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becharelkhir

becharelkhir

UNE PARTIE DE L'HISTOIRE DU MAROC CONTEMPORAIN.

il a été constaté que l'histoire contemporain du Royaume du Maroc,n'a pas pris sa place value ici dans se forum
qui se veut etre une instance de vérité et d'équité,(qui n'a rien à envier a d'autre instances d'ailleurs),il est donc souhaitable ou meme recommandé que cette exigence soit prévalue et qui ne relate que les faits à partir du début du XX°siècle , et voici ci-dessous quelaques étapes de cette riche histoire :


. Le Maroc commémore le 20 Août de chaque année l’anniversaire de la révolution du Roi et du peuple, cette commémoration est une occasion de rappeler la lutte acharnée menée par le père de la libération, Feu SM le Roi Mohammed V contre l’occupation et le complot ourdi contre lui par les colons .
La mémoire collective des Marocains garde vivace le souvenir de cette journée qui personnifia la communion sacrée du Trône et du peuple et qui sonna le glas de l’esprit et des velléités coloniales au Maroc.
En effet, Mohammed V en grand homme d'Etat, a su défendre depuis le début de son règne la souveraineté du Royaume et le conduisit avec clairvoyance et détermination à l’Indépendance


Et voici ci-contre quelques dates qui ont marquées les événements de cette révolution :



16 mai 1930 : La France promulgue le « Dahir berbère » qui déclenche une vague de contestations et de manifestations nationalistes.
Mai 1934 : Manifestation à Fès en soutien au Sultan Mohammed Ben Youssef, en chemin pour faire la prière du vendredi.
8 octobre 1936 : Nomination d’un nouveau résident général au Maroc, le général Noguès, Sidi Mohammed ben Youssef lui fait part de la désapprobation du peuple marocain.

8 novembre 1942 : Débarquement des forces américano-britanniques à Safi, à Kénitra, à Oran et Alger.
14 janvier 1943 : Conférence d’Anfa réunissant Winston Churchill, Roosevelt, De Gaulle et Giraud avec feu S.M MohammedV.
22 janvier 1943 : dîner et Rencontre à Casablanca de Mohammed V avec le Président américain Roosevelt .
21 juin 1943 : Nomination d’un nouveau résident général au Maroc, le Maréchal Puaux.
10 décembre 1943 : Formation du parti de l’Istiqlal.
11 janvier 1944 : Présentation du manifeste de l’Istiqlal.
28 janvier 1944 : Le Général De Gaulle envoie son émissaire aux Affaires étrangères, M. René Massigli à Rabat pour inviter le Sultan Mohammed Ben Youssef à respecter les dispositions du traité de Fès.

23 mars 1946 : Nomination d'un nouveau résident général au Maroc, le Maréchal Eirik Labonne.
10 avril 1947 : Le Sultan Mohammed Ben Youssef prononce le discours de Tanger, réclamant l’indépendance du pays et son intégrité territoriale.
13 mai 1947 : Désignation du Général Juin chef d’Etat major général de la défense nationale, résident général au Maroc.
26 janvier 1951 : Le Général Juin , leader du lobby colonialiste, adresse un avertissement au Sultan Mohammed Ben Youssef l’incitant à désavouer le parti de l’Istiqlal ou bien de renoncer au trône avec la menace d’être destitué.
Septembre 1951 : Départ du général Juin et passation de pouvoirs au général Augustin Guillaume.
27 octobre 1951 : La résidence générale organise des élections des chambres consultatives marocaines, boycottées par le peuple marocain. Manifestations à Casablanca
14 mars 1952 : Le Sultan Mohammed Ben Youssef envoie un nouveau message à Paris appelant notamment la France à accorder l’indépendance du Royaume, à permettre aux Marocains de jouir de toutes les libertés publiques, et d’accorder aux travailleurs le droit de former des syndicats et de participer à des négociations conduisant à l'indépendance du pays.
octobre 1952 : La France propose de suivre la politique de l’interdépendance, de créer une administration et des conseils communs et d’ouvrir des négociations sur la base des dispositions du traité de Fès. Le Sultan Mohammed Ben Youssef rejette cette proposition.
18 mars 1953 : Distribution d’un manifeste signé par une vingtaine de notables, collaborateurs de l’occupant, accusant « le Sultan de conduire le pays vers le chaos » et de s’allier à "des partis politiques illégitimes".
1er juin 1953 : Le Sultan Mohammed Ben Youssef demande à la France de mettre un terme à cette dissidence manigancée et organisée par des Pachas et caïds collaborateurs du lobby des Colons.
11 août 1953 : Le ministre français des Affaires étrangères, Georges Bidault, adresse un message au Général Guillaume pour lui demander de « calmer El Glaoui ».
13 août 1953 : La France demande au Sultan, sous la menace de le déposer, de renoncer à la majorité de ses droits politiques.
16 août 1953 : Manifestations contre l’occupant , réprimées dans le sang, à Marrakech, Fès, Casablanca, Rabat, Salé, Meknès et Oujda. et pour le retour de Sa Majesté le Roi Mohammed V.
20 août 1953 : Le lobby des colons exige du gouvernement français et obtient l’exil du Sultan Mohammed Ben Youssef et de la famille royale en Corse puis à Madagascar
20 août 1953 : déclenchement de la révolution du Roi et du peuple.
Manifestations aux cris de « yahya el malik Mohammed al khamis !! »
11 septembre 1953 : Le résistant Allal Ben Abdellah tente d’assassiner Ibn Arafa.
Décembre 1953 : Les Etats arabes présentent aux Nations unies un projet de résolution demandant d’accorder au Maroc le droit à l’autodétermination.
Multiplication des affrontements sanglants entre nationalistes et colons.
23 août 1955 : Rencontre franco-marocaine à Aix-les Bains au cours de laquelle il est décidé de déposer Ibn Arafa, de former un conseil de tutelle et d’accélérer la formation d’un gouvernement marocain représentatif de toutes les appartenances politiques.

16 novembre 1955 : Retour triomphal de Sa Majesté Mohammed V à Rabat.
7 décembre 1955 : Formation du premier gouvernement indépendant de coalition, présidé par M. Mohamed El Bekkay.

7 mars 1956 : SM Mohammed V annonce l’indépendance du Maroc.

sabria



Merci Becharelkhir pour ce flash de l'histoire contemporaine du Maroc. Des dates importantes mais qu'on oublie souvent.

becharelkhir

becharelkhir



L'Algérie appelle à la reprise du processus de Manhasset sur l’autonomie?



L’évolution du dossier du Sahara commence à faire bouger les esprits du côté d’Alger. C’est, du moins, ce que laisse entrevoir la déclaration faite par le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, lors d’une rencontre vendredi dernier à Paris avec son homologue français, Bernard Kouchner. «Nos points de vue ne sont pas aussi divergents qu’ils ne paraissent», a affirmé le chef de la diplomatie algérienne, dans un élan qui annonce un changement de ton dans la position du pays voisin sur la question du Sahara.



Lors de son voyage parisien, qui intervient à la veille de la visite en Algérie du président français Nicolas Sarkozy, du 3 au 5 décembre prochain, le responsable algérien a fait cause commune avec son homologue français pour souhaiter, une fois n’est pas coutume, que les négociations entamées à Manhasset puissent (non seulement) être poursuivies, mais aussi et surtout «intensifiées» et «conduire à une solution définitive au problème du Sahara». Ce ton, inhabituel, adopté par Alger, à un mois de la reprise des négociations entre le Maroc et le Polisario, marque un nouveau virage dans la position (indéboulonnable) que les autorités algériennes ont jusqu’à peu adoptée.



