 2002 «obsolète» et «inapplicable» le référendum d'autodétermination prévu par l'ONU. Ce référendum a été constamment repoussé depuis 1991 notamment en raison de divergences sur la composition du corps électoral.

Depuis la situation est bloquée, et les négociations qui se sont déroulées à l’été 2007 à NewYork n’ont pas permis de faire avancer la solution du problème. D’un côté, le Polisario soutenu par l’Algérie qui réclame un référendum d’autodétermination ; de l’autre le Maroc qui propose un large statut d’autonomie pour le Sahara. La France appuie cette proposition marocaine, ce qui aggrave son contentieux avec l’Algérie.


Reprise d'une guerre ? Dans le quotidien algérien El Watandu22 décembre 2007, le Polisario menace de reprendre la guerre : «Le gouvernement marocain assumera pleinement les conséquences qui découleraient de l’échec du processus de négociations, notamment la reprise des hostilités militaires.» Le Front Polisario a décidé de «mettre en priorité des priorités l’Armée populaire de libération sahraouie (ALPS), de façon à lui fournir tout ce dont elle a besoin, moralement et matériellement, et d’augmenter ses capacités combatives». Dans cette région saharienne où se profile avec inquiétude la menace islamiste, venant de la Mauritanie ou du sud algérien, plus que jamais s’impose une solution rapide de compromis, entre le référendum accepté par le Maroc, et l'autonomie provisoire acceptée par le Front Polisario et l’Algérie ?










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Les thèses algériennes sur le Sahara ne sont plus d'actualité selon Saint-Prot

Paris, 17/06/08- Le directeur de l'Observatoire français d'études géopolitiques (OEG), M. Charles Saint-Prot, a affirmé que les thèses algériennes concernant le Sahara "ne sont plus d'actualité" et que "l'obstination d'Alger met toute la région en danger".

S'exprimant, lundi à Paris, lors d'une conférence-débat sous le thème: "Le Maroc face au défi du développement humain, de la modernité et de la mondialisation", organisée par la Section marocaine du Mouvement international des Seniors, M. Saint-Prot, qui a abordé le concept d'autonomie, la régionalisation et la paix, a relevé d'emblée que la revendication historique du Maroc sur le Sahara est légitime eu égard notamment aux liens qu'il a toujours entretenus avec cette région à travers les siècles.

"Les thèses algériennes ne sont plus d'actualité" et l'obstination d'Alger "met toute la région en danger", a-t-il dit, faisant remarquer que ce danger est multiple et englobe le terrorisme, le trafic d'armes et l'échec de l'Union du Maghreb Arabe (UMA).

Il a souligné que la proposition marocaine d'autonomie des provinces du Sud est "sérieuse" et est de nature à permettre au Maghreb de se constituer en un bloc fort et capable de rivaliser avec l'Europe dans le cadre de l'Union pour la Méditerranée (UPM).

Le "polisario" n'est qu'une "invention et un pion de l'Algérie" qui vise à contrôler toute la région et à y asseoir sa domination, a expliqué M.Saint-Prot.

Traitant de la dimension humanitaire de la question du Sahara, Mme Naïma Korchi, consultante et juriste internationale, a affirmé, pour sa part, que l'Algérie et le "polisario" n'ont jamais respecté et appliqué les Conventions internationales des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf (sud-ouest algérien).

Dans ces camps, a-t-elle dit, il y a beaucoup plus d'Algériens pauvres de la région et de Mauritaniens qui tirent profit de l'aide humanitaire destinée aux Sahraouis séquestrés. Ces derniers subissent quotidiennement torture morale et physique, a signalé Mme Korchi, qui a soulevé également la question des enfants sahraouis déportés à Cuba et le détournement de l'aide humanitaire par les responsables du "polisario".

Dans une allocution introductive, M. Mohamed Mraizika, enseignant-chercheur en sciences sociales et Droit international humanitaire, avait mis en relief les grandes mutations que le Maroc a connues durant la dernière décennie.

Le Royaume "s'est engagé résolument dans un processus de libéralisation et d'ouverture de son économie, de modernisation de ses moyens de communication et de renforcement de l'Etat de droit et de promotion des libertés et de la justice sociale", a-t-il dit.

Sur le plan régional, le Maroc n'a cessé de plaider en faveur d'une UMA "effective" capable d'être un interlocuteur "privilégié" de la future UPM, a-t-il ajouté.

Convaincu que l'intégration régionale du Maghreb est "tributaire du règlement de la question du Sahara", le Royaume a proposé une solution "pertinente et réaliste" consistant en l'octroi d'une large autonomie aux provinces du Sud, a souligné M. Mraizika, également secrétaire général du Mouvement international des Seniors et fondateur de la section marocaine.
Cette Conférence s'est déroulée en présence de membres de l'ambassade et du consulat général du Maroc à Paris et de MM. Khek Sysoda, ambassadeur du Cambodge à Paris et délégué permanent auprès l'UNESCO, Pitro Rinaldi, ancien ambassadeur d'Italie, et de plusieurs autres personnalités.

