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SAHARA MAROCAIN OU SAHARA ONUSIEN

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becharelkhir

becharelkhir

Propagande de désinformation et d'intoxiaction,mais surtout de confortation :
- Désinformation destinée à ceux qui ne connaissent rien de cette affaire.
- Intoxication destinée à ceux qui ne tiennent qu'à leur tête,malgré les réalités et les données éxistantes noir sur blanc,ceux-là sont des obstinés .
- Confortation destinée à la bande de Abdelaziz El-Marrakchi,
et ses maîtres...!!?

Et dans tous les cas, toutes ces tentations les ont déjà pratiqués aux premiers jours de ce conflit, avec toute féricité et beaucoup de professionalisme,surtout avec l'aide de tous les mercenaires du monde qui ont été payé aux prix fort pour arriver à leur fins(...),mais en vain.

Et tout ce tapage n'est qu'un passe temps pour ces voleurs de l'aide humanitaire mondial, aux détriments de ces pauvres prisonniers malgré eux,et un autre atout de chantage supplémentaire pour les gouvernants d'Alger .

admin"SNP1975"

admin
Admin

Trafic D'armes Au Sahara: La Mafia Du Polisario Orchestrée Par Abdelaziz
le 19/10/2007


L’implication du Polisario dans le trafic d’armes, inquiète non seulement le Maroc mais depuis peu l’Algérie. Après avoir hérité d’un arsenal impressionnant du parrain algérien, les séparatistes tirent les ficelles d’un vaste marché de la mort où se fournissent terroristes, rebelles, trafiquants de drogue ou simples nomades.

Que les services algériens enquêtent sur la disparition d’armes dans l’arsenal du Polisario, le fait serait anodin s’il n’était répétitif. Depuis trois mois, les services de renseignement de la gendarmerie algérienne planchent sur la disparition d’un lot important d’armes fournies par l’Algérie aux séparatistes. Essentiellement des fusils «Fal», des mitraillettes Simonov et des lance-roquettes.

Le dossier vient d’être transmis aux services secrets algériens, plus connus sous le nom de Département du renseignement et de la sécurité (DRS). On n’en saura pas plus si ce n’est que ce n’est pas la première fois que le Polisario soit pris la main dans le sac en flagrant délit de trafic d’armes.

Selon des sources locales, les hommes d’Abdelaziz El Marrakchi ne se sucrent pas uniquement en piochant allègrement dans l’arsenal fourni gracieusement par l’Algérie, le plus gros acheteur d’armes de l’Afrique, mais ils perçoivent également des royalties sur le passage des convois d’armes qui traversent le Sahara.
Selon un rapport récent d’Amnesty International, «en plus des armes provenant d’autres parties du monde, la production et la circulation d’armes dans certains pays africains prend des proportions qui deviennent inquiétantes. Parmi les pays africains producteurs d’armes, on trouve: l’Afrique du Sud, le Zimbabwe, le Nigéria, la Namibie, l’Ouganda, le Kenya, la Tanzanie et l’Egypte. Alors que d’un autre côté, le plus grand client reste l’Algérie qui, à elle seule, représente 28% de toutes les ventes en Afrique. L’Algérie achète notamment des armes d’origine soviétique». D’après des sources bien informées, il semblerait que le trafic ne toucherait pas uniquement la hiérarchie du Polisario qui tire les ficelles d’un vaste trafic qui porterait non seulement sur les stocks d’armes fournies par l’Algérie mais également sur des convoyages plus importants d’ armes que des intermédiaires véreux acheminent à travers le Sahara. Plusieurs jeunes et moins jeunes polisariens, au chômage depuis la fin de la guerre avec le Maroc, participent également à ce trafic comme commissionnaires, transporteurs, agents de liaison, etc. Ce sont ces mêmes personnes qui servent d’intermédiaires dans les négociations de transactions d’armes avec les maquisards de la contrée. Selon l’ex-idéologue du Polisario, Hdaya Daifo Allah «après la fin de la guerre avec les FAR, le clan de Mohamed Abdelaziz s’est retrouvé menacé d’implosion à cause des nombreuses contradictions qui étaient masquées par le climat de guerre. Du coup, les cadres dirigeants ont commencé à s’impliquer dans divers trafics dont celui des armes pour assurer leurs arrières et permettre aux jeunes de s’enrichir rapidement. Histoire d’avoir enfin la paix».

Itinéraire tortueux

S’il est aujourd’hui difficile de pointer avec certitude les pays qui servent de centres d’approvisionnement des trafiquants d’armes opérant au Sahel, la plupart des experts consultés parlent de «zones de transit» comme les camps du Front Polisario, le sud de la Libye ou encore le nord du Mali, fief des groupes armés islamistes. De par sa position stratégique Tindouf, représente le point de passage idéal entre le Sahel de l’est et le Sahara de l’ouest.
Sur un tracé qui va du Tchad, en passant par Tindouf jusqu’au Mali avec un détour par le fameux marché aux armes de Zouerate où l’on trouve des caches et stocks d’armes, que les autorités de la région connaissent bien même si les opérations de transit ou de transport d’armes et munitions se font souvent pendant la nuit. En effet, la livraison se fait presque tout le temps la nuit et les armes sont ensuite transportées dans des camions ou des 4X4 avant d’être livrées clés en main. Les téléphones mobiles cellulaires sont utilisés pour les communications.
Généralement, les armes proviennent des pays voisins, dans des zones de conflit où opèrent des marchands d’armes qui ont pignon sur rue dans les pays de l’Est quand ce ne sont pas carrément des ex-mercenaires européens qui tirent les ficelles de ce trafic juteux à partir de Paris ou Bruxelles. On trouve également dans le lot, des armes récupérées dans les conflits armés de la région comme les conflits internes du Tchad, les troubles du Darfour et même celles utilisées dans la guerre civile du Liban qui ont été retrouvées chez les maquisards du GSPC. Au top ten des armes en circulation, on trouve la fameuse kalachnikov. On parle ainsi de près de cent mille kalachnikovs en circulation dans la région du Sahel, d’après des estimations officielles. Parmi le type d’armes particulièrement prisées, on trouve ainsi par ordre de préférence, des Kalachnikovs, des mitraillettes Uzi, des mitrailleuses MAG, des mortiers de 60 mm, des revolvers Beretta, sans oublier les grenades et les munitions de rigueur comme les cartouches.
Dans ce marché de la mort, les prix pratiqués défient toute concurrence?: on peut avoir une kalach à moins de 1000 DH, des grenades à 150 DH pièce, des lance-roquettes RPG (vendues entre 200 et 350 DH. Notons que les prix semblent nettement plus bas à Zouerate qu’ailleurs en Afrique.

Clients

Parmi les amateurs d’armes, on trouve de gros clients comme les groupes armés islamistes tels qu’Al Qaïda au Maghreb islamique mais également, des barons marocains de la drogue, ou encore des mercenaires recrutés pour la formation militaire d’opposants à des régimes africains. Alors que les tribus nomades ont recours à l’achat d’armes pour se protéger des pillards du désert. En effet, pour faire face à l’insécurité, certains éleveurs achètent aussi des armes dans l’objectif de se sécuriser et de sécuriser leur bétail face aux pillages des groupes armés qui n’hésitent pas à se faire la main sur le patrimoine de ces pauvres nomades.
Comment se fait-il que ce trafic d’armes bien identifié continue de prospérer dans l’impunité la plus absolue ?
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admin
Admin