Qu’Alger affirme aujourd’hui que sa position ne diffère pas de celle de Paris sur la question du Sahara, revient à dire qu’Alger, au même titre que la France, est favorable à l’approche marocaine, accueillie d’ailleurs avec enthousiasme par la communauté internationale, pour tourner la page du conflit. Paris, comme Madrid, et plus encore Washington, avaient déclaré être favorables à l’offre marocaine d’autonomie, considérée comme une alternative «sérieuse» et «crédible» à la crise qui bloque l’avenir du Maghreb, tout comme celui du projet d’Union méditerranéenne, sur lequel le président Sarkozy a fondé toute sa politique étrangère. «Le Plan d'autonomie marocain existe, il est sur la table et il constitue un élément nouveau de proposition, après des années d'impasse.



Je forme le souhait qu'il puisse servir de base de négociation pour la recherche d'un règlement raisonnable à la question du Sahara», a souligné M. Sarkozy, dans le mémorable discours qu’il a prononcé devant le Parlement marocain, au lendemain de son arrivée au Maroc le 23 octobre dernier. «Le Maroc d'aujourd'hui c'est aussi une approche nouvelle du Sahara occidental. Je veux prendre mes responsabilités en tant que chef de l'Etat : le Maroc a proposé un plan d'autonomie sérieux et crédible en tant que base de négociation», a estimé le chef d’Etat français. L’engagement ferme de Paris sur la question du Sahara, conjugué à celui de Madrid et Washington, pour ne citer que ces puissantes capitales, semble avoir été pour quelque chose dans l’infléchissement de la position de l’Algérie.



Ce développement intervient alors que Rabat a récemment émis, par la voix du ministre des Affaires étrangères, Taïeb Fassi Fihri, son souhait que «l’Algérie prenne une attitude positive vis-à-vis de la proposition marocaine d’autonomie pour le Sahara lors de la prochaine phase de négociations», ajoutant que le troisième round de négociations, prévu probablement à Genève, se tiendra fin décembre ou début janvier.

Un troisième round qui annonce un nouveau cap, notamment après la résolution 1783 du Conseil de sécurité qui, tout en soulignant, encore une fois, la crédibilité et le sérieux de la partie marocaine, a appelé à engager des «négociations substantielles» pour régler un conflit vieux et néanmoins inutile.



Aujourd'hui le Maroc



admin"SNP1975"

admin
Admin

Sahara : le sens d'un 3e round
(Le Matin 29/11/2007)

Depuis quelques jours, la presse algérienne ne cesse de rapporter les déclarations de responsables du gouvernement appelant à la reprise des contacts entre le Maroc et le polisario. Comme si, en effet, la crainte se faisait fortement ressentir d'une rupture du processus engagé le 18 juin à Manhasset, continué en août ensuite.

Or, il y a plus que la simple crainte, il y a surtout le sentiment que le terrain glisse sous les pieds des séparatistes et leurs protecteurs dans une affaire où le Maroc a surtout fait preuve de «bonne foi», de sincérité et de perspicacité. Le premier comme le deuxième rounds de Manhasset ont démontré à tout le monde cette disposition du Maroc mise en œuvre dans le cadre des Nations unies.

Et donc a fourni aussi la preuve que, malgré les sarcasmes des dirigeants du polisario, les petites phrases assassines pour saboter les négociations, rien n'a mieux illustré la bonne foi du Maroc que sa volonté d'aller outre un tel sabotage caractérisé. L'adoption de la résolution n° 1754 par le Conseil de sécurité le 30 avril dernier, recommandant des négociations directes, avait succédé à la présentation par le Maroc de l'initiative pour l'autonomie au Sahara qui avait emporté l'adhésion de plusieurs pays, dont notamment les Etats-Unis et d'autres pays en Europe. Leurs responsables, à des niveaux différents, ne s'étaient pas fait faute de souligner la coopération du Maroc, sa bonne foi et sa sincérité pour s'inscrire dans le processus entamé sous l'égide des Nations unies.

Aussi, le polisario ou autres étaient mal venus pour affirmer impunément que notre pays se livrerait à des manœuvres quelconques dans le but d'entraver le processus de règlement. Car non seulement le Maroc y souscrit mais il a devancé les événements, mieux : il mis en œuvre une solution d'autonomie « révolutionnaire », incontournable, constructive et pour tout dire ultime. A l'encontre de l'initiative marocaine, pris de court par la disposition du Maroc à aller de l'avant, gouvernement algérien et polisario n'avaient pas trouvé mieux à proposer qu'un «plan contraire», une caricature de règlement livrée par ricochet, informe et irréaliste, inspiré tout simplement d'une ligne politique connue et éprouvée: bloquer les efforts des Nations unies, renvoyer dos à dos et ces dernières et le Maroc.

Tout de même, responsables américains, européens, africains, arabes et asiatiques se sont relayés pour saluer le courage et l'engagement du Maroc, invoquant tour à tour sa «bonne foi», la «crédibilité» de son projet, bref l'esprit constructif de sa démarche. Six mois après le premier round, trois mois et quelques jours après le second, notre pays n'a pas changé d'un iota sa position sur le problème du Sahara ni tempéré sa volonté irréductible d'en venir à bout.

Mieux vaut se rendre à l'évidence dans cette affaire: l'Algérie a soufflé le chaud et le froid sur un conflit qu'elle a entretenu à sa guise. Le Maroc, à son tour, est demeuré serein et surtout convaincu de la justesse et du bien- fondé de sa thèse. Toute solution, en effet, ne saurait être que politique, négociée, et le projet d'autonomie présenté en avril dernier en illustre la réelle dimension.



Par LE MATIN

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

Sahara : Sarkozy réaffirme à Alger la position de la France


Sahara: Nicolas Sarkozy souhaite une solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties


Alger, 04/12/07- MAP. Le Président français Nicolas Sarkozy a souhaité, mardi à Alger, une "solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties" à la question du Sahara.



"J'espère vivement qu'une solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties pourra être trouvée sur ce dossier qui a empoisonné les relations entre les pays du Maghreb depuis trois décennies", a déclaré M.Sarkozy, lors d'un échange de toast à l'occasion d'un déjeuner que lui a offert son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika.
M. Sarkozy s'est réjoui de la "nouvelle dynamique à l'oeuvre avec la tenue de rencontres directes entre les parties, sous l'égide des Nations Unies, conformément aux résolutions 1754 et 1783 du Conseil de sécurité".
"Avec l'appui de tous les pays de la région, au premier des rangs desquels l'Algérie, j'espère vivement qu'une solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties pourra être trouvée", a-t-il dit.
Lors de sa dernière visite officielle au Maroc (du 22 au 24 octobre dernier), M. Sarkozy avait formé le souhait que le plan d'autonomie au Sahara, proposé par le Maroc, "puisse servir de base de négociation pour la recherche d'un règlement raisonnable" à la question du Sahara, qualifiant de "sérieuse et crédible" la proposition marocaine.
"Le plan d'autonomie marocain existe, il est sur la table et il constitue un élément nouveau de proposition, après des années d'impasse. Je forme le souhait qu'il puisse servir de base de négociation pour la recherche d'un règlement raisonnable" à la question du Sahara, avait-t-il affirmé devant les membres des deux Chambres du Parlement à Rabat. "La France sera à vos côtés", avait-il assuré.
Sahara : Sarkozy réaffirme à Alger la position de la France


Sahara: Nicolas Sarkozy souhaite une solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties


Alger, 04/12/07- MAP. Le Président français Nicolas Sarkozy a souhaité, mardi à Alger, une "solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties" à la question du Sahara.