MAP
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UPM, révision de la Constitution, relations algéro-françaises et Sahara occidental : extraits de l’Interview de M. Belkhadem au quotidien Le Monde


Par TSA le 18/06/2008 à 12:42


Présence du président Bouteflika au sommet de l’Union pour la Méditerranée :
«Je ne peux pas m’avancer mais le président Bouteflika nous a toujours habitués à être là quand l’Algérie doit être représentée à son plus haut niveau ». Vous démentez, par conséquent, les rumeurs selon lesquelles M. Bouteflika sera absent de ce sommet ? Interroge Le Monde. Réponse de M. Belkhadem : « Je dis qu’il n’est pas exclu que le président Bouteflika vienne à Paris pour ce sommet ».

Révision de la Constitution et troisième mandat :
« De mon point de vue, cette révision aura lieu, c’est une question de temps. Nous préconisons un régime présidentiel fort, ainsi qu’un approfondissement de la pratique démocratique. Ce verrou de deux mandats nous parait antidémocratique. C’est au peuple de décider s’il veut redonner sa confiance au président pour un troisième mandat. Nous sommes favorables à une élection présidentielle sans exclusion. A l’heure actuelle c’est le président qui souffre d’exclusion en raison de cette limitation à deux mandats ».

Une préférence pour la voie parlementaire pour amender la Constitution
« Un troisième mandat n’altérant pas l’équilibre des pouvoirs en Algérie, la voie parlementaire pourrait suffire ».

L’instauration du septennat et prolongation de deux ans du mandat de Bouteflika :
« Au FLN, nous ne sommes pas favorables à cette manière de faire. Soit on permet un mandat plein et entier, soit on ne le permet pas. Si on procède à un amendement de la Constitution, pourquoi se limiter à une prolongation de deux ans ? Mais soyons très clairs : nous sommes pour une élection pluraliste. Le peuple choisira entre plusieurs candidats. Le président Bouteflika n’est pas en train de réclamer un mandat à vie ».

Relations algéro-françaises :
« Celles-ci sont déjà très bonnes mais si nous voulons aboutir à un partenariat d’exception, il nous faut donner de la chair à ce partenariat. Nous souhaiterions, notamment, plus d’investissements français en Algérie, plus d’assistance technique, et plus de souplesse dans la circulation des personnes ».

Sahara occidental :
« La France a une position qui relève de sa seule souveraineté. Mais nous considérons que le pays des droits de l’homme ne peut pas tourner le dos au droit des peuples à l’autodétermination et encore moins à la légalité internationale ».

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Sahara occidental : pas d'issue militaire au conflit, selon le président sahraoui


Par TSA le 20/06/2008 à 13:53


Le président sahraoui Mohamed Abdelaziz, a affirmé qu'il n'y avait pas d'issue militaire au conflit du Sahara Occidental qui l'oppose au Maroc depuis plus de trente ans, selon deux publications marocaines. «Au sein du Polisario, nous sommes convaincus qu'il ne peut y avoir d'issue militaire à ce conflit, que ce soit en faveur des Marocains ou des Sahraouis», a-t-il dit dans un entretien publié en fin de semaine par les hebdomadaires Nichane et Tel Quel.

Ces hebdomadaires sont les deux premiers journaux marocains à s'être rendus dans les camps de Tindouf depuis l'éclatement du conflit armé en 1975. Invité par le Polisario, le directeur de ces publications et un journaliste se sont rendus à Alger puis à Tindouf du 10 au 13 juin. "Les négociations (de Manhasset sous l'égide de l'ONU) sont très importantes. Un conflit de ce genre, ayant duré tant d'années, ne peut être réglé qu'autour d'une table de négociations", a ajouté le chef du Polisario.

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becharelkhir

becharelkhir

Ce "président" ment,puisque moi-même je suis témoin de cette issue qui a été débutée un certain printemps 1980,lorsque notre vaillante armée a commencée à chasser (vers le territoire Algérien) les derniers mercenaires, qui encadraient et entrainer ces Sahraouis qu'a enduit l'Algérie dans le péché,et aujourd'hui ce conflit est d'ores et déjà résolu en faveur du Royaume du Maroc et son peuple difinitevement et à jamis.

Quand a ceux qui cherchent à "pécher" dans les eaux ocres,que ça soit des Tels ou des Nichanes ou autres "présidents",mais surtout ceux qui copient et coller ce genre de "conflits" ,n'ont qu'à venir s'octroyer une résidence de plaisance et se rigaler des biens halieutiques de la région,et ils n'auront que l'embarras du choix,tout au long de notre littoral saharien qui longe une distance de plus de 1500kms. Bien a tout le monde

yaz



je pense que le pays RASD , resteras toujours sous cet apelation international et que le royaume du Maroc devras un jours ou l autre négocier avec les representants du polizario..il faut etre realiste et savoir que si? et comme le souhaitent certains la RASD devait a disparaitre d un coups de baguette magique??. celà serais l equivalent du plus grand génocide depuis ??..:affraid:

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