Le Sahel de tous
les dangers

Le silence complice des tribus nomades et l’implication du Polisario et des Touaregs dans ce trafic compliquent sérieusement le travail des enquêteurs de pays comme le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye la Mauritanie, le Mali, le Niger, la Gambie, et même le Tchad.
Pour des raisons de géopolitique mais aussi par manque de moyens.
«Pour des raisons qui s’expliquent aisément, les autorités politiques et militaires de la région sont parfois impliquées dans les opérations de vente, d’achat ou d’échange d’armes. Il y a l’appât du gain certes, mais il y a également des calculs politiques. Les gouvernements en place sont souvent trop faibles pour contrôler les vastes étendues du désert et laissent aux nomades la possibilité de s’armer jusqu’aux dents pour jouer aux gendarmes. Cela explique quelque peu l’essor de ce trafic» explique un journaliste mauritanien. Jusqu’à présent, les rares affaires qui sont portées devant la justice concernent des saisies d’armes individuelles comme le fusil Fal saisi chez un agent des forces auxiliaires à Layoune l’été précédent. Suite à une information faisant état de l’introduction d’armes au Maroc à travers la Mauritanie, les services de police de Laâyoune ont mis la main sur une dizaine de suspects. Parmi les suspects, figure un caporal des Forces auxiliaires et un complice mauritanien, qui lui a procuré des armes à feu en provenance de la région «Zouerate» en Mauritanie.
Toutes les affaires suivies par les enquêteurs ne concernent que des acheteurs. Rien que du menu fretin.
La prolifération, la détention et le trafic illicite, ainsi que la circulation incontrôlée des armes légères et de petit calibre, sont des facteurs qui
ont depuis longtemps mis à mal la sécurité et la stabilité politique de la région. Ces facteurs alimentent non seulement la criminalité mais ils permettent à des chefs de guerre dont les dirigeants du Polisario d’amasser d’immenses profits et de tenir sous leur coupe, de vastes zones du grand Sahara. Mais le véritable danger reste la possibilité pour les Djhadistes de faire de la région un nouvel Afghanistan.

L’option terroriste

Quand le Washington Times a appelé en 2005 à ce que «le traitement réservé aux organisations terroristes soit appliqué au Front Polisario», Mohamed Abdelaziz avait crié à l’intox. Pourtant des ex activistes du Polisario comme l’idéologue des séparatistes n’excluent pas le recours à des actions armées par les hommes de Mohamed Abdellaziz. Ce qui ne serait pas une première puisque la tentation du terrorisme ne date pas d’hier. En effet, en septembre 1985, un chalutier canarien, «El Junquito», et «El Tagomago» un patrouilleur des forces armées navales espagnoles avaient été attaqués par le Polisario alors qu’ils naviguaient dans les eaux internationales à plus de 12 miles de la région de ********** Une attaque qui a valu la mort d’un marin-pêcheur et d’un soldat et la séquestration de plus de 50 personnes dont certaines n’ont jamais été retrouvées. A l’époque, Javier Solana, alors, ministre porte-parole du gouvernement espagnol, avait déclaré au terme d’un Conseil de gouvernement, que l’Etat espagnol avait décidé d’expulser tous les représentants du Polisario et de fermer tous les bureaux de cette «organisation terroriste» en Espagne. Le représentant du Polisario à l’ONU, Ahmed Boukhari, alors délégué à Madrid et Brahim Ghali avait été expulsés vers l’Algérie. Le 29 septembre 2007, le juge d’instruction de l’Audience nationale, Baltasar Garzon, qui a reçu une requête de la part de plusieurs associations de défense des victimes du terrorisme dont l’Association des victimes du terrorisme des Canaries (ACAVITE) devrait se prononcer sur la question dans les jours qui viennent.
A un moment où les victimes espagnoles du Polisario viennent d’être reconnues comme étant des victimes du terrorisme après avoir obtenu le droit de bénéficier des mêmes indemnités que reçoivent les victimes de l’organisation terroriste basque ETA.

Sous l’œil de l’oncle Sam

Croire que ce trafic d’armes échappe à la vigilance des agents de la CIA relèverait de la myopie politique. Les américains qui s’inquiètent de la menace à peine voilée de Ben Laden d’installer son QG dans le Sahel, ont pris l’initiative de boucler la région à travers l’Initiative transsaharienne de lutte contre le terrorisme, lancée par les États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001 pour empêcher l’établissement de bases terroristes en Afrique. Le Mali, la Mauritanie, le Tchad et le Niger ont bénéficié d’un pactole de plusieurs millions de dollars. Le nouveau programme sera financé à hauteur de 100 millions de dollars par an, pendant cinq ans, et inclura, outre ces pays africains, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, le Sénégal et le Nigeria. C’est dans ce sens que le général américain William Ward a tenu le 7 février 2007 à Dakar à piloter lui-même les travaux de la 3e Conférence du Partenariat transsaharien de lutte contre le terrorisme, auxquels ont pris part les chefs d’états-majors ou responsables militaires du Maghreb (Mauritanie, Maroc, Algérie et Tunisie) et de cinq pays subsahariens (Tchad, Mali, Niger, Nigeria et Sénégal). Une réunion qui s’est soldée par le déblocage d’un budget annuel de 90 millions de dollars pour pourchasser et neutraliser la mobilité des terroristes dans la région.

La Gazette du Maroc
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admin
Admin

Alger n’a plus de voix au chapitre


Il faut dire que ces dernières années on a appris – sur le plan diplomatique – à encaisser en adoptant la posture ambiguë d’être pris pour un modéré par les étrangers et pour un mou par son propre peuple. »

Ce constat serein mais ô combien juste de Abdelaziz Rahabi (ancien diplomate) résume bien la manière peu percutante avec laquelle Bouteflika a conduit la diplomatie algérienne durant son deuxième mandat. Hésitante voire parfois confuse, la politique étrangère aura péché par un manque de lucidité à tel point qu’il est difficile de saisir les contours d’un hypothétique positionnement stratégique. Pour s’être gaussé durant huit ans de formules aussi pompeuses que celle du « retour de l’Algérie dans le concert des nations » dont on a gavé le peuple jusqu’à l’overdose, le pouvoir de Bouteflika s’est dispensé d’un effort d’imagination si décisif dans un domaine où les erreurs se payent cash. Il n’est pas faux en l’occurrence d’avancer que l’Algérie n’a pas d’amis aujourd’hui, au sens diplomatique du terme. Dans un monde où les ensembles régionaux et des groupes d’intérêts économiques et géopolitiques se font de plus en plus nombreux, il est difficile de cataloguer notre pays parmi les sphères diplomatiques qui font bouger le monde. A commencer par la première puissance mondiale, les Etats-Unis, avec laquelle on n’est pas en odeur de sainteté à cause notamment de la guerre en Irak et du soutien au demeurant juste de l’Algérie au combat du peuple palestinien. Mais on retiendra un changement radical de la position de l’administration américaine à l’égard du dossier sahraoui dont elle soutenait pourtant le droit à l’autodétermination avant de prendre à bras-le-corps le plan d’autonomie du roi Mohammed VI. Pourquoi donc les USA ont fait le grand écart ? Pourquoi ont-il fait le choix de soutenir le Maroc alors que l’Algérie pouvait mettre son expérience dans la lutte contre le terrorisme à la disposition du département d’Etat ? Le comble est que l’Algérie s’est payée une mini-crise diplomatique avec son allié traditionnel, la Russie, à la faveur d’un contrat d’armement apparemment mal négocié. Il convient de noter que ce n’est pas forcément une bonne chose que de se mettre à dos les puissants de ce monde à plus forte raison dans le contexte actuel de guerre de positions. Au niveau européen, la posture de l’Algérie n’est guère reluisante.

Seul le courrier...