"J'espère vivement qu'une solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties pourra être trouvée sur ce dossier qui a empoisonné les relations entre les pays du Maghreb depuis trois décennies", a déclaré M.Sarkozy, lors d'un échange de toast à l'occasion d'un déjeuner que lui a offert son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika.
M. Sarkozy s'est réjoui de la "nouvelle dynamique à l'oeuvre avec la tenue de rencontres directes entre les parties, sous l'égide des Nations Unies, conformément aux résolutions 1754 et 1783 du Conseil de sécurité".
"Avec l'appui de tous les pays de la région, au premier des rangs desquels l'Algérie, j'espère vivement qu'une solution durable, réaliste et acceptable par toutes les parties pourra être trouvée", a-t-il dit.
Lors de sa dernière visite officielle au Maroc (du 22 au 24 octobre dernier), M. Sarkozy avait formé le souhait que le plan d'autonomie au Sahara, proposé par le Maroc, "puisse servir de base de négociation pour la recherche d'un règlement raisonnable" à la question du Sahara, qualifiant de "sérieuse et crédible" la proposition marocaine.
"Le plan d'autonomie marocain existe, il est sur la table et il constitue un élément nouveau de proposition, après des années d'impasse. Je forme le souhait qu'il puisse servir de base de négociation pour la recherche d'un règlement raisonnable" à la question du Sahara, avait-t-il affirmé devant les membres des deux Chambres du Parlement à Rabat. "La France sera à vos côtés", avait-il assuré.

http://www.marocainsdalgerie.net

becharelkhir

becharelkhir





Sahara : Les bourreaux rattrapés par leurs victimes



De hauts responsables de l’Algérie et du Polisario sont appelés à rendre compte, devant la justice espagnole, de leur implication dans le génocide commis contre la population sahraouie. Dans la plainte, déposée par l’Association sahraouie de défense des droits de l’Homme, sont cités d’anciens généraux algériens, dont Larbi Belkheir, actuel ambassadeur d’Alger à Rabat, le général Lamari, Nabil Kadour, un attaché militaire à l’ambassade d’Alger en Mauritanie, et Nadim Bennasser, un officier dans les renseignements algériens. Du côté de Tindouf, sont cités à comparaître l’actuel représentant du Polisario en Espagne, Brahim Ghali, ajouté à El Bachir Mostafa Essayed, et Ali Eddaba, responsable de la garde rapprochée du chef du front Polisario, Mohamed Abdelaziz, M’Hamed El Khaddad, soi-disant coordinateur du Polisario auprès de la Minurso, et El Khalil Sidi M’Hamed, responsable du ministère prétendu des immigrés polisariens.



Le compte à rebours pour le début du procès intenté contre les responsables du génocide anti-sahraouis a commencé. D’après des sources basées à Madrid, le représentant du Polisario en Espagne, Brahim Ghali, a été déjà convoqué par un tribunal madrilène pour comparaître le 10 décembre. Le principal chef d’accusation retenu contre les suspects, la disparition de 72 Sahraouis enlevés lors d’attaques menées par le Polisario dans les années soixante-dix contre les villes d’Assa Zag et Tan-Tan.



Lors du procès, des Sahraouis établis aussi bien à Tindouf qu’à l’extérieur seront appelés à apporter leurs témoignages sur les crimes commis contre les disparus. A ce propos, des sources ont affirmé à ALM que trois membres du Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (Corcas) ont pour leur part déposé plainte contre les bourreaux du Polisario et de l’Algérie. Il s’agit d’anciens ralliés, qui ont fait l’amère expérience de la détention dans le bagne « Errachid », à Tindouf. A nommer Hussein Beïda, président de la commission des droits de l’Homme au Corcas, Saâdani Maâ El Aïnain, ancienne déportée vers les camps de concentration à Cuba, et Dahi Hagga, président de l’Association sahraouie des disparus de Tindouf. A signaler que plusieurs avocats espagnols se sont portés volontaires pour défendre les victimes sahraouies des disparitions forcées et de leurs familles.Aujourd'hui Le Maroc





becharelkhir

becharelkhir

Sahara : Washington appelle le Polisario à discuter sur la base de l’autonomie

Les Etats-Unis appellent cette fois directement le Polisario à engager le dialogue sur la proposition marocaine d’autonomie, qu’ils ont qualifiée de «point de départ réaliste» pour un règlement définitif du conflit.


Les Etats-Unis viennent d’appeler le Polisario expressément à prendre fait et cause pour l’offre marocaine d’autonomie, le seul élément « réaliste » et « crédible » à être sur la table de négociations pour le règlement définitif du conflit.

Intervenant sur le dossier du Sahara, à l’issue du troisième round de négociations, qui s’est déroulé du 7 au 9 janvier à Manhasset (New York), le porte-parole du Département d’Etat américain, Tom Casey, a formulé l’espoir que le Polisario engage des discussions sur la base de la proposition du Maroc d’accorder une autonomie élargie au Sahara.

«Nous estimons que la proposition marocaine d’accorder une véritable autonomie au Sahara occidental fournit une option sérieuse et crédible et nous espérons que le Polisario va engager des discussions sur cette proposition en tant que point de départ réaliste qui peut mener vers un règlement de ce conflit», a déclaré jeudi le responsable américain.

C’est donc un appel direct lancé par l’Administration américaine à l’adresse du Polisario. Cet appel engage, de façon claire, la direction du front à renoncer à des «solutions impossibles». L’option chimérique de «l’indépendance» revendiquée par la bande à Mohamed Abdelaziz, avec l’appui de l’Algérie, est rejetée par la Maison-Blanche.

L’appel américain, qui ne manquera pas de peser sur l’évolution du dossier, vient donner une nouvelle orientation au processus de négociations, dont le quatrième round est prévu du 11 au 13 mars prochain. «Le Polisario doit mettre un terme à la politique de la fuite en avant, en continuant à prendre ses désirs pour des réalités», estime un spécialiste du dossier. Par-delà les Etats-Unis, membre très influent au sein de la communauté internationale, d’autres pays membres du Conseil de sécurité ont réaffirmé leur soutien à l’offre d’autonomie en tant qu’alternative unique et irréversible au conflit plus que trentenaire du Sahara.

Lors d’entretiens engagés vendredi dernier à Paris avec son homologue marocain, Taïeb Fassi Fihri, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a réitéré le soutien de son pays à l’Initiative marocaine de négocier un statut d’autonomie au Sahara, en la qualifiant de « bonne base de discussion ». Par la même occasion, M. Kouchner a exprimé « le plein soutien » de la France aux négociations de Manhasset pour parvenir à une solution définitive au conflit.

«La France suit de près l’évolution de ce dossier et apporte son plein soutien aux sessions des négociations organisées par l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies, Peter van Walsum, en vue de trouver un règlement définitif au conflit du Sahara», a souligné la porte-parole du Quai d’Orsay, Pascale Andréani, à l’issue des entretiens entre MM. Fassi Fihri et Kouchner. Compte tenu de ces développements, le quatrième round de négociations s’annonce déterminant.

D’autant plus que le Polisario, qui est confronté à une crise de légitimité sans précédent, est également pressé de répondre favorablement aux attentes d’une communauté internationale impatiente de voir s’installer une issue définitive à un conflit qui continue d’hypothéquer l’avenir de l’édification maghrébine et de toute la région de la Méditerranée. A.L.M

jugh



becharelkhir a écrit:Sahara : Washington appelle le Polisario à discuter sur la base de l’autonomie

Les Etats-Unis appellent cette fois directement le Polisario à engager le dialogue sur la proposition marocaine d’autonomie, qu’ils ont qualifiée de «point de départ réaliste» pour un règlement définitif du conflit.


Les Etats-Unis viennent d’appeler le Polisario expressément à prendre fait et cause pour l’offre marocaine d’autonomie, le seul élément « réaliste » et « crédible » à être sur la table de négociations pour le règlement définitif du conflit.

Intervenant sur le dossier du Sahara, à l’issue du troisième round de négociations, qui s’est déroulé du 7 au 9 janvier à Manhasset (New York), le porte-parole du Département d’Etat américain, Tom Casey, a formulé l’espoir que le Polisario engage des discussions sur la base de la proposition du Maroc d’accorder une autonomie élargie au Sahara.

«Nous estimons que la proposition marocaine d’accorder une véritable autonomie au Sahara occidental fournit une option sérieuse et crédible et nous espérons que le Polisario va engager des discussions sur cette proposition en tant que point de départ réaliste qui peut mener vers un règlement de ce conflit», a déclaré jeudi le responsable américain.

C’est donc un appel direct lancé par l’Administration américaine à l’adresse du Polisario. Cet appel engage, de façon claire, la direction du front à renoncer à des «solutions impossibles». L’option chimérique de «l’indépendance» revendiquée par la bande à Mohamed Abdelaziz, avec l’appui de l’Algérie, est rejetée par la Maison-Blanche.

L’appel américain, qui ne manquera pas de peser sur l’évolution du dossier, vient donner une nouvelle orientation au processus de négociations, dont le quatrième round est prévu du 11 au 13 mars prochain. «Le Polisario doit mettre un terme à la politique de la fuite en avant, en continuant à prendre ses désirs pour des réalités», estime un spécialiste du dossier. Par-delà les Etats-Unis, membre très influent au sein de la communauté internationale, d’autres pays membres du Conseil de sécurité ont réaffirmé leur soutien à l’offre d’autonomie en tant qu’alternative unique et irréversible au conflit plus que trentenaire du Sahara.

Lors d’entretiens engagés vendredi dernier à Paris avec son homologue marocain, Taïeb Fassi Fihri, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a réitéré le soutien de son pays à l’Initiative marocaine de négocier un statut d’autonomie au Sahara, en la qualifiant de « bonne base de discussion ». Par la même occasion, M. Kouchner a exprimé « le plein soutien » de la France aux négociations de Manhasset pour parvenir à une solution définitive au conflit.

«La France suit de près l’évolution de ce dossier et apporte son plein soutien aux sessions des négociations organisées par l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies, Peter van Walsum, en vue de trouver un règlement définitif au conflit du Sahara», a souligné la porte-parole du Quai d’Orsay, Pascale Andréani, à l’issue des entretiens entre MM. Fassi Fihri et Kouchner. Compte tenu de ces développements, le quatrième round de négociations s’annonce déterminant.

D’autant plus que le Polisario, qui est confronté à une crise de légitimité sans précédent, est également pressé de répondre favorablement aux attentes d’une communauté internationale impatiente de voir s’installer une issue définitive à un conflit qui continue d’hypothéquer l’avenir de l’édification maghrébine et de toute la région de la Méditerranée. A.L.M
il sera independant,n'en deplaise a tes maitres de ton makhzen!!!un colonisateur est par essence un mauvais éleve!!!Que peut-on dire sur un colonisé-colonisateur?L'ile de persil et son...insulte envers le peuple marocain,sebta,mellila?Kama toudine toudane!!!hadith,chariff!!!

yaz



becharelkhir a écrit:Sahara : Washington appelle le Polisario à discuter sur la base de l’autonomie

Les Etats-Unis appellent cette fois directement le Polisario à engager le dialogue sur la proposition marocaine d’autonomie, qu’ils ont qualifiée de «point de départ réaliste» pour un règlement définitif du conflit.


Les Etats-Unis viennent d’appeler le Polisario expressément à prendre fait et cause pour l’offre marocaine d’autonomie, le seul élément « réaliste » et « crédible » à être sur la table de négociations pour le règlement définitif du conflit.

Intervenant sur le dossier du Sahara, à l’issue du troisième round de négociations, qui s’est déroulé du 7 au 9 janvier à Manhasset (New York), le porte-parole du Département d’Etat américain, Tom Casey, a formulé l’espoir que le Polisario engage des discussions sur la base de la proposition du Maroc d’accorder une autonomie élargie au Sahara.

«Nous estimons que la proposition marocaine d’accorder une véritable autonomie au Sahara occidental fournit une option sérieuse et crédible et nous espérons que le Polisario va engager des discussions sur cette proposition en tant que point de départ réaliste qui peut mener vers un règlement de ce conflit», a déclaré jeudi le responsable américain.

C’est donc un appel direct lancé par l’Administration américaine à l’adresse du Polisario. Cet appel engage, de façon claire, la direction du front à renoncer à des «solutions impossibles». L’option chimérique de «l’indépendance» revendiquée par la bande à Mohamed Abdelaziz, avec l’appui de l’Algérie, est rejetée par la Maison-Blanche.

L’appel américain, qui ne manquera pas de peser sur l’évolution du dossier, vient donner une nouvelle orientation au processus de négociations, dont le quatrième round est prévu du 11 au 13 mars prochain. «Le Polisario doit mettre un terme à la politique de la fuite en avant, en continuant à prendre ses désirs pour des réalités», estime un spécialiste du dossier. Par-delà les Etats-Unis, membre très influent au sein de la communauté internationale, d’autres pays membres du Conseil de sécurité ont réaffirmé leur soutien à l’offre d’autonomie en tant qu’alternative unique et irréversible au conflit plus que trentenaire du Sahara.

Lors d’entretiens engagés vendredi dernier à Paris avec son homologue marocain, Taïeb Fassi Fihri, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a réitéré le soutien de son pays à l’Initiative marocaine de négocier un statut d’autonomie au Sahara, en la qualifiant de « bonne base de discussion ». Par la même occasion, M. Kouchner a exprimé « le plein soutien » de la France aux négociations de Manhasset pour parvenir à une solution définitive au conflit.

«La France suit de près l’évolution de ce dossier et apporte son plein soutien aux sessions des négociations organisées par l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies, Peter van Walsum, en vue de trouver un règlement définitif au conflit du Sahara», a souligné la porte-parole du Quai d’Orsay, Pascale Andréani, à l’issue des entretiens entre MM. Fassi Fihri et Kouchner. Compte tenu de ces développements, le quatrième round de négociations s’annonce déterminant.

D’autant plus que le Polisario, qui est confronté à une crise de légitimité sans précédent, est également pressé de répondre favorablement aux attentes d’une communauté internationale impatiente de voir s’installer une issue définitive à un conflit qui continue d’hypothéquer l’avenir de l’édification maghrébine et de toute la région de la Méditerranée. A.L.M
voilà là politique du fait accomplie et soit disant les etats unis apel expressement le polisario à prendre fait et cause pour cet politique..le maroc colonisateur demande un quatrieme round et tous celà malgrer que le sahara occidental lui apartient soit disant aussi !!..là bande de voleurs de m6 prennent leurs désirs pour des realités..au pays des mille et une nuit tout les reves sont permis(soit disant aussi)..un algerien.... :arrow:

yaz



je veut bien etre pendus si un jours le front polisario accepte là proposition d autonomie du sahara occidental(doleance du maroc) et tous celà sans là libre autodetermination du peuple sahraoui avant..langue de bois pour langue de bois , mon voisin Becharelkir..les etats unis non jamais exprimé au polisario de suivre là politique d autonomie que le maroc essayent de faire passer en forçant là porte des negociations...un algerien... :arrow:

jugh



yaz a écrit:je veut bien etre pendus si un jours le front polisario accepte là proposition d autonomie du sahara occidental(doleance du maroc) et tous celà sans là libre autodetermination du peuple sahraoui avant..langue de bois pour langue de bois , mon voisin Becharelkir..les etats unis non jamais exprimé au polisario de suivre là politique d autonomie que le maroc essayent de faire passer en forçant là porte des negociations...un algerien... :arrow:
il y a une chose qui ne peut passer inapercue!!!le polisario accepte le referendum en incluant les pauvres marocains qui y vivent!!!quel culot!!!mais,quelle manque d'assurance du coté makhzen!!!ce dernier ne fait meme pas confiance a ses sujets!!!il n'accepte pas l'auto-determination des gens qui vivent!!!y compris ses sujets!!!hi!hi!hi!

becharelkhir

becharelkhir

Le makhzen est made in algéria, comme d'ailleurs les Harkis a qui vous appartenez,si tu veus que je t'amène encore la preuve je le ferai pour vous , ensuite مــــوتــــوا بــــغـــيـــكـــم

becharelkhir

becharelkhir



L'Association Sahara Marocain (ASM) a annoncé mercredi le report au 27 janvier prochain d'une "marche sur Tifariti" qu'elle envisageait d'entreprendre le 17 décembre dernier.

Le président de l'ASM, M. Réda Taoujni, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse mercredi à Rabat, a indiqué que ce report s'expliquait par plusieurs développements, en particulier le refus que le "polisario" et les autorités algériennes ont opposé à la réception d'une aide humanitaire que l'association comptait acheminer au profit des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest algérien.