Partenaire traditionnel de par la géographie, mais surtout l’histoire, la France a elle aussi choisi son camp. C’est en faveur du Maroc qu’elle travaille au Conseil de sécurité dans le dossier du Polisario et c’est au Maroc qu’elle a offert une usine Renault. Quant à l’Algérie, elle semble juste bonne à servir de « tube digestif » gazier et pétrolier aux yeux d’un Sarkozy qui a eu le « culot » de déclarer clos le débat sur la repentance qui a tant inhibé voire freiné l’élan de refondation des relations bilatérales amorcé par l’ex-président Chirac. Et à trop vouloir tirer des dividendes politiques internes d’un contentieux historique qui aurait pu trouver une solution sereine, la guerre des mémoires à géométrie variable s’est avérée être un immense gâchis, pour l’Algérie surtout. Pendant cette traversée du désert diplomatique, à la marge des décideurs de ce monde, l’Algérie s’est également retrouvée hors course dans les cénacles arabes. Ce sont l’Egypte, la Syrie, l’Arabie Saoudite et à moindre degré la Jordanie et la Libye qui tiennent le haut du pavé. Qu’il s’agisse de la cause palestinienne, de la crise du Liban ou du Darfour, l’Algérie n’a pas vraiment de voix au chapitre. Que dire alors de l’Afrique à laquelle la diplomatie algérienne a tourné le dos depuis longtemps, mis à part ce club des « riches » regroupé autour du Nepad dont le poids géopolitique, selon les observateurs, est quasiment nul. Et pour boucler la boucle de cette « diplomatie des petits fours », l’Algérie ne récolterait rien dans la répartition annoncée des postes de la future union méditerranéenne. Hosni Moubarak devrait présider le groupe de la rive sud, Tunis abritera le siège de l’union et Rabat hériterait du secrétariat général. M. Rahabi a sans doute raison. « Dans les relations entre Etats, les déclarations d’intention ou de circonstance importent peu, seuls comptent les faits qui les suivent. »
Hassan Moali

http://www.marocainsdalgerie.net

becharelkhir

becharelkhir

C'est pour quand ces "démunis"en matrière grise(les algériens tous confondus),vont comprendre que sans consentement de leurs frères ainés (tous les marocains confondus),rien ne leur sera ni permis,ni facilité,puisque c'est comme ça la logique et
la nature des choses,celui qui est illustre il est illustre et celui
qui est infime il est infime,malgré le tapage sur le buste et ces confuses gesticulations!!??

admin"SNP1975"

admin
Admin

Liste actuelle des pays reconnaissant la prétendue "république sahraoui".
Liste actuelle des pays reconnaissant la prétendue "république sahraoui". Cette liste prend en compte toutes les suspensions de relations diplomatiques et retraits de reconnaissances.

79 Pays - 1989

32 Pays - 2008

• Albanie (29/12/1987)
• Algérie (6/3/1976)
• Angola (11/3/1976)
• Antigua et Barbuda (27/2/1987)
• Barbados (27/2/1988)
• Belize (18/11/1986)
• Bolivie (14/12/1982)
• Botswana (14/5/1980)
• Cuba (20/1/1980)
• Equateur (14/11/1983)
• Timor-Est (2002)
• Éthiopie (24/2/1979)
• Grenade (20/8/1979)
• Guyane (1/12/1979)
• Jamaïque (4/12/1979)
• Laos (9/5/1979)
• Lesotho (9/10/1979)
• Mauritius (1/7/1982)
• Mexique (8/9/1979)
• Namibie (2/6/1990)
• Corée du nord (16/3/1976)
• Papouasie Nouvelle-Guinée (12/8/1981)
• Rwanda (1/4/1976)
• Afrique du Sud (15/09/2004)
• St. Kitts et Nevis (25/2/1987)
• Surinam (11/8/1982)
• Ouganda (6/9/1979)
• Uruguay (25/9/2005)
• Venezuela (3/8/1982)
• Vietnam (2/3/1979)
• Zambie (12/10/1979)
• Zimbabwe (3/7/1980)

(dernière mise à jour : Mardi 17 Mars 2008 )

Forum-algerie

Comme une peau de chagrin .

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232SAHARA MAROCAIN OU SAHARA ONUSIEN - Page 10 Empty les pays polisariens Mer 9 Avr - 2:00

MJB



Tous ces pays cités qui reconnaissent la rasd ont besoin de mettre qque chose sous les dents pour s'alimenter afin de voir un peu plus claire que de reconnaitre une entité qui n'a ni terre, ni mer et non plus de ciel.
Une rasd composée de mercenaires et dissidents marocains, algeriens et mauritaniens ne sera reconue que par des pays pareils corrompus jusqu'aux os.
A ma connaissance aucun pays européen ne reconait la rasd, l'albanie etait le dernier pays à retirer sa reconnaissance: ça reste tjs à verifier.

scherifi



- 320.000 dollars pour contrecarrer le plan
d 'autonomie à washington.

- un cabinet de lobbying a été chargé par le gouvernement
algérien de tenter de contrecarrer la proposition
marocaine d'autonomie au Etats Unis.

ALM du 10/04/08

admin"SNP1975"

admin
Admin

وعلى مدى 318 صفحة، هي حجم المذكرات، يروي الفيلالي بعض الوقائع والقصص عن اسبانيا التي عمل سفيرا فيها لفترتين على عهد الدكتاتور فرانكو، ولفترة وجيزة بعد وفاته، فهو يتهم الحاكم العسكري الاسباني السابق لمنطقة الصحراء، الجنرال غوميث سالاثار، بانه هو الذي نظم هروب الصحراويين الذين كانوا يخدمون في الجيش الاسباني الى معسكرات تندوف (جنوب غربي الجزائر(، ويكشف ان الصحراويين الذين قاتلوا في البداية في صفوف جبهة البوليساريو، كانوا يتلقون الاوامر من الإسبان وليس من الجزائر، بسبب وجود حاجز لغوي آنذاك بين الاثنين.



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http://www.marocainsdalgerie.net

235SAHARA MAROCAIN OU SAHARA ONUSIEN - Page 10 Empty traiter de dictateur a dictateur. Ven 11 Avr - 16:46

Sidhoum

Sidhoum

scherifi a écrit:- 320.000 dollars pour contrecarrer le plan
d 'autonomie à washington.

- un cabinet de lobbying a été chargé par le gouvernement
algérien de tenter de contrecarrer la proposition
marocaine d'autonomie au Etats Unis.

ALM du 10/04/08

Le pire c’est qu’ils croient qu’ils vont traiter de dictateur a dictateur parce qu’ils sont accoutumés aux magouilles dans les coulisses avec les dictateurs/mendiants qu’ils ont convaincu avec une bouteille de gaz + un kéb'ch de reconnaître la RASD et dont les peuples sont réduits au stade de spectateurs comme chez eux.

Ils ignorent qu’aux USA, c’est les sénateurs qu’il faut convaincre, et les sénateurs ne sont que le reflet de l’opinion de leurs constituants respectifs qui est la suivante:

Le Maroc = pays ami, fiable et fréquentable et

l’Algérie = yen a la « révoulissiou/Cuba » + mentalement instable + un dictateur qui criai au peuple (pendant que les mouches faisaient du tourisme dans leur bouche) durant sa zââma ya sidi "campagne électorale":

".......Il n’y a pas, il ne peut pas avoir une politique Africaine ou une politique Mondiale sans l’Algérie !!! Nous sommes les champions des non-alignés (c a d des cancres/voyous/révoltés), nous sommes indispensables, nous sommes les mecs, sans nous, le monde s’arrêtera de tourner, nous sommes la sîperpouïssance djî MONde de jipîter jiska bouââlem tîtîche de la Casbah de la bataille d’Alger !!!…"

236SAHARA MAROCAIN OU SAHARA ONUSIEN - Page 10 Empty Tourisme en Algérie Ven 11 Avr - 17:08

Sidhoum

Sidhoum

Sidhoum a écrit:"....un dictateur qui criai au peuple (pendant que les mouches faisaient du tourisme dans leur bouche)...."
j’ai oublié de préciser que les mouches sont les seules qui osent encore faire du tourisme en Algérie (même les ânes ont peur d’être mangés)…:affraid: :affraid: :affraid:

scherifi



Memoires de mr. Abdellatif El Filali (ex-premier ministre du Royaume).
===========================
EXTRAIT = L argent algerien ..