Les marcheurs doivent se rassembler en camps près de Smara pour partir, au matin du 27janvier, vers le mur de défense puis le secteur de Tifariti, convoyant quelque 13 tonnes d'aides, que le "polisario" avait refusé de réceptionner.

Quelques 300 ou 400 anciens détenus, simples citoyens et journalistes marocains et étrangers vont participer à cette initiative "purement humanitaire, sans banderole ni bannière", à laquelle prendront part des médecins et infirmiers qui vont pratiquer bénévolement des visites médicales au profit des habitants de cette zone.

A propos de l'éventualité de voir le "polisario" leur faire barrage, le président de l'ASM précise : "Nous supposons que le polisario ne peut pas être dans ce secteur, la zone étant marocaine".

M. Taoujni a cité d'autres raisons de ne pas craindre une réaction du "polisario", notamment la présence de la MINURSO et des médias internationaux dans le secteur et le fait que cette marche est suivie par des ambassades de grands puissances (Etats-Unis, Espagne, France)".

De son côté, le président de la section de l'ASM pour Casablanca, M.
Mohamed Bahi, a indiqué qu'outre les retrouvailles avec les Marocains de Tifariti qu'elle promet, cette marche sera l'occasion d'expliquer aux habitants de la zone "nos positions sur le projet d'autonomie" des provinces du sud du Royaume dans le cadre de la souveraineté marocaine.

L'ASM, a-t-il rappelé, est composée de Marocains de toutes les régions du Royaume animés par la volonté de faire valoir le point de vue du Maroc sur la question du Sahara.

MAP

yaz



becharelkhir a écrit:


L'Association Sahara Marocain (ASM) a annoncé mercredi le report au 27 janvier prochain d'une "marche sur Tifariti" qu'elle envisageait d'entreprendre le 17 décembre dernier.

Le président de l'ASM, M. Réda Taoujni, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse mercredi à Rabat, a indiqué que ce report s'expliquait par plusieurs développements, en particulier le refus que le "polisario" et les autorités algériennes ont opposé à la réception d'une aide humanitaire que l'association comptait acheminer au profit des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, dans le sud-ouest algérien.

Les marcheurs doivent se rassembler en camps près de Smara pour partir, au matin du 27janvier, vers le mur de défense puis le secteur de Tifariti, convoyant quelque 13 tonnes d'aides, que le "polisario" avait refusé de réceptionner.

Quelques 300 ou 400 anciens détenus, simples citoyens et journalistes marocains et étrangers vont participer à cette initiative "purement humanitaire, sans banderole ni bannière", à laquelle prendront part des médecins et infirmiers qui vont pratiquer bénévolement des visites médicales au profit des habitants de cette zone.

A propos de l'éventualité de voir le "polisario" leur faire barrage, le président de l'ASM précise : "Nous supposons que le polisario ne peut pas être dans ce secteur, la zone étant marocaine".

M. Taoujni a cité d'autres raisons de ne pas craindre une réaction du "polisario", notamment la présence de la MINURSO et des médias internationaux dans le secteur et le fait que cette marche est suivie par des ambassades de grands puissances (Etats-Unis, Espagne, France)".

De son côté, le président de la section de l'ASM pour Casablanca, M.
Mohamed Bahi, a indiqué qu'outre les retrouvailles avec les Marocains de Tifariti qu'elle promet, cette marche sera l'occasion d'expliquer aux habitants de la zone "nos positions sur le projet d'autonomie" des provinces du sud du Royaume dans le cadre de la souveraineté marocaine.

L'ASM, a-t-il rappelé, est composée de Marocains de toutes les régions du Royaume animés par la volonté de faire valoir le point de vue du Maroc sur la question du Sahara.

MAP
Becharelkir ,Tifariti est un territoire liberé part le polisario et je me demandent pourquoi ta soit disante marche ne marcherais pas vers El Smara wilaya de là RASD ?..pour voire ce que le Marocains colons fait subires à ces soit disant frères de là RASD..en trente année et plus il ya toujours riens de nouveaux à l ouest de l Algerie...un algerien.... :arrow:

becharelkhir

becharelkhir

Demande a Mohammed El-Marrakchi à venir t'essuyer tes larmes frère algérien...,mais fais vite parce qu'il sera prochainement arreter étant un terroriste dangereux, internationnalement recherché lui et ses compères pour crimes contre l'humanité .
Et sans doute il dira tout de ceux qui l'ont épaulé à commetre ses méfaits...Tu sais à qui je fais référence ... Oui tes gouvernants frère algérien...?

yaz



becharelkhir a écrit:Demande a Mohammed El-Marrakchi à venir t'essuyer tes larmes frère algérien...,mais fais vite parce qu'il sera prochainement arreter étant un terroriste dangereux, internationnalement recherché lui et ses compères pour crimes contre l'humanité .
Et sans doute il dira tout de ceux qui l'ont épaulé à commetre ses méfaits...Tu sais à qui je fais référence ... Oui tes gouvernants frère algérien...?
Becharelkir, le president de là RASD est un coup Marocains quand celà vous arrengent et une autre fois un traitre d apres vos dires..tu sait tres biens que jamais de là vie je pleurerais et preferent mourir que de voire là RASD sous l occupation de Marocains colons..restont objectif mon voisin colon et sous les lois des nations unis..nous avont tout le temps pour là guerre et qui j espere seras apres le mois de mars 2008 sans une autodetermination du peuple sahraoui cet année 2008 mais qui le sera avec ou sans quatrieme ou dixieme rounds...un algerien.... :arrow:

becharelkhir

becharelkhir

fait bien attention a ce que tu dis ! Tu fera la guerre...
attention je vais te laisser sans sommeil pour beaucoup de temps .
Autodetermine toi dabord, dans ton pays,toi qui n'a confiance meme pas en toi-meme , tu vas voir comment sera ton sort quand tes militaires qui te font prendre par la gorge pour que tu ne souffle pas ,auront marre de ces sales besognes... algérien... Et tu verra bien ton advient .

yaz



je serais donc un martyres et SVP vous devez commencer part moi l Algerien..je suis autodeterminer pour ne pas laisser le Marocain colon voler en toute impunité le sahara occidental..je me suis biens autodeterminer j esperent mon voisin Becharelkir ?..je suis l armé de liberation national Algerienne par heritage et je defit quiquonque voudras m egorger pour mes propos à commencer par l ANP ?...un algerien... :arrow:

becharelkhir

becharelkhir

Un document confidentiel de l’OTAN dévoile la responsabilité de l’Algérie dans le conflit du Sahara

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Une nouvelle preuve, une de plus, de la responsabilité établie de l’Algérie dans le conflit créé autour du Sahara marocain. Sauf que ce document porte, cette fois, la signature d’une institution occidentale dont le rôle dans les équilibres géostratégiques est autrement déterminant, soit l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). L’Organisation, basée à Bruxelles, vient de démontrer, dans un document confidentiel déclassifié, que l’Algérie est bel et bien partie prenante au conflit autour des provinces sahariennes du Royaume.

«Dernier vestige de la guerre froide en Afrique du Nord, ce conflit ensablé depuis vingt-ans, qui met aux prises le Maroc et l’Algérie –les deux poids lourds du Maghreb- par Sahraouis interposés, risque à tout moment de déboucher sur un affrontement armé dont les conséquences seraient néfastes pour la sécurité de la Méditerranée occidentale», révèle le document.

Dans le même document, dévoilé pas plus tard que mardi dernier, l’OTAN épingle les «visées hégémoniques» des responsables algériens qui continuent d’entraver toute possibilité de règlement de ce conflit, au risque et péril de la stabilité dans la région.