- l Algerie fournissait aux Sahraouis tout leur materiel et faisait vivre ces
milliers de gens chez elle, ce qui lui coutait de l argent. Elle finira par
creer le 27 fervrier 1976 ce qu elle a appele la Republique arabe
sahraouie democratique qu elle a immeditement reconnue comme
representant le peuple sahraoui et fait reconnaitre un certain nombre
de pays. Avec de l argent, que ne peut-on faire? Lorsque je pense a ce
sahara, je ne peux m empecher de me demander, quels voisins le Bon
Dieu a-t-il donnes au Maroc? Comment est-il possible que des gens qui
ont vecu pendant des siecles comme des freres, obeissant aux memes
principes religieux et a une certaine regle que les Arabes ont toujours
respectee, comment ces gens ont-ils pu changer en l espace de
quelques annees apres leur independance, en toute complicite avec un
vrai colonisateur qui continue par ailleurs a occuper une partie du
Maroc? Comment expliquer que l Algerie, qui se vante d etre un grand
defenseur de la decolonisation, n ait jamais dit un mot sur la
presence de l Espagne a Ceuta et Melilla? Comment ces gens qui, il y a
quelques annees encore , etaient en guerre contre la France, font-ils la
guerre a l un des pays qui les a le plus aides pour leur leberation?
Comment regarder en face un responsable algerien? C est impossible!

- Le journal hebdo

admin"SNP1975"

admin
Admin

Ban Ki-moon recommande réalisme et compromis pour maintenir la dynamique des négociations sur le Sahara
Publié le 16 avril 2008 à 18h30

New York (Nations Unies) -Le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a appelé les parties en négociations sur le Sahara au réalisme et au compromis, estimant que le renforcement du statu quo ne saurait constituer l’issue du processus en cours.

"Je me félicite de l’engagement pris par les parties de poursuivre le processus de négociations, comme ils l’ont indiqué dans le communiqué final publié à l’issue du quatrième cycle de pourparlers tenu du 16 au 18 mars à Manhasset, dans l’Etat de New York", écrit M. Ban Ki-moon dans son dernier rapport au Conseil de sécurité sur la question du Sahara, dont la MAP a obtenu copie, mercredi à New York.

Il a, toutefois, estimé, tout comme son Envoyé personnel, que l’élan ainsi donné ne pourra être maintenu que si les parties s’efforcent de trouver un moyen de sortir de l’impasse politique actuelle en faisant preuve de réalisme et d’un esprit de compromis.

Il y ajoute : "J’estime - et c’est, je crois, l’avis de la Communauté internationale - que le renforcement du statu quo n’est pas acceptable et ne saurait constituer l’issue des négociations en cours".

Et de recommander au Conseil de sécurité, sur la base du quatrième round des pourparlers et de l’appréciation de son Envoyé personnel, de réitérer son appel aux parties "d’engager une phase de négociations plus intenses et portant davantage sur les questions de fond" et sans conditions préalables.

Le Secrétaire général préconise, enfin, la prorogation du mandat de la MINURSO pour une nouvelle période de six mois, jusqu’au 31 octobre prochain, estimant que la présence de la mission de l’ONU demeure essentielle pour le maintien du cessez-le-feu.

Les quinze devront tenir des consultations sur la question du Sahara, lundi prochain, avant de se réunir une nouvelle fois le 29 courant pour adopter une résolution pour proroger le mandat de la MINURSO.

A l’issue du 4ème round des négociations sur le Sahara, en mars dernier, les parties se sont engagées à poursuivre leurs pourparlers à Manhasset à une date à déterminer d’un commun accord.

Des délégations du Maroc, du Polisario, de l’Algérie et de la Mauritanie ont pris part aux quatre rounds des pourparlers, tenus sous l’égide des Nations Unies, conformément aux résolutions 1754 du 30 avril et 1783 du 31 octobre 2007 du Conseil de Sécurité.

map

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Dernière édition par Admin le Jeu 17 Avr - 17:27, édité 1 fois

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becharelkhir

becharelkhir

Bouteflika lance une campagne anti-marocaine dans le Golfe.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Après l’échec de sa diplomatie en Afrique sur le dossier du Sahara, le président algérien Abdelaziz Bouteflika part en campagne dans les émirats du Golfe.


Sur le dossier du Sahara, le président Bouteflika ne sait plus à quel saint se vouer. Après la cuisante défaite de sa diplomatie sur le front africain, où la voix d’Alger est aujourd’hui carrément inaudible, le président Bouteflika veut maintenant se tourner vers les émirats du Golfe.




Mais le fiasco risque d’être encore plus dur à supporter dans la « citadelle » imprenable du Golfe, où le soutien à la position du Maroc sur le Sahara est implacable. Le chef d’Etat algérien n’en a cure, paraît-il. Il se prépare à effectuer, en fin de semaine, une visite officielle au Qatar.



Mais avant de prendre son bâton de pèlerin, il a accordé une interview fleuve à un journal qatari, « Al Arab », où, selon un quotidien algérois, «il a fait des précisions concernant l’état des relations inter-maghrébines, et particulièrement algéro-marocaines, pour lever le voile sur certaines confusions entretenues dans nombre de pays du Golfe, proches de Rabat, concernant la véritable nature du Sahara occidental, un dossier dont le règlement est entravé par les positions intransigeantes du Maroc».


Soucieux de la méthode dans le discours, il a fallu au président Bouteflika reconnaître, publiquement, l’échec du projet de l’Union du Maghreb Arabe. Il estime que cette (UMA), «sur laquelle les peuples de la région fondent de grands espoirs, n’a pu réaliser les objectifs escomptés, notamment en ce qui concerne l’intégration et le partenariat économique». Maintenant, et après cette introduction, il va bien falloir trouver une explication à ce constat. Et c’est le Maroc, encore et toujours. Le président Bouteflika affirme que «l’Algérie n’a pas cessé d’afficher sa disposition, loyale et sincère, à développer les relations de coopération (avec le Maroc) tout en laissant le traitement de la question de l’autodétermination du Sahara occidental à l’Organisation des Nations unies (ONU), chargée de trouver une solution juste et équitable».



A en croire le président Bouteflika, l’édification maghrébine pourrait se réaliser en dehors de la question du Sahara. Or, ne retrouvons-nous pas, ici, une revendication bel et bien marocaine ? Rabat a toujours appelé à traiter la question maghrébine indépendamment du dossier du Sahara qui est entre les mains des Nations unies.



L’appel du Royaume pour la réouverture de la frontière avec l’Algérie est resté sans lendemain, en raison notamment de l’opposition d’Alger qui ressort le «préalable» du dossier du Sahara. Et ce ne sont pas les déclarations des responsables algériens qui manquent pour démontrer ce fait. Il y a quelques jours, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, avait reconnu sur les ondes d’une radio algéroise (Chaîne 3) que l’édification de l’UMA est «grippée» par la question du Sahara, qui constitue «une véritable gêne» à l’édification maghrébine. «La réouverture des frontières algéro-marocaines n’est pas envisageable mais elle doit intervenir dans le cadre des évolutions souhaitées par les deux parties qui, le moment venu, révéleront que telle ou telle difficulté a pu être dépassée et nous met dans une meilleure position d’ouverture en général et d’ouverture des frontières en particulier», avait estimé le chef de la diplomatie algérienne.



Curieusement, la déclaration du président Bouteflika, rapportée par le journal qatari, au sujet de l’UMA, contredit, de manière criante, celle de son ministre des AE, ce qui laisse la porte ouverte à toutes les contradictions. «On ne sait pas ce que veulent réellement les Algériens», s’interrogeait, il y a quelques semaines, le ministre Taïeb Fassi Fihri, lors d’une réunion à Rabat". A.L.M

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déterminé à aller aussi loin que possible dans le processus de négociation sur le Sahara (Ministre de la communication)
Rabat, 17/04/08 - Le Maroc, fort d'un consensus rare, est déterminé à aller aussi loin que possible dans le processus de négociation concernant la question du Sahara, a affirmé le ministre de la communication, porte-parole du Gouvernement, M. Khalid Naciri dans un point de presse à l'issue du Conseil de gouvernement.

Commentant la publication du Rapport du secrétaire général de l'ONU sur ces négociations, M. Naciri a indiqué que "le Maroc, société, institutions et gouvernement, dans un consensus rare, est déterminé à aller aussi loin que possible dans le processus de négociation, et s'inscrit positivement dans la démarche du Conseil de sécurité, mise en oeuvre par le secrétaire général de l'ONU".

Réitérant l'adhésion totale du Maroc à ce processus en vue de parvenir à la solution réclamée par la communauté internationale, à savoir une solution politique et acceptée par toutes les parties, le ministre a souligné que tous les efforts déployés par le Royaume "vont dans ce sens".

M. Naciri, a, en outre, formé le voeu que l'autre partie s'engage, comme le Maroc, dans ce processus, précisant que "l'autre partie n'est pas uniquement le +polisario+ mais tous ceux qui le soutiennent et lui dictent ses décisions".

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Référendum d’autodétermination au Sahara Occidental

Le Polisario appelle l’ONU à arrêter un calendrier

Le Front Polisario a appelé jeudi à l’arrêt d’un calendrier précis pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental, mettant en garde contre tout retard pouvant donner plus de temps à l’Etat occupant (Maroc) «de consacrer le plan d’annexion du Sahara occidental», a rapporté avant-hier le service de presse sahraoui (SPS). La mise en garde émise par le dirigeant du Front Polisario, M’hamed Khadad, et publiée dans un article de l’édition européenne du Wall street journal, intervient peu avant le renouvellement bisannuel par le Conseil de sécurité, du mandat de la Minurso. M. Khadad, coordinateur du Polisario auprès de la Minurso, a estimé que «pour le renouvellement du mandat de la Minurso, il est indispensable d’élargir les prérogatives de cette dernière en lui confiant la mission de veiller au respect des droits de l’homme et d’arrêter un calendrier pour l’organisation d’un référendum juste et équitable, afin de donner l’opportunité au peuple sahraoui de décider de son avenir, conformément aux décisions de l’ONU, en attendant l’organisation d’un référendum». Cela dit, il a rappelé que faisant à la base «partie de l’accord de cessez-le-feu entre le gouvernement marocain et le Polisario, décidé en 1991», la mission de la Minurso consistait essentiellement à «superviser une courte période de transition qui devait aboutir à l’organisation d’un référendum au Sahara occidental, ce qui permettrait aux électeurs sahraouis de choisir entre l’annexion au Maroc, l’autonomie sous la juridiction marocaine ou l’indépendance totale».

M. Khadad, membre de la délégation sahraouie participant aux négociations avec le Maroc à Manhasset, a ajouté que la mission de la Minurso dont «le mandat était limité dans le temps, consiste à organiser un référendum». Elle dure depuis 17 ans et a été marquée par plusieurs interruptions en raison des différends sur le type de l’électorat devant prendre part à ce référendum, interruptions qui s’inscrivent dans le cadre des manœuvres marocaines visant à retarder le processus du référendum. «Lors de cette période, le Maroc a œuvré pour la consécration du plan d’annexion illégale du Sahara occidental» et s’est transformé en «allié des Etats-Unis dans sa lutte contre le terrorisme afin de l’exploiter pour intensifier les actes de répression à l’encontre du peuple sahraoui», a-t-il ajouté. M. Khadad a souligné que le Royaume du Maroc a également bénéficié de l’appui de la France qui veut, a-t-il déclaré

«maintenir certaines zones d’influence au Maghreb en soutenant Rabat». Cette situation, a-t-il ajouté, a permis au Maroc de faire en sorte que la question du Sahara soit «un simple thème de débat» à l’ONU qui aura ainsi permis au Maroc de «rejeter les accords, faire fi de tous les engagements antérieurs et prendre les décisions et efforts de l’ONU à la légère».

Le responsable sahraoui a mis en garde contre les tentatives visant à imposer «l’autonomie» au peuple sahraoui sans référendum ce qui, a-t-il dit, serait «une violation directe, non seulement de l’ONU et du modèle de décolonisation, mais aussi des fondements du droit international». A ce sujet il a tenu à préciser que «le fond de la question est que le Sahara occidental n’a jamais été reconnu comme étant une partie du Maroc, d’un pays ou d’une instance internationale». Ajoutant que «cette position est confirmée par l’avis consultatif promulgué par la Cour internationale de justice qui prouve que les revendications marocaines sont injustifiées du point de vue du droit international». M. Khadad a par ailleurs indiqué que la République arabe sahraouie démocratique (RASD) «est reconnue par 80 pays et est membre de l’Union africaine (UA)» et qu’il serait par conséquent «illogique d’avancer des soi-disant dispositions de l’autonomie qui seront appliquées dans une région occupée de façon illégitime, dont le fonctionnement politique et les infrastructures socioéconomiques sont indépendants de l’occupant».

Habiba Ghrib

Le jour d'algerie

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M. Fillon réitère le soutien de la France à l'initiative marocaine d'autonomie
Rabat, 18/04/08 - Le Premier ministre français, M. François Fillon a réitéré, jeudi soir à Rabat, le soutien de la France à la proposition marocaine d'autonomie des provinces du sud.

"Je veux souligner à quel point la France soutient les initiatives du Maroc pour régler la douleureuse question du Sahara, et à quel point la France se fait l'interprète de l'initiave marocaine auprès des Nations Unies", a tenu à préciser M. Fillon, lors d'une allocution prononcée à l'occasion d'un dîner offert en son honneur par le Premier ministre, M. Abbas El Fassi.

S'agissant des échanges politiques entre les deux pays, le Premier ministre français a affirmé qu'ils "témoignent déjà d'une très grande convergence de vues", soulignant que "notre proximité d'analyse n'est pas contrainte" et "se vérifie tous les jours sur le thème de la sécurité, du développement, du terrorisme ou encore de la géopolitique régionale".

Au sujet du projet de l'Union pour la Méditerranée, le chef du gouvernement français a rappelé que "cette vision magnifique lancée par le président de la République française depuis la terre marocaine, doit continuer de recevoir le soutien que votre pays lui a accordé dès le premier jour, par la voix du Roi Mohammed VI".

"La France veut continuer à dialoguer avec un Maroc ambitieux, un Maroc qui soutient sa croissance, qui réduit sa dette publique et qui maitrise son inflation", a souligné, d'autre part, M. Fillon, ajoutant que "c'est au service de ce Maroc qu'elle (la France) place les ressources de ses coopérations".

Et de conclure: la France "se fait un honneur" de cultiver avec le Maroc "une relation déjà intense, variée et profonde", affirmant qu'entre les deux pays, "rapprochés par l'histoire, liés par la sympathie et soudés plus encore par les défis du temps présent, il n'y a de place que pour des objectifs élevés, pour des ambitions hautes".

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Le processus de négociations sur le Sahara est intervenu à la faveur de l'initiative marocaine d'autonomie (ministre des AE)
Rabat, 19/04/08- Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taieb Fassi Fihri, a souligné que le processus de négociations sur le Sahara est intervenu à la faveur de l'initiative marocaine d'octroyer une large autonomie aux provinces du Sud du Royaume.

Dans une déclaration diffusée vendredi soir par la chaîne d'information en continu "Al Jazeera", M. Fassi Fihri a appelé les autres parties à s'inscrire dans l'orientation prise par le dossier au niveau onusien et à favoriser la normalisation entre l'ensemble des pays du Maghreb arabe.

Il a émis le voeu que les prochains rounds de négociations puissent fournir l'occasion à la délégation marocaine d'exposer dans le fond la proposition marocaine.

Dans son dernier rapport au Conseil de sécurité sur la question du Sahara, le Secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki-moon, a appelé les parties au réalisme et au compromis, estimant que le renforcement du statu quo ne saurait constituer l'issue du processus en cours.