Il faut constater que le Polisario n’est cité qu’en deuxième lieu dans le document, qui souligne «l’interposition» du Polisario, qui, comme l’a précisé un ancien document des renseignements espagnols, n’est ni plus ni moins qu’une «créature de l’Algérie». Le Polisario a été instrumentalisé par l’Algérie dans le seul but de contrecarrer la montée en puissance du Royaume du Maroc, et assurer, par conséquent, une éventuelle hégémonie de l’Algérie sur la région du Maghreb.

«L’Etat algérien estime que, de la solution imposée aux Sahraouis, dépendra la prépondérance de l’Algérie ou du Maroc dans le Maghreb», explique le document. Evoquant l’aspect militaire de ce conflit, le même document explique que «le bras armé du Front Polisario, l’Armée de libération du peuple sahraoui (APLS), utilise des bases en Algérie». Au soutien militaire qu’apporte l’Algérie au Polisario, s’ajoute une aide «diplomatique» incontestée fournie par l’Etat algérien, qui n’a jamais lésiné sur les moyens pour servir ses propres intérêts dans la région.

Les allégations colportées par Alger pour justifier ce soutien ne tiennent pas debout, d’autant moins que personne aujourd’hui ne croit au sacro-saint principe du «droit du peuple sahraoui à l’autodétermination ». S’agissant des revendications du Royaume du Maroc sur le Sahara, le document se réfère à «l’avis consultatif» rendu en octobre 1975 par la Cour internationale de Justice, saisie par l’Assemblée générale de l’ONU, «dans lequel elle déclare que le territoire du Sahara occidental pourvu, avant la colonisation, d’une organisation politique en tribus, ne constitue donc pas un territoire sans maître», citant, à l’appui de cette vérité, «un lien juridique d’allégeance» entre le Sultan et les tribus sahraouies.

Précisant que le conflit autour du Sahara «est d’origine véritablement géopolitique», le document balaie d’un revers de main les faux prétextes dont se gargarisent, encore et toujours, les responsables algériens quand ils évoquent le dossier, notamment ce fameux « droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». A.L.M

yaz



je me demande biens qui c est ensablé depuis le debut!!?..ceux qui ont construis un mur de sabe avec l aide des autres colons qui colonisent nos frères de là syrie et le Liban pour mieux se cacher?? ou ceux qui demande l aplication des resolutions de l ONU ?....un algerien...... :arrow:

becharelkhir

becharelkhir

Sahara : L'Algérie ne doit pas batailler contre le Maroc mais plutôt contre la pauvreté et le terrorisme...! (Elaph)



La vraie bataille que l'Algérie doit mener devrait être contre la pauvreté et le terrorisme et non pour l'établissement d'un Etat pour le Polisario, qui risque de devenir, à terme, un "Etat d'Al-Qaïda", réseau qui dispose déjà de bases dans la région et dont l'activisme s'est amplifié en Algérie, affirme un article diffusé par le journal électronique "Elaph".
L'auteur de l'article estime que l'Algérie devrait profiter de l'expérience marocaine à tous les niveaux, particulièrement du progrès réalisé dans le Royaume en l'absence de ressources pétrolières et gazières.
"L'Algérie est-elle à la recherche d'une solution pour le Sahara ou voudrait-elle continuer à se servir du Polisario comme écran dans sa guerre diplomatique contre le Maroc?", se demande-t-il. Pour l'auteur de l'article, l'unique solution de ce conflit réside dans l'instauration d'une autonomie dans la région, option qui garantit la dignité de chacun et la stabilité de la région afin que les Etats du Maghreb puissent "se consacrer aux vrais problèmes au lieu de les fuir".
"Il n'y a pas d'alternative à l'autonomie", précise-t-il, soulignant que "le Maroc, l'Algérie et tous les Etats de la région n'ont d'autres choix que de s'engager dans une guerre contre la pauvreté et le terrorisme".
Le journaliste met l'accent sur le fait que l'autonomie offre "l'unique solution pratique" et garantit leurs droits à tous, y compris la population locale. "Quiconque chercherait à éviter la solution ne ferait que pratiquer une politique dont la stérilité a été prouvée depuis longtemps, c'est-à-dire depuis le retrait espagnol au milieu des années soixante-dix et la Marche verte, grâce à laquelle le territoire a pu revenir aux ayant-droits sans la moindre effusion de sang", explique-t-il.
L'Algérie, souligne-t-il, ne veut pas reconnaître son échec, probablement en raison des intérêts qui lient le Polisario à certains services de sécurité qui trouvent un intérêt dans l'existence des camps de Tindouf et nourrissent une vieille volonté d'affaiblir le Maroc par l'usure, car ils le considèrent comme pôle concurrent sur la scène régionale.
Pour l'auteur de l'article, le Maghreb ne peut s'accommoder d'une entité artificielle que l'Algérie, elle-même, devrait rejeter plus que les autres Etats de la région, sachant qu'elle ne peut l'utiliser indéfiniment et qu'une telle entité pourrait se retourner contre elle, surtout lorsqu'on prend en considération les capacités dont dispose "Al-Qaïda" dans la région, et particulièrement en Algérie.Site ELAPH.COM

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TINDOUF (SAHARA ALGÉRIEN) ENVOYÉE SPÉCIALE

Voilà trente ans qu'ils attendent. Trente ans dans ce désert inhospitalier de sable et de rocaille, situé dans le sud-ouest de l'Algérie. Quand ils sont arrivés ici, fuyant l'avancée des troupes marocaines, dans la foulée de la "marche verte" lancée par le roi Hassan II, en novembre 1975, ils n'imaginaient pas que leur exode s'éterniserait. La question du Sahara occidental, c'est avant tout un drame humanitaire. Pas une famille, ici, qui n'ait un parent "de l'autre côté", dans l'ex-colonie espagnole occupée par le Maroc.


L'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, Peter Van Walsum, a déclaré, lundi 11 février à Alger, qu'il n'y avait "pas encore de solution" au conflit du Sahara occidental, à l'issue d'une réunion avec le ministre algérien des affaires étrangères, Mourad Medelci.
M. Van Walsum effectue actuellement une tournée dans la région. Il s'est déjà rendu au Maroc et dans les camps Sahraouis de Tindouf. Mardi et mercredi, il était en Mauritanie, dernière étape de son périple. Depuis juin 2007, Peter Van Walsum a supervisé trois séries de négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario, à Manhasset, près de New York.
L'envoyé de l'ONU a affirmé qu'il ne "voulait pas donner de faux espoirs que tout va s'arranger au quatrième round" de pourparlers, qui se tiendra du 11 au 13 mars.L'Algérie et la Mauritanie assistent à ces négociations en tant que pays voisins du Maroc et du Sahara occidental.
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Pour tenter de se recréer un semblant de terre natale, ces 158 000 réfugiés sahraouis ont donné à leurs cinq campements les noms des principales localités du Sahara occidental : El-Ayoun, Smara, Dakhla... Ils vivent dans des masures de pisé - qui s'écroulent en cas de pluies diluviennes comme il en arrive parfois dans le désert - et des tentes de toile. Chaque famille s'est bricolé un petit enclos de tôles et de bidons rouillés dans lequel elle a installé sa seule richesse : une ou deux chèvres, ou un mouton. Pour le reste, les réfugiés sahraouis ne subsistent que grâce à l'aide internationale (Programme alimentaire mondial, Union européenne, ONG...)

Nourriture, vêtements, médicaments... Tout leur vient de dons, beaucoup en provenance d'Espagne. Pas d'eau courante. Les habitants se ravitaillent dans de petites citernes en zinc, alimentées chaque jour par camions. Quant à l'électricité, ils la tirent de panneaux solaires installés sur le sol. Le soir, il faut choisir : soit s'éclairer, soit regarder la télévision. Il est rare de pouvoir faire les deux en même temps.
La vie dans ces camps de Tindouf est incroyablement dure. Il y fait froid l'hiver - la nuit, le thermomètre descend souvent en dessous de zéro - une chaleur écrasante l'été (50 degrés à l'ombre). Les vents de sable rendent l'atmosphère irrespirable. Mais le pire, pour tous ces réfugiés sahraouis, c'est l'attente.
"Ils espèrent un avenir qui n'arrive pas. Ils vivent ce que j'appelle le "stress de l'attente". Tous en sont très marqués psychologiquement", explique Salah, jeune médecin d'une trentaine d'années, qui travaille dans le petit hôpital de "Smara". Un hôpital presque neuf, financé par une ONG italienne, mais démuni de tout.
Tout en préparant le thé sur un petit réchaud posé à même le sable, Fatma, mère de sept enfants dont la dernière a 5 ans, raconte sa vie d'une voix monocorde et fatiguée. "Nous ne pensons qu'à retourner dans notre pays et à être indépendants. Pourquoi souffrons-nous autant ? Il faut que les étrangers nous aident ! Ne pourraient-ils pas convaincre le Maroc que le Sahara occidental ne lui appartient pas ?" supplie-t-elle en arabe, les larmes aux yeux.

POURPARLERS DANS L'IMPASSE

Abdelkhader Taleb Omar, premier ministre de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et membre de la direction du Front Polisario, déplore que l'ONU n'exerce pas de "pressions suffisantes" sur le royaume chérifien pour faire appliquer le droit international. Autrement dit, pour imposer un référendum d'autodétermination au Sahara occidental et rejeter le "diktat" de Rabat, qui n'envisage que l'autonomie, en aucun cas l'indépendance. "La communauté internationale doit-elle accepter la politique du fait accompli ?" s'interroge Taleb Omar, avant d'avouer son amertume face à la France, coupable de favoriser l'intransigeance du Maroc.
L'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, en mai 2007, avait soulevé de grands espoirs au sein du Front Polisario. Le mouvement indépendantiste voyait dans le nouveau locataire de l'Elysée un homme capable de prendre ses distances avec le roi Mohammed VI et de faire avancer le dossier du Sahara occidental. Mais le discours de M. Sarkozy, fin octobre, devant le Parlement de Rabat, se ralliant au plan marocain d'autonomie et excluant toute idée d'indépendance, a fait l'effet d'une douche froide. "Nous n'attendons pas de la France qu'elle prenne parti pour nous. Nous lui demandons simplement d'être équilibrée et de respecter la légalité internationale", plaide encore le premier ministre de la RASD. "Au Kosovo, on parle d'indépendance. Le Timor, lui, nous a coiffés au poteau ! Mais le monde ferme les yeux sur la question du Sahara occidental. Pour les Sahraouis, c'est une injustice criante !" s'exclame, de son côté, M'Hamed Khadad, l'un des principaux artisans des négociations de Manhasset (New York), qui devraient reprendre le 11 mars sous l'égide des Nations unies.
Optimiste ? La direction du Front Polisario ne l'est pas, à la veille de ce nouveau round. Jusque-là, les pourparlers n'ont pas permis de sortir de l'impasse. Et pendant ce temps, la jeune génération sahraouie réclame avec de plus en plus d'insistance à ses aînés de reprendre la lutte armée contre le Maroc. C'est la seule façon, fait-elle valoir, de se faire enfin entendre de la communauté internationale... Florence Beaugé

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Négociations de Manhasset : La représentativité du Polisario mise en cause par un groupe de Sahraouis indépendants

Le Polisario vient d’essuyer un nouveau coup dur, avec la création, récemment à Las Palmas, d’un mouvement dissident appelé Groupe sahraoui indépendant (GSI).


Justice, liberté d’opinion, démocratie et association de tous les Sahraouis, où qu’ils soient, aux efforts pour trouver « une issue politique, pacifique et durable », au conflit autour du Sahara. Ce sont là les termes de la ligne politique que vient de révéler le Groupe sahraoui indépendant (GSI), créé le 3 février courant à Las Palmas (Iles Canaries). Ce groupe, qui s’érige ouvertement contre l’autoritarisme de Mohamed Abdelaziz, veut joindre l’acte à la parole. Il vient de dévoiler un ambitieux plan d’action. Il a rendu public un « Manifeste », dans lequel, au-delà de ses convictions démocratiques, il annonce sa volonté de créer des commissions de travail dans « tous les pays amis », en vue d’élaborer son prochain plan d’action politique. En ligne de mire, la direction du Polisario, et plus précisément la délégation que ce dernier a mandatée pour négocier à Manhasset. Le GSI, qui revendique une participation à ces négociations, conteste vivement la
« légitimité » de la délégation du Polisario, faisant constater que nombre de ses membres sont « poursuivis (actuellement) pour violations des droits de l’Homme ». La plus haute cour en Espagne, l’Audience nationale basée à Madrid, poursuit depuis fin décembre 2007 plusieurs responsables du Polisario, dont Brahim Ghali, qui a dû renoncer récemment à son poste d’ambassadeur du front à Madrid, suite à une plainte déposée en Espagne par l’Association des portés disparus au Polisario (APDP) et l’Association sahraouie de défense des droits de l’Homme. En revendiquant « une implication dans la recherche active d’une solution pacifique au conflit du Sahara », le GSI dénonce la responsabilité du Polisario dans « l’enlisement » de ce conflit. « Depuis 35 ans de conflit, et 15 ans d’efforts fournis par les Nations unies pour trouver une solution pacifique, nous constations aujourd’hui que ce conflit est toujours sans issue », fait remarquer le groupe. Ce dernier, dont le coordinateur général s’appelle Abdelaziz Mohamed El Mami, vient d’appeler les pays membres du Conseil de sécurité, notamment l’Espagne, à œuvrer davantage pour trouver une alternative au statu quo, voulu par le Polisario avec le soutien militaire, financier et diplomatique de son mentor algérien. M. El Mami a par ailleurs revendiqué des
« pressions » sur l’autre partie en vue de l’amener à envisager une voie autre que « la menace aux recours aux armes », brandie par le Polisario lors de son 12ème congrès fin décembre à Tifariti.
Le mouvement, qui se veut représentatif de tous les Sahraouis, veut servir d’exemple. « Tous les dirigeants de notre mouvement (GSI) seront élus démocratiquement, contrairement à ce qui se passe lors des congrès du Polisario », rassure le groupe, par la voix de son responsable de communication, Hawari Bray. « Le groupe sera ouvert à tous les Sahraouis sans exception aucune, qui sont invités à joindre leurs voix à la nôtre en vue de trouver une issue politique et pacifique au conflit ».
Au-delà de sa déclaration de politique générale, le GSI se fixe d’autres objectifs d’ordre social et culturel. Ainsi a-t-il révélé son programme pour la défense du
«patrimoine culturel sahraoui». La création du GSI vient démontrer, encore une fois, l’état de déliquescence que connaît le Polisario, qui a déjà fort à faire avec la montée du ras-le-bol populaire prévalant dans les camps de Tindouf. Cette nouvelle dissidence intervient alors que le front ne s’est pas encore remis de la création, à l’intérieur même de Tindouf, d’un mouvement appelé « les jeunes partisans du retour », sans oublier, évidemment, la Déclaration historique de Gjijimat, publiée par un millier de Sahraouis séquestrés exaspérés par les pratiques totalitaires de Mohamed Abdelaziz.




Le 18-2-2008
Par : M’Hamed Hamrouch
Source :ALM

http://www.marocainsdalgerie.net

becharelkhir

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Nous souhaitons vivement que Mr. Boujemaà Kharraj répliquera clairement à cette nouvelle tendance,pour ne pas dire ces nouveaux retournements de situations chez le polosario en général, et de nous dire également quelle sera l'attitude de l'algérie concernant tous ces remues-ménage !?