Il a, toutefois, estimé, que l'élan ainsi donné ne pourra être maintenu que si les parties s'efforcent de trouver un moyen de sortir de l'impasse politique actuelle en faisant preuve de réalisme et d'un esprit de compromis.

Dans un communiqué, la mission permanente du Royaume auprès des Nations Unies avait souligné que le Maroc partage l'avis du Secrétaire général de l'ONU que seul le réalisme et l'esprit de compromis permettront aux négociations sur le Sahara d'aboutir, invitant "les autres parties à saisir ce nouvel appel du Secrétaire général pour mettre un terme définitif à ce différend régional, hâtant, ainsi, la construction du Maghreb arabe, en tant qu'espace prospère, démocratique et stable".

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MOUSSA3ID



Le Sahara est marocain gagné par la force des F.A.R.

Il n'y a pas d'autres discussions,
Les faibles les vaincus doivent ramper, c'est tout ce qu'il leurs restent à faire

.

MOUSSA3ID



Sidhoum a écrit:
Sidhoum a écrit:"....un dictateur qui criai au peuple (pendant que les mouches faisaient du tourisme dans leur bouche)...."
j’ai oublié de préciser que les mouches sont les seules qui osent encore faire du tourisme en Algérie (même les ânes ont peur d’être mangés)…:affraid: :affraid: :affraid:


:lol: :lol: :lol: celle là je ne la connais pas, je suis scié :lol: :lol: :lol:

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L'initiative d'autonomie a permis de sortir la question du Sahara de l'état de stagnation qui durait depuis des années (ministre de l'Intérieur)
Laâyoune, 20/04/08- L'initiative marocaine d'octroyer une large autonomie aux provinces du sud du Royaume, dans le cadre de la souveraineté nationale, a permis de sortir la question du Sahara de l'état de stagnation qui durait depuis de longues années, a souligné le ministre de l'Intérieur, M. Chakib Benmoussa.

S'exprimant lors d'une rencontre tenue samedi à l'occasion du lancement de la première tranche du nouveau programme d'habitat dans la ville de Laâyoune, le ministre a ajouté que cette initiative a été confortée par les résolutions 1754 et 1783 qui ont attesté de sa crédibilité et de son sérieux, notant que cette proposition a été accueillie très favorablement par le Conseil de sécurité de l'ONU, la communauté internationale et les pays influents sur la scène mondiale qui ont appelé à l'adoption de ce projet en tant que plate-forme des négociations.

"En vue de contribuer de manière sérieuse à la mise en oeuvre de la solution politique escomptée, le Maroc s'est engagé dans des négociations qui ont permis, à la faveur de l'initiative d'autonomie, de sortir le dossier du Sahara de l'état de stagnation qui durait depuis de longues années, surtout que cette proposition est l'émanation d'une sage et profonde réflexion, tout comme elle est le résultat des rencontres et concertations avec l'ensemble des forces vives du pays -partis politiques et centrales syndicales-, le Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes, ainsi qu'avec les chioukhs, les élus, les notables et les acteurs de la société civile dans les provinces du sud", a relaté M. Benmoussa.

Le Maroc, fort de l'unanimité nationale et de la légitimité de sa position, a participé aux négociations de Manhasset avec bonne foi, un esprit ouvert et une volonté réelle d'oeuvrer pour sortir ce dossier de l'impasse sur la base de la solution équitable qui est "l'autonomie, toute l'autonomie et rien d'autre que l'autonomie", a poursuivi le ministre.

Lors des quatre rounds de négociations, le Royaume a émis le voeu que les autres parties saisissent l'opportunité historique offerte par l'initiative marocaine, assimilent son contenu et appréhendent ses dimensions prospectives et les retombées bénéfiques du règlement du conflit autour du Sahara sur la dynamisation de l'Union du Maghreb, le rapprochement entre ses peuples et le développement économique de la région dans son ensemble, a encore signalé le ministre de l'Intérieur.

Alors que le Maroc a présenté cette initiative de par sa conviction que la résolution de ce différend artificiel ne peut se faire qu'à travers des négociations sur une solution politique, il constate avec grand regret que les autres parties campent toujours sur leurs positions figées et recourent même à l'escalade en brandissant la menace d'un retour aux armes et en entreprenant des actes de provocation dans la zone située à l'Est de la ceinture de sécurité, a-t-il relevé.

Tout le monde est plus que jamais convaincu qu'il est impossible de parvenir à un règlement définitif de ce conflit sans l'adhésion de l'Algérie au processus en cours, a indiqué le ministre, relevant que face à cette situation, il sera procédé à une évaluation globale du dossier et à la prise de la position qui s'impose après la résolution du Conseil de sécurité attendue fin avril.

Par ailleurs, M. Benmoussa a souligné que le Maroc a fait montre d'un sens élevé de maturité et de responsabilité dans la gestion de la question des droits de l'Homme et en matière de consécration des fondements de l'Etat de droit, "en dépit des tentatives de nos ennemis de porter préjudice à notre réputation dans ce domaine et à saper les acquis réalisés".

Le ministre a, dans ce sens, rappelé que de nombreuses associations de défense des droits de l'Homme nationales et internationales se sont rendues dans les provinces du sud et que des médias internationaux, des élus et des hommes politiques étrangers ont pu effectuer des visites dans cette région pour s'enquérir de visu de la stabilité, de la sécurité et de la quiétude qui y règnent.

Les partis politiques, les syndicats et la société civile, toutes tendances confondues, s'acquittent d'un important rôle dans l'ancrage de la pratique démocratique et des libertés publiques dans la région en organisant de nombreuses activités pour l'encadrement des populations locales et la promotion de la liberté d'expression et de l'esprit de citoyenneté.

Cet effort, a-t-il considéré, a fait que les citoyens de ces provinces sont de plus en plus intéressés par la gestion des affaires publiques, un état d'esprit qui s'est clairement manifesté à travers la forte mobilisation lors des dernières élections législatives au niveau de cette région qui a enregistré le plus important taux de participation au niveau national.

"Nous sommes convaincus que cet intérêt continuera d'être aussi grand, d'autant plus que nous sommes en phase de préparation des prochaines échéances électorales, notamment les communales de 2009", a-t-il assuré, faisant remarquer que les projets de loi relatifs aux élections et à la Charte communale sont en cours d'élaboration.

M. Benmoussa a souligné que le gouvernement oeuvrera, à l'instar des précédentes expériences, à garantir les conditions nécessaires pour assurer le déroulement de ces échéances dans un climat empreint d'égalité, de transparence et de primauté de la Loi.

L'Etat est conscient "de la grande responsabilité historique qui lui incombe de répondre aux aspirations des habitants de la région en termes de sécurité, de stabilité et de développement durable", a-t-il affirmé, faisant part de la poursuite des efforts pour le développement de ces provinces en vue de la réalisation des infrastructures et des services sociaux, économiques et culturels dont la région a besoin, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI.

M. Benmoussa, accompagné du ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'Aménagement de l'espace, M. Ahmed Toufiq Hjira, et du président du Conseil Royal consultatif pour les affaires sahariennes, M. Khalihenna Ould Errachid, a rendu visite au groupe des ralliés parmi les participants au congrès de Gjijimat et s'est informé des conditions de leur intégration dans leur milieu social.

Les ralliés ont exprimé à cette occasion leur fierté de la sollicitude dont ils sont entourés et ont fait part de leur disposition à participer au processus de développement local.

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Actualité (Mardi 22 Avril 2008)


L’ambassadeur de la RASD en Algérie se confie à “Liberté”
“Le dernier rapport du SG de l’ONU constitue une avancée”
Par :Hafida Ameyar
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Le nouvel ambassadeur de la Rasd à Alger, M. Brahim Ghali, estime qu’il est de la responsabilité des Nations unies, de la communauté internationale, du Conseil de sécurité et du secrétaire général de l’ONU de trouver une solution définitive, juste et équitable au conflit.


liberté : M. l’ambassadeur, quelle lecture faites-vous du dernier rapport du secrétaire général de l’ONU sur la situation au Sahara occidental ?
Brahim Ghali : Je pense que c’est un rapport équilibré, dans la mesure où il restitue les évènements qui se sont déroulés pendant la période traitée par le document. Il révèle également certains évènements non abordés jusque-là dans les autres rapports, tels que la situation des droits de l’homme, mais sans entrer dans le détail. Il aurait fallu parler de toutes les violations aux droits humains commis par le Maroc, comme les tortures, les jugements iniques, les arrestations, les emprisonnements des militants sahraouis et de la vraie situation des prisonniers politiques sahraouis, après la grève de la faim entamée ces derniers temps. Je note que dans la partie relative aux violations de l’accord militaire n°1, le rapport parle de trois violations marocaines en les nommant et de dix violations émanant de la partie sahraouie, mais je ne trouve que trois (violations). M. Ban Ki-moon a-t-il omis de signaler les autres violations ou est-ce une manière d’augmenter les écarts ? De plus, sur les trois violations sahraouies citées, figure la destruction des mines sans notification préalable le 16 novembre 2007. Je ne suis pas d’accord avec cela, d’autant que les Nations unies sont en train de mener une campagne internationale pour la destruction des mines, en particulier les mines antipersonnel.
Or, la partie sahraouie a détruit justement des mines antipersonnel ! J’ai également remarqué qu’à propos des mesures de confiance, le rapport ne donne pas d’indication sur la position du Maroc. Aussi, nous demandons des éclaircissements là-dessus. Mais, comme je l’ai dit au début, le dernier rapport du secrétaire général est une avancée en comparaison avec les rapports publiés précédemment. Nous espérons que c’est le début d’un traitement plus approfondi sur les droits de l’homme au Sahara occidental…

Sur la question des droits humains ou sur le processus de décolonisation ?
Je parle ici de la question des droits de l’homme… Il y a des violations systématiques des droits de l’homme, en présence de la Minurso (Mission des Nations unies pour un référendum au Sahara occidental, ndlr), des violations que tout le monde ne connaît pas : il y a boycott d’informations et le territoire sahraoui sous occupation reste fermé aux journalistes et aux observateurs indépendants. Sur un autre plan, le rapport de M. Ban Ki-moon parle de solution devant un problème ou un conflit… comme si nous étions devant n’importe quel problème. Je n’ai pas trouvé dans ce rapport, spécialement dans la partie réservée aux observations et recommandations, que nous sommes devant un problème de décolonisation où l’ONU doit trouver une solution et où le Conseil de sécurité doit assumer sa pleine responsabilité pour trouver une solution qui respecte le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance, en accord avec la charte des Nations unies et les différentes résolutions adoptées par l’Assemblée générale de l’ONU, le Comité des 24, le Comité de décolonisation et les différentes résolutions du Conseil de sécurité. En dépit de tout cela, il y a un certain équilibre dans le traitement des évènements relatés dans le rapport du secrétaire général.

Pour ce dernier, la présence de la Minurso est indispensable pour maintenir le cessez-le-feu ? Il propose, sur cette base, la prolongation de son mandat jusqu’au 31 octobre 2008. Finalement, la Minurso est chargée de quelle mission ?
Je crois que le nom de la Minurso résume bien sa mission. La Minurso est la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental. Elle n’est pas en charge seulement du maintien du cessez-le-feu, qui n’est qu’un point du plan de règlement, adopté par le Conseil de sécurité et accepté par le Maroc et le Front Polisario. Malheureusement, les obstacles dressés par le Maroc et le fait que les Nations unies n’assument pas pleinement leurs responsabilités ont vidé le plan de règlement de sa substance… ils sont restés attachés au seul cessez-le-feu. Même si la Minurso n’a pas encore organisé le référendum, sa mission n’a pas changé : sa raison d’être au Sahara occidental est le plan de paix tout entier.

Concernant la publication du rapport de 2006 du Haut-Commissariat des Nations unies pour les droits de l’homme, M. Ki-moon se réfère uniquement à la demande du secrétaire général du Polisario. Trouvez-vous normal qu’il garde le silence sur les requêtes du Comité onusien des droits de l’homme et de bon nombre d’ONG ?
Effectivement, la demande de publication du rapport du Haut-Commissariat pour les droits de l’homme n’émane pas seulement du secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, mais il y a beaucoup d’ONG, surtout des ONG spécialisées dans la défense des droits de l’homme, qui ont demandé la publication officielle du rapport. Ces organisations considèrent injuste et incorrect qu’un rapport du Haut-Commissariat pour les droits de l’homme, recommandé par le secrétaire général des Nations unies pour s’enquérir de la situation des droits de l’homme au Sahara occidental, et qui a été rédigé suite à une visite sur les lieux, soit gardé dans le secret. Par ailleurs, le Comité des droits de l’homme de l’ONU s’est penché, lors de sa dernière session, sur la question des droits de l’homme au Sahara occidental. Il a exprimé son insatisfaction devant la situation qui prévaut dans les territoires sahraouis occupés et son incompréhension devant la non-publication d’un rapport traitant sur les droits de l’homme. Je dois dire que c’est la première fois qu’un rapport sur les droits de l’homme est entouré de secret. Malgré nos nombreuses demandes au secrétaire général et, à travers lui, au Conseil de sécurité, la Minurso reste l’unique mission de l’ONU qui n’a pas encore une composante des droits de l’homme, pour protéger la population sahraouie, publier et informer sur les affaires de droits de l’homme.

M. Ki-moon propose aux deux parties d’engager des négociations plus intenses et portant sur les questions de fond. Que vous inspire de telles recommandations ?
Les quatre rounds de négociations entre le Maroc et le Front Polisario ont été organisés sur la base des résolutions 1754 et 1783 du Conseil de sécurité, lequel a demandé au Maroc et au Front Polisario d’engager des négociations de fond sans conditions préalables. Seulement, le Maroc, appuyé par des membres du Conseil de sécurité, essaie d’exiger son seul plan comme base de discussions. À cause de ses pré-conditions, nous n’avons pas pu aller vers des négociations plus intenses et plus profondes ni évoluer vers une solution du conflit. C’est la première fois que Ki-moon appelle le Conseil de sécurité pour qu’il demande aux deux parties d’engager des négociations sur des questions de fond.
À mon avis, cet appel veut dire qu’il y a une partie qui s’accroche aux pré-conditions, qu’elle doit abandonner cette position et entrer dans des négociations conformément à la plate-forme du Conseil de sécurité. Celle-ci est claire, puisqu’elle mentionne l’existence de deux propositions sur la table des négociations, l’offre marocaine et la proposition sahraouie. Un autre élément montre que le message du secrétaire général est destiné au Maroc, quand le secrétaire général dit que le Front Polisario a accepté tous les points sur les mesures de confiance, proposés par son envoyé personnel, M. Peter Van Walsum ? Cela veut dire que le Maroc n’a accepté aucun point et qu’il doit, par conséquent, participer aux négociations, avec bonne volonté et sans pré-conditions.