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Interview, Ali Salem Tamek.
L’indépendance, mais quoi encore ?
Tel Quel 9/4/2005
Les sorties médiatiques de Ali Salem Tamek se suivent. Il se déclare de plus en plus ouvertement pour l'indépendance du Sahara. Mais au fond, il suffit de le pousser dans ses retranchements...
Ali Salem Tamek aurait pu rester éternellement anonyme. Jeune sympathisant Sahraoui du Polisario, parmi tant d'autres, il a été à trois reprises (banalement presque) emprisonné pour ses tentatives répétées de regagner les camps de Tindouf. Il accède brusquement à la popularité en 2002, quand un tribunal d’Agadir le condamne pour "appartenance au Polisario". Il agrémente alors son séjour en prison de plusieurs grèves de la faim et des sorties médiatiques frontales. Le jeune Sahraoui gagne en visibilité. Gracié dans la foulée des 33 détenus d’opinion en 2004, il est reçu en héros dans sa petite bourgade d’Assa. L’homme a changé. Désormais, il veut militer sur place et abandonne toute envie de quitter le Maroc. Bon gré mal gré, les autorités l’ignorent. Tamek milite, affirme librement ses choix politiques, se déplace tranquillement et obtient même son passeport pour aller se soigner à l’étranger.
De retour au bercail, il se livre à un journal méconnu au bataillon pour réaffirmer son attachement à un état sahraoui indépendant. L’homme, qu’on croyait oublié parce que ignoré, revient violemment au devant de la scène, la campagne de lynchage médiatique aidant.
Mais qui est vraiment Ali Salem Tamek ? Un révolutionnaire sahraoui ou un brasseur de vent ? Est-il, comme veut le faire croire la nouvelle machine de propagande marocaine, un "militant surfait", qui a pu capitaliser sur ses courtes années de détention pour se faire une légitimité et se vendre comme un "martyr de la cause sahraouie" ? Ou, a contrario, tient-il fermement sur ses positions et sait-il les défendre jusqu’au bout, au delà de la simple affirmation du désir d’indépendance ? Quoi qu’il en soit, il est aujourd’hui libre. De parler, de voyager, de réaliser des meetings en duplex avec Tindouf, etc. Bref, il ne peut désormais compter que sur ses idées pour se donner de la visibilité ou mourir politiquement. Nous l’avons interrogé sur l’existence réelle d’un état sahraoui, la latitude du Polisario à gouverner, les courants qui le traversent et les contradictions qui entourent le personnage lui-même. Le père de "Tawra" (sa fille) répond calmement et sans ambages.

Vous êtes l’un des rares militants sahraouis qui déclarent ouvertement leur appartenance au Polisario. Paradoxalement, vous appartenez à une tribu presque berbère, qui se trouve en dehors de la zone contestée au Sahara …
Et alors ? J’exprime une opinion politique personnelle. Je continue à croire que le référendum est le meilleur moyen démocratique qui permettra au peuple sahraoui de s’exprimer. Je fais partie de ce peuple et je n’ai pas besoin de le prouver historiquement, démographiquement ou culturellement.
Pourtant, lors des opérations d’identification, un cheikh du Polisario a refusé de vous inscrire sur les listes des votants, contestant votre appartenance sahraouie !
C’est vrai, mais ce n’est pas aussi simple. Le cheikh du Polisario a émis une réserve me concernant et mon inscription a été refusée comme des milliers d’autres inscriptions dans les camps ou au Sahara occidental. Ce sont des détails auxquels je n’accorde pas d’importance. D’un point de vue nationaliste, les considérations tribales sont un crime. Je ne crois pas en la tribu comme organisation sociale. C’est une forme obsolète et dépassée. Nous croyons en un état sahraoui, moderne et respectueux de ses citoyens.
Le droit international, auquel vous vous référez, identifie l’état comme un territoire, un peuple et une volonté de vie commune. Le Polisario fait vivre des "réfugiés" sur un sol algérien avec des aides internationales. De quel état parlez-vous dès lors ?
Le Polisario est un mouvement de libération qui s’est distingué au niveau international. Il a, en même temps et dans un contexte difficile, mené une guerre de libération et s’est attelé à la construction de l’état. Et je pense qu’il a franchi des étapes importantes dans cette construction. Pour preuve, cette intervention du diplomate américain James Baker sur une chaîne de télévision américaine, où il a salué "l’expérience aboutie du Polisario" et où il est notamment revenu sur la participation de la femme dans la gestion de la chose publique, les acquis en matière d’éducation et de santé publique. L’état sahraoui existe. Nous avons aujourd’hui un gouvernement national, un peuple et un état membre de l’OUA, que reconnaissent 70 états souverains.
Le Polisario "gère" aujourd’hui les affaires de quelques 100.000 réfugiés installés sur quelques dizaines de kilomètres carrés, quadrillés par l’armée algérienne. Saura-t-il, demain, gouverner, seul et sans aide internationale, 500.000 personnes sur 266.000 Km2 avec toutes leurs complexités démographiques et tribales ?
N’oubliez pas que nous vivons aujourd’hui une situation d’instabilité politique. Si un état venait à être constitué, au cas où les Sahraouis obtiendraient leur indépendance, une pluralité politique et associative fera alors émerger une élite capable de prendre la destinée de ce peuple. N’oubliez pas que ce mouvement a pu gouverner un peuple de réfugiés en partant du néant. Aujourd’hui, il garantit à ses enfants un minimum de stabilité. Savez-vous que le taux d’analphabétisme dans les camps avoisine 0% ? Nous avons des cadres qualifiés, formés partout dans le monde, pour la gestion des affaires publiques. S’agissant des aides maintenant, je trouve cela normal que la communauté internationale soutienne des réfugiés. En ce qui concerne le "quadrillage par l’armée algérienne", c’est de la simple propagande. Vous n'avez qu'à consulter les dizaines de groupes du HCR et les journalistes qui visitent les camps chaque année.
Vous ne pensez pas que si l’option référendaire incluait le rattachement à l’Espagne, beaucoup de jeunes Sahraouis ne se poseraient même pas la question ?
C’est la première fois que j’entends une chose pareille. Le Polisario est la seule alternative qui existe. Maintenant, il y a les volontés personnelles de certaines personnes, mais ça ne peut en aucun cas être l’avis de la majorité. Les jeunes Sahraouis ne se sont pas lassés du combat, rassurez-vous !
Pourquoi avez-vous accepté d’occuper un poste étatique dans une commune relevant d’un état dont vous contestez la légitimité sur le territoire ?
C’est normal. N’importe quel état à la légitimité contestée essaie de garantir un minimum de droits à ses citoyens, pour faire diversion.
Vous n’aviez qu’à refuser la "diversion" …
J’ai accepté ce poste sans renoncer à mes principes. Et puis sachez que ça a changé. Je n’ai pas déposé de dossier auprès de l’IER, je n’ai pas demandé le retour à ma fonction ni à bénéficier de la carte d’entraide nationale.
Il ne manquerait plus que ça en effet … mais dites-moi avant. Vous revendiquez librement aujourd’hui, au beau milieu de Laâyoune, votre appartenance au Polisario. Vos cousins pourront-ils un jour afficher leur pro-marocanité à Tindouf ?
Je ne crois pas qu’il existe une liberté d’expression au Maroc. Sinon, comment expliquer la répression de mouvements d’étudiants à Rabat ou les freins mis à la liberté d’association au Sahara. Il n'y a pas de courants au sein du Polisario, pour avoir des pro-Marocains. Il peut y avoir des différences de point de vue, mais il y a unanimité sur l’objectif.
Parce que la répression militaire ne tolère pas de différences d’opinion ?
Parce que les camps sont des espaces de vie ouverts et que les Sahraouis qui y vivent se déplacent librement vers l’Algérie, la Mauritanie ou l’Espagne. Je vous invite d’ailleurs à vous rendre aux camps pour vous assurer vous-même de tout cela comme avait fait le journaliste Ali Lmrabet. 700 personnes sont venues des camps rendre visite à leurs familles au Maroc dans le cadre du programme d’échange de visites. Aucun n’y est resté, tous sont revenus.
Tous les Marocains sont revenus au Maroc également …
Je suis d’accord. Mais je dirais plutôt que les Sahraouis sont revenus au Sahara occidental. Ceux-là sont revenus parce que leurs conditions de vie ici les incitent à revenir, mais pourquoi est ce que les autres seraient revenus vers ce que les autorités marocaines appellent "l’enfer" ?

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