En parlant de M. Van Walsum, M. Ki-moon laisse entendre qu’il a le pouvoir de rechercher une solution. Qui de l’ONU ou de l’envoyé personnel du secrétaire général a les prérogatives de rechercher une solution ?
Il s’agit en fait de la responsabilité des Nations unies, de la communauté internationale, du Conseil de sécurité et du secrétaire général de l’ONU de trouver une solution définitive, juste et équitable au conflit. Limiter la recherche d’une solution à M. Van Walsum, c’est vouloir débarrasser les Nations unies de la responsabilité qui leur incombe pour parachever le processus de décolonisation au Sahara occidental. Nous ne sommes pas en train de parler d’une première expérience que l’ONU doit effectuer…

Que répondez-vous à certains commentateurs qui pensent que la présence de Peter Van Walsum aux négociations tend à favoriser le plan marocain tel quel ou remodelé ?
Très sincèrement, je n’exclus pas cela, mais je tiens à rappeler qu’il serait invraisemblable de reproduire la même manœuvre. Depuis l’invasion du Sahara occidental par le Maroc, et donc après plus de 32 ans de conflit, il y a des tentatives de rééditer les mêmes erreurs, les mêmes crimes, qu’en 1975. Cette tendance d’imposer une solution qui ignore la volonté du peuple sahraoui existe encore au niveau de certains membres du Conseil de sécurité. Ont-ils influencé M. Van Walsum ? Le rôle de ce dernier est de faciliter la tâche aux deux parties, en vue l’application des résolutions du Conseil de sécurité, c’est-à-dire trouver une solution respectant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. J’ajouterai que toute solution qui ignore la volonté et le droit du peuple sahraoui est vouée à l’échec. Le message lancé, depuis le 21 mai 2005, par le peuple sahraoui, par des Sahraouis nés après le 26 février 1976 et après le 6 septembre 1991, n’est, hélas, toujours pas compris par la communauté internationale, les Nations unies et son Conseil de sécurité.

Dans la partie réservée aux prisonniers de guerre, détenus et personnes disparues, on ne trouve aucune indication…
Je pense que les questions humanitaires sont traitées de façon superficielle par le Comité international de la Croix-Rouge et les Nations unies. Côté sahraoui, nous avons plus de 500 personnes civiles disparues et 151 prisonniers de guerre qui ont été capturés vivants… Depuis l’entrée en vigueur du plan onusien de règlement, donc depuis le 6 septembre 1991, nous demandons au HCR, au CICR, à la Minurso et aux Nations unies, des informations les concernant, mais aucune réponse ne nous a été livrée à ce jour. Nous savons que le CICR a la responsabilité de présenter un rapport détaillé sur ce qu’a fait le Maroc sur le registre des prisonniers de guerre et des disparus, sur la position marocaine et les explications données par Rabat sur ce dossier. Nous voulons savoir ce que dit le rapport du CICR sur les disparus sahraouis, militaires ou civils.

M. l’ambassadeur, le Conseil de sécurité tiendra très prochainement sa réunion sur le Sahara occidental. A quoi vous attendez-vous ?
Nous espérons voir l’adoption d’une résolution conséquente avec la responsabilité entière de l’ONU dans un processus de décolonisation. Une résolution qui fasse pression, même indirectement, sur la partie qui obstrue le processus de négociations, c’est-à-dire la partie marocaine.

Entretien réalisé par :
HAFIDA AMEYAR

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Que répondez-vous à certains commentateurs qui pensent que la présence de Peter Van Walsum aux négociations tend à favoriser le plan marocain tel quel ou remodelé ?
Très sincèrement, je n’exclus pas cela, mais je tiens à rappeler qu’il serait invraisemblable de reproduire la même manœuvre. Depuis l’invasion du Sahara occidental par le Maroc, et donc après plus de 32 ans de conflit, il y a des tentatives de rééditer les mêmes erreurs, les mêmes crimes, qu’en 1975. Cette tendance d’imposer une solution qui ignore la volonté du peuple sahraoui existe encore au niveau de certains membres du Conseil de sécurité. Ont-ils influencé M. Van Walsum ? Le rôle de ce dernier est de faciliter la tâche aux deux parties, en vue l’application des résolutions du Conseil de sécurité, c’est-à-dire trouver une solution respectant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. J’ajouterai que toute solution qui ignore la volonté et le droit du peuple sahraoui est vouée à l’échec. Le message lancé, depuis le 21 mai 2005, par le peuple sahraoui, par des Sahraouis nés après le 26 février 1976 et après le 6 septembre 1991, n’est, hélas, toujours pas compris par la communauté internationale, les Nations unies et son Conseil de sécurité.

On vient juste de souligner sur notre forum que le plan Beker pour un referendum est mort.

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Réunion de la direction du Front Polisario
Van Walsum persona non grata

Par Yassine Mohellebi

Les problèmes n’arrêtent pas de tomber sur la tête du facilitateur onusien, le Néerlandais Peter Van Walsum, qui, après avoir été désavoué par le secrétaire général de l’ONU et le Conseil de sécurité, vient de subir un autre revers, cette fois-ci de la part de l’un des principaux acteurs du conflit du Sahara occidental, le Front Polisario. Il semble que, désormais, la fin de mission du diplomate batave serait plus que vraisemblable.


L’instance suprême du Front Polisario, réunie avant-hier à Bir Lahlou afin d’étudier les derniers développements survenus dans le dossier sahraoui, notamment la réunion du Conseil de sécurité et l’adoption d’une nouvelle résolution, a débouché sur des décisions majeures qui devraient dicter la politique à adopter en vue de parvenir à la concrétisation de l’unique objectif du peuple sahraoui, à savoir la tenue d’un référendum d’autodétermination et l’accession à l’indépendance.
L’urgence était donc de décortiquer la portée de la dernière résolution du Conseil de sécurité, la 1813, qui appelait les deux belligérants, le Front Polisario et le royaume du Maroc, à des négociations plus substantielles qui aideront à une sortie du blocage et garantiront l’autodétermination du peuple du Sahara occidental. Une issue pour laquelle le Front Polisario s’en est félicité puisqu’elle consacre la légalité internationale et lève le voile sur la volonté du makhzen de dénaturer le caractère de décolonisation du Sahara occidental.
«Tout en rappelant que le cessez-le-feu, en vigueur depuis 1991, est indissociable du référendum d’autodétermination accepté par les deux parties et endossé par l’ONU, le bureau national du Front Polisario réitère que toute tentative visant à dénaturer le caractère de décolonisation du conflit est irrémédiablement voué à l’échec», lit-on dans un communiqué de la direction sahraouie.Le bureau national a rappelé, à propos des actuelles négociations, que le Front Polisario «n’acceptera ni aujourd’hui ni demain d’entrer dans un processus visant à la négation des droits inaliénables du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance». A cet égard, les responsables sahraouis considèrent l’approche personnelle prônée par Peter Van Walsum «d’illégale, d’injuste et de complètement alignée sur les thèses de l’occupant marocain». C’est dans cette optique, et comme attendu, que le bureau national du Polisario a condamné la position du facilitateur onusien et considère qu’il «a perdu la confiance du peuple sahraoui et, partant, qu’il ne peut plus jouer de rôle dans le processus en cours visant la décolonisation du Sahara occidental».
Reste maintenant à savoir quelle sera la position de l’envoyé spécial de l’ONU tant les revers qu’il a eus à subir l’ont complètement déstabilisé au point où, juste après ses déclarations face aux membres du Conseil de sécurité, il a directement rallié son pays, les Pays-Bas. Y. M.


Jeune independant

http://www.marocainsdalgerie.net

sabria



[quote="Admin"]Réunion de la direction du Front Polisario
Van Walsum persona non grata

[quote].. à la concrétisation de l’unique objectif du peuple sahraoui, à savoir la tenue d’un référendum d’autodétermination et l’accession à l’indépendance.[quote]

Comment l'auteur de cet article peut-il savoir avant même le référendum que l'autodétermination va déboucher automatiquement sur l'indépendance? il ne fait pas de distinction entre l'autodétermination ( qui est la voix du peuple de se déterminer donc, dans ce cas, de se prononcer pour ou contre l'indépendance) et l'indépendance proprement dite. Il fait un amalgame impardonnable pour un journaliste si bien sûr, il en est un. Soit, il prend ses désirs pour des réalités au point d'oublier qu'une grande partie de ce peuple se trouve au Maroc, soit c'est un ignare qui ne connaît pas la portée des mots. Quand on opte pour le référendum, on attend que les concernés se prononcent au lieu d'anticiper et de parler d'emblée d'indépendance. pourquoi l'autodétermination dans ce cas?